La politique et les religions créent des grandes dictatures.
Chrétiens ou Catholiques ? (Les Catholiques sont-ils les descendants des Apôtres?) NON !
Pourquoi ? Parce qu'ils ont fait les croisades, la sainte Inquisition, ils ont brûlé des personnes, aussi ceux qui lisaient les Ecritures Saintes.

LES TROIS MAGES

Mage signifie ancien prêtre persan. Les mages, dans la Bible, c'est à dire le verbe de Dieu.
Les trois rois qui, guidés par une étoile, partirent de l'Orient pour adorer la naissance de Jésus, qui devint le Christ. Le glaive de l'esprit est le verbe de Dieu, prononcé par Jésus, et tout le monde l'entendit, soit les Chrétiens soit les non-Chrétiens. (Les Catholiques la connaissent, mais ils font leur mieux pour ne la faire connaître).
Le verbe de Dieu est Jésus, Jésus est venu sur la terre pour nous délivrer du péché (si nous voulons).
Maintenant nous sommes baptisés pur notre choix, nous avons demandé pardon de nos péchés à Dieu le Père, toujours à travers et au nom de son fils Jésus-Christ et seulement en son nom nous pouvons être pardonnés. (Dieu nous a pardonné, nous sommes libres et sans péché). L'homme est pécheur, qu'il le veut ou non, devant Dieu nous sommes toujours pécheurs, mais grâce à Jésus, qui intercède pur nous et devient notre avocat, nous sommes pardonnés, si nous sommes vraiment repentis de nos péchés.
Dieu nous a baptisés avec le Saint-Esprit. On ne baptise plus dans l'eau, mais dans l'esprit. Maintenant nous sommes Chrétiens (pas Catholiques - Apocalypse 22 : 18, 19). Si nous péchons, nous devons demander pardon à Dieu seulement à travers son fils Jésus-Christ. Amen. Les vrais Chrétiens ont été presque tous tués, physiquement et spirituellement; ces faux Chrétiens, les Catholiques, même si presque 2000 ans sont passés, continuent à faire de l'idolâtrie, mais non seulement ils sont morts, mais en plus ils font mourir tous ceux qui cherchent Dieu, essayant de leur faire adorer idoles, sanctuaires, Lourdes, etc. (Père Pio) (Saint Antoine de Padoue). Ces choses ne sont pas écrites dans les Ecritures Saintes (Ou on écoute Jésus, ou on écoute les Catholiques). (Ou on est chrétien, ou on est catholique). (Tu dois faire ton choix aussi). (Les Catholiques disent qu'ils sont Chrétiens, mais quel est leur témoignage?). Ils parlent de tout, de politique aussi, un évêque dise une chose et immédiatement un autre évêque dit le contraire, et enfin ou l'un ou l'autre a raison et ils démentent ce qui leur convient.
Nous Chrétiens allons parler avec Dieu seulement à travers Jésus, et pas au nom d'autres personnes, comme par exemple à travers saints, madones, et tout ce que les Catholiques nous ont fait croire, c'est à dire les faux Chrétiens. (Nous voulons être des vrais Chrétiens). (Je veux être un vrai Chrétien).
La Sainte Vierge ne peut pas être la mère de Dieu, parce que Dieu est père de Jésus, fils de Marie, et donc si Marie est la mère de Dieu, elle serait la grand-mère de Jésus.
Marie a été choisie par Dieu pour la naissance de Jésus, et Jésus, homme parfait, comme Adam, est venu sur la terre pour nous délivrer du péché, soit celui de Adam, soit nos péchés. Grâce à Jésus nous sommes presque tous sauvés. Dieu a donné l'ordre à Marie, à travers les anges, de rester enceinte, disant que son fils venait pour sauver tous les pécheurs, et Marie a accepté, ayant été choisie par Dieu pour la naissance de Jésus. (Comme Noé, Moise, Abraham, et autres prophètes).
(La loi est le miroir du péché). (Ceux qui la connaissent comprennent quand ils se trompent). (Ceux qui connaissent la li et enseignent des fausses choses, ils sont hypocrites).
Quand nous sommes vraiment repentis de nos péchés, et nous avons fait un juste choix et une vrai CONVERSION, nous pouvons demander à Dieu tout ce que nous voulons, et Dieu nous le donnera, seulement si nous le demandons à travers son fils Jésus-Christ, et pas à travers des autres personnes ou saints ou la Vierge (inventés par les faux Chrétiens, les Catholiques). (Jésus a quatre frères et sœurs germaines). (Marie n'a jamais fait un miracle et a vécu une vie comme toutes les mères).
Marie ne peut pas intercéder pour nous, Jésus seulement peut le faire. Les papes, les évêques, les cardinaux, les prêtres, les moines, les nonnes et toutes les autres religions sont toutes l'un contre l'autre; ils se tuent, aucune religion est Chrétienne. Les Catholiques sont la seule guide spirituelle officielle, mais donc pourquoi n'ont-ils pas enseigné le verbe de Jésus pendant 2000 ans??! Pourquoi? (Il y aurait moins de voleurs et de criminels si les papes, les cardinaux, les évêques, les prêtres avaient enseigné la Vérité). (Au lieu de faire la sainte Inquisition).
Ils contrôlent tout, ces faux Chrétiens, jusqu'au moment où les peuples se réveillent et comprennent qu'ils travaillent au détriment de toute l'humanité; ils veulent être la continuation des vrais Chrétiens et ils font un miracle après l'autre, mais à vrai dire leur Dieu est Satan et tous ces miracles sont opération de Satan (donc pourquoi n'ont-ils enseigné le verbe de Dieu?).
Parce que quand Satan a tenté Jésus et lui a dit " Si tu m'obéis, et tu te prosternes devant moi, tout sera à toi et tout le monde sera ton serviteur, tu seras riche et ils te glorifieront ", Jésus a répondu " NO! ", ainsi que les papes, les cardinaux, les évêques catholiques ont répondu "OUI! .
Pour enseigner le verbe de Dieu il ne faut pas une instruction au séminaire, qui te rend esclave et sans une vrai éducation, comme pour beaucoup d'autres religions. Ils font leur mieux pour tuer Jésus, spirituellement aussi, et pour le substituer avec l'idolâtrie et avec prières répétées pour les saints, les évêques, les papes qui ont fait mourir beaucoup de gens avec l'Inquisition.
Ils savent qu'ils ne détiennent pas la vérité et ils sont perdus, et donc ils opèrent pour cacher la vérité aux autres. Le verbe de Jésus-Christ est la vérité, mais le clergé ne l'a jamais enseigné. (Et ils se gardent bien de le faire). Dieu est patient, il fait pleuvoir sur les bons et les méchants.
Pourquoi? Parce que quand la vérité se montrera, pour les faux Chrétiens et pour les faux prophètes il y aura les grandes punitions que Dieu jettera sur leur. (Dieu est amour, mais quand Jésus fera retour, justice sera faite, le sillon qui sépare les bons et les justes des méchants sera fait et il sera profond, tu dois choisir maintenant, avant qu'il soit trop tard). (Les limbes n'existent pas, ils ont été inventés par les papes, qui ont eu treize fils, avec des femmes différentes, sans tenir compte de l'homosexualité, qui est toujours présente aujourd'hui dans les églises catholiques, et les pédophiles, pourquoi ils ne se marient pas? Peut-être parce qu'ils sont des monstres, l'homosexualité existe, plus que dans des autres environnements).
Le baptisme des garçons après peut de jours de leur naissance n'est pas valide! (Il s'agit d'une coutume crée par les catholiques pour obliger les personnes, de père en fils, à rester prisonniers de leur fausse religion catholique).
Maintenant le baptisme se fait dans l'esprit, sans besoin d'aucun, la présence de Jésus suffit, avec ses anges, quand on choisit d'être chrétien, et on doit rendre compte à Dieu seulement. (On est baptisé avec deux ou trois personnes, naturellement Chrétiennes, si on veut). (On doit dire qu'on veut être Chrétien). (Puis on est vraiment libre).
On peut aussi se baptiser tout seul, si on connaît très bien les Ecritures Saintes; dans les Ecritures Saintes on trouve le contact avec Dieu, toujours à travers Jésus. Les Ecritures Saintes ne doivent pas être considérées à la lettre, surtout les verses de l'Ancien Testament, et appliquées aujourd'hui dans l'ère de l'Apocalypse.
Les péchés doivent être confessés à Dieu et pas aux prêtres, ou aux évêques, mais seulement à Dieu, toujours à travers Jésus. Avec l'aide de Jésus ta conscience comprend quand elle est tranquille devant Dieu.
C'est pas difficile d'être chrétien, et il nous donne beaucoup de joie, il nous délivre des magiciens, des superstitions et des vices, et nous vivrons plus contents et tranquilles. Les péchés peuvent provoquer des maladies mortelles.
(MOI, Oreste Novarini, JE CHERCHE DES BONNES PERSONNES SINCERES ET HONNETES QUI ONT SOIF DE VERITE' ET BESOIN DE DIRE CE QU'ILS PENSENT).
Tout seul, il me faut beaucoup de temps pour résoudre ce problème, mais quelqu'un doit le faire.
J'ai besoin de quelqu'un qui m'aide dans ce travail, pour résoudre ce problème, pour trouver un système qui soit juste, facile et moderne pour aider toutes les gens qui n'arrivent pas à comprendre, parce que toutes les religions pensent à soi-même. Nous devons avant tout faire connaître les DIX COMMANDEMENTS et aider à comprendre que toutes les religions se trompent, surtout la religion catholique, qui n'est pas chrétienne, et c'est pour ça que beaucoup de gens cherchent le verbe de Dieu dans des petites églises non-catholiques. (Jésus aussi était une secte, un fou, selon les prêtres de celle époque). Quand Jésus fera retour les Catholiques ne s'en tireront en demandant pardon, comme ils font aujourd'hui, pour les péchés qu'ils ont faits dans le passé et qu'ils font à présent, et qu'ils feront dans le future. C'est trop facile soutenir la gauche et la droite et toutes les religions païennes pour pouvoir toujours guider le destin de tout le monde. (Karma)
Pensez que si on observe les dix commandements il n'y aura plus de guerre, ni entre les peuples ni entre les religions, plus de voleurs, ni faux prophètes. (C'est pas difficile observer les dix commandements - si quelqu'un qui a le pouvoir nous l'enseigne). (De saint Augustin jusqu'à aujourd'hui, le premier pape qui a fait sa mère sainte, des mots ont été ajoutés à la Bible; gare à ceux qui ajoutent quelque chose aux Ecritures Saintes, ou éliminent). (Cela s'est passé autour de 300 après Jésus-Christ).
C'est pas important ce que nous étions, la seule chose importante est choisir de devenir des personnes neuves, avec une FOI SINCERE en Dieu et en son fils Jésus-Christ. Nous pouvons parcourir le bon chemin indiqué par Jésus. (Il s'agit d'un chemin difficile et étroit, mais pas trop aujourd'hui, parce que quand Jésus rentre dans nos cœurs, le chemin deviendra plus facile).
(Et l'Apocalypse se réalise, tous les méchants sont détruits, avec toutes les fausses religions).
Toutes les religions qui vont contre l'enseignement de Jésus sont fausses, mais tout le monde est libre de choisir, mais on doit aussi rappeler qu'on doit rendre compte à Dieu.
Nous savons que l'espoir et la FOI sans les BONNES ŒUVRES sont mortes, donc nous devons faire des bonnes œuvres, c'est à dire faire connaître la vérité (le verbe de Dieu). Le verbe de Dieu est étouffé, tué par ces faux chrétiens, les catholiques.
Qu'est-ce que c'est la vérité? On peut dire que la vérité est ce qu'on croit, nous en avons eu beaucoup de ces hommes et nous en aurons encore, mais personne n'était si juste que Jésus; Jésus, c'est la vérité.
On ne doit pas imiter ce qu'Il a fait; tout ce qu'Il a fait et souffris, il l'a fait pour nous donner la chance de comprendre que la vie est belle, il suffit de renoncer au mal, seulement en le faisant notre vie peut améliorer. S'il n'y avait les Catholiques ou autres religions fanatiques, tout serait plus simple et facile. (La vérité est ce qu'on éprouve). Il n'y a jamais été un homme meilleur que Jésus.
Silvio Berlusconi aussi aujourd'hui est la personne la plus indiqué et sincère, et Bush agit comme s'il était Jésus, mais il n'est pas Jésus.
JE REPONDRAI GRATUITEMENT A TOUS CEUX QUI M'ECRIVERONT.
Ceux qui peuvent m'aider, peuvent écrire à cette adresse (s'ils connaissent les Ecritures Saintes) (ou s'ils ont des bons conseils):
Novarini Oreste
Via G. Paisiello n. 9
34148 TRIESTE (TS)
ITALIA
(Je répondrai à toutes les questions que vous me poserez).
(Naturellement vous pouvez donner des conseils utiles, sincères et chrétiens).
Une petite bienfaisance: pour répondre aux personnes intéressées à ce nouveau et moderne enseignement, sans aller contre Jésus, et pour le bien de tout le monde, veuillez envoyer une petite bienfaisance à:
Novarini Oreste - Compte courant postale n. 20221495
(ou inclure des timbres dans la lettre)

(Ajouter, pour ce qui ne vivent pas en Italie):
Novarini Oreste - Compte courant postale n. 20221495
ABI 07601 --- CAB 02200

Pour tout le Friuli Venezia Giulia, pour ceux qui veulent, on peut recevoir l'enseignement des Ecritures Saintes gratuitement chez vous (et bientôt dans tout le monde).
Moi, avec l'aide de Jésus, je veux aller contre toutes les fausses religions, en les démasquant toutes, grâce à un approfondi étude des Ecritures Saintes.
Toutes les religions ajoutent ou modifient ou éliminent ou embrouillent la vérité des Ecritures Saintes. C'est juste que les Vrais Chrétiens résurgent aujourd'hui, mais qui sont-ils, ces Vrais Chrétiens? Peut-être sont-ils les musulmans, les juifs, les Palestiniens, ou les témoins de Jéhovah, ou bien aussi les mormons, ou les protestants, les adventistes, ils sont tous mal vus des Catholiques, et pourtant quelque part il y doit être les Vrais Chrétiens !
Certains communistes qui vont dans les églises catholiques, pour habitude ou pour coutume, même s'ils sont athées, dans leur cœur, sont plus chrétiens que les catholiques, il suffisait de leur enseigner la vérité, et ils ne seraient pas communistes, athées, marxistes, menteurs, staliniens, étatistes et bureaucrates intellectuels. L'éducation est importante si elle est accompagnée par l'intelligence.
Tout le monde abuse des pauvres gens, comme la CGIL (Confédération Générale Italienne des Travailleurs) qui profite des Ouvriers en les exploitant comme une force à utiliser comme elle veut.
Les Ouvriers doivent donner des ordres à la CGIL et pas le contraire, ou pire, la politique oblige la CGIL à porter ces pauvres Ouvriers dans la rue.


Mes salutations distinguées
Novarini Oreste

11 septembre 2001

ORNELLA, PAPY E PRISCILLA

ORNELLA DA PICCOLA E PAPY

 

ORESTE DA 20 ANNI E 35 ANNI

 

 

 

SOUVENIR DEL CANADA

 

 

 

IN MEMORIA DI MIO FIGLIO STEFANO SCOMPARSO A GIUGNO DEL 2012

Qui era con Diane e sua figlia Vanessa

 

 

Oreste nonno di Vanessa, mia moglie Franca con mio figlio Adamo

 

 

 

 

 

 

 

 

 

RICORDI DEL BATTESIMO DI PRISCILLA E ADAMO

 

ADAMO A CAVALLO, PRISCILLA E ZIA MARIA DALL'AMERICA

FUSINE - ITALIA

 

 

 

ESTATE A LIGNANO

 

A VENEZIA

 

 

MATRIMONIO DI ROBERTO E ANNA

 

FESTEGGIAMO GIOVANNI STOLFA CHE FREQUENTA LA CHIESA EVANGELICA DI MONFALCONE CON IL FRATELLO IN FOTO ANGELO (VITTORIO)

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

LES AMIS DE L’HOMME
Les Amis de l’Homme sont des dissidents des Témoins de Jéhovah qui étaient, eux, issus de l’adventisme. La séparation eut lieu en 1916 sous l’impulsion du Suisse Alexandre Freytag (1870-1947), auteur d’ouvrages dont Le Message à l’Humanité et La Vie Eternelle. A sa mort en 1947, car il finit par mourir, bien qu’il eût espéré le contraire, ses disciples se séparèrent en deux et fondèrent une branche en Suisse et l’autre en France. M. Ruffener lui succéda en Suisse, au château de Cartigny. Mais Bernard Sayerce en France prétendit qu’il l’avait désigné comme son successeur légitime. Le siège social des Amis de l’Homme français se trouve au 22 rue David-d’Angers, 75019 Paris. Ils ont aussi des adeptes en Belgique et en Allemagne. Un bimensuel, Moniteur du Règne de la Justice, tire à 96.000 exemplaires en 7 langues. Freytag se considérait comme « l’ange ou messager de L’Eternel » de Malachie 3:1. Il prêcha une alimentation rationnelle, le reboisement (!) et l’altruisme par lequel on laisse pénétrer en soi l’esprit de Dieu ou fluide vital. La religion des Amis de l’Homme n’est ni plus ni moins qu’un humanitarisme philanthropique très éloigné de la Bible. Il n’existe pas de différence doctrinaire, mais plus fanatique que la suisse. Tous s’abstiennent de tabac, vin, café, et parfois de viandes et de sucreries. L’orgueil, enseignant-ils, est, à côté des Eglises et de toute forme de religion, le principal malheur des hommes. Mais bientôt viendra le Royaume de Justice. Le paradis sera établi sur terre. Pour y avoir droit, il faut suivre la « Loi Universelle ». Pour ce qui est des méchants, ils vont au-devant de leur propre destruction, sans aucune intervention de Dieu, le fluide vital n’ayant plus aucune action sur leur système nerveux. Quant au Christ, il est revenu sur terre par sa résurrection et habite au milieu des siens. Le millénium a commencé en 1918 et se terminera par le rétablissement de toutes choses. Le travail de « l’Armée de l’Eternel » consiste à développer, dans des établissements et colonies spéciaux, l’esprit voulu, assainissant le monde et permettant aux gens de recevoir le fluide vital. Le « petit troupeau » fait partie des 144.000 qui régneront avec le Christ dans les cieux pendant le millénium. Quant à l’Armée de l’Eternel, elle formera la « nouvelle terre ». En attendant, on vend les livres de Freytag, diffusés à des centaines de milliers d’exemplaires. Les adeptes font preuve de bonté et de gentillesse et exhortent chacun à améliorer son caractère et à travailler à la bonne entente de tous, en luttant contre l’égoïsme. Message de douceur qui parvient à séduire des faibles écrasés par la lutte pour la vie…
Ils seraient environ 10.000 en France, essentiellement en Lorraine, en Champagne et dans le Sud-Ouest.
QUESTIONS DE RÉVISION ET EXERCICES :
1) Quelle est la religion des Amis de L’Homme ?
2) Qu’a-t-elle de spécifiquement chrétien ?
3) En quoi est-elle fondamentalement différente du christianisme ?
http://www.egliselutherienne.org/bibliotheque/doctrine/symbolique/Symb_18.htm
http://inforeligion.ca/groupes/Fiches/fiche055.htm
http://www.info-sectes.org/sectesgd/amis.htm
Contact : info@inforeligion.ca
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 (13) LA SOFFERENZA DEL CUORE ABBATTE L’UOMO, MA LA PAROLA BUONA LO RALLEGRA. (Proverbi 12:25)
Uno dei mali oggi più diffusi è sicuramente la depressione. L’uso (abuso?) di psicofarmaci è sempre più diffuso, psicologi e psicoterapeuti vedono in costante aumento il numero dei loro clienti. Così come sono in aumento le cosiddette malattie psicosomatiche: malattie che colpiscono il corpo (soma), ma che hanno la loro origine nell’anima, nella mente (psiche). Il testo di oggi ci porta a una triste riflessione su questa realtà: quando i pensieri, i sentimenti, le emozioni (“il cuore”) sono carichi di tensioni e di sofferenze, l’uomo è abbattuto (verbo che fa pensare ad una pianta non più eretta, ma stesa al suolo!). Ma, nello stesso tempo, ci indica anche la via per uscire dalla sofferenza, la via per essere rallegrati, per cacciare angosce e timori. Questa via è indicata qui semplicemente con “la parola buona”. Ma qual è questa “parola buona”? Nel versetto 50 del Salmo 119 leggiamo: “Questo mi è di conforto nell’afflizione, che la Tua parola mi fa vivere”: è da Dio che ci viene “la parola buona” che rallegra, che fa vivere anche l’afflizione. p.m.
(14) BISOGNA CHE IL VANGELO SIA PREDICATO FRA TUTTE LE GENTI. (Marco 13:10)
È necessario che ogni persona ascolti il Vangelo, perché solo così si può essere salvati e si può scampare dalla morte eterna, ma, affinché questo avvenga, c’è bisogno di alcuni che vanno e di molti che pregano e sostengono l’opera di Dio. Un cinese cristiano fece a un suo connazionale, pure lui cristiano, questa domanda: “Quale sarà la prima cosa che fari quando salirai in cielo?”. L’amico rispose: “Ringrazierò il Signore Gesù per avermi salvato”. Benissimo”, continuò l’altro “e poi cosa farai?”. “Andrò dal missionario che venne nel mio paese per farmi conoscere Cristo” fu la risposta. “Bene”, disse ancora l’interlocutore “e ti fermerai qui?”. “No”, disse l’amico “andrò a cercare e ringraziare chi ha offerto del denaro, affinché il missionario potesse venire a predicare il Vangelo a me nella mia terra”. Ogni cristiano deve contribuire alla necessità di predicare il Vangelo fra tutte le genti in questi tre modi: andando, pregando, donando. E un giorno, in cielo, sarà bello vedere qualcuno avvicinarsi per dire “Grazie!”. r.b.
(15) L’ETERNO, IL TUO DIO, È UN DIO MISERICORDIOSO. (Deuteronomio 4:3)
L’idea di Dio buono, misericordioso, che ci ama e si prende cura di noi, è senz’altro quella che piace di più anche se poi questo Dio dovrebbe prendersi cura di noi secondo i nostri piaceri, i nostri progetti. Insomma, dovrebbe essere al nostro servizio: quasi, quasi come il genio della lampada. Indubbiamente l’Eterno è misericordioso, ma elargisce questa misericordia a chi desidera riceverla, a chi ricerca la Sua grazia. Chi si trova in un paese straniero e ostile, può ritenersi al sicuro solo quando entra nell’ambasciata della sua nazione. Lì è a casa, sotto la protezione della sua patria. Lo stesso principio è valido per usufruire della misericordia di Dio. Occorre conoscere la via per arrivare “all’Ambasciata del cielo” ed entrare per avere protezione! La via e la porta sono Gesù. “Gesù disse Io sono la Via la Verità e la Vita, nessuno viene al Padre se non per mezzo di Me” (1 Giovanni 14:6); “Io sono la Porta, se uno entra per Me sarà salvato…” (Giovanni 10:9). Dove ti trovi? Sei dentro o fuori “dell’Ambasciata del cielo”? Se sei fuori, sei in pericolo! w.g.
(16) HO LA FEDE IN DIO CHE AVVERRÀ COME MI È STATO DETTO. (Atti 27:25)
Spesso si ha della fede un concetto vago, astratto mistico. I surrogati sono tanti, soprattutto la religione; ma la vera fede è caratterizzata da una coscienza personale del’oggetto in cui si pone fede e fiducia. L’apostolo Paolo, l’autore di quest’affermazione, aveva avuto un incontro personale con Dio, Gesù Cristo era l’oggetto della sua fede, sapeva in Chi aveva creduto e poteva essere sicuro di quello che gli sarebbe accaduto, perché Dio stesso glielo aveva rivelato attraverso un angelo di notte (leggi Atti 27:14-25). Non dobbiamo aspettarci degli angeli, perché oggi Dio ci dice ciò che ci serve di sapere, attraverso la Bibbia. ma anche noi come Paolo possiamo avere fede in Dio, che avverrà come leggiamo. L’importante è leggere la Sua Parola, credere, avere fede e accettarla come verità assoluta. Altrimenti che avverrà della nostra vita? b.s.
(17) AMA L’ETERNO IL TUO DIO, E OSSERVA SEMPRE QUELLO CHE TI DICE. (Deuteronomio 11:1)
Queste parole furono rivolte al popolo d’Israele centinaia d’anni fa. Esse si basavano sulle dimostrazioni dell’amore di Dio, della Sua grandezza, del Suo intervento a favore del Suo popolo. Dio si mostrava degno di fiducia, degno di essere amato e ascoltato. Ma Lo è ancora oggi. Infatti il Suo amore, la Sua forza, il Suo raggio d’azione non sono diminuiti! Vale la pena perciò rispondere all’amore del Signore e seguire la via per la quale ci guida. Io ho fatto la mia scelta ed ho constatato personalmente la presenza di Dio nella mia vita; osservare la Sua volontà è sempre stato il meglio per me, anche se a volte me ne sono accorta in ritardo. Non tornerei mai indietro dall’ubbidienza. Davanti alle parole di questo versetto, oggi ci sono persone diverse da allora, a cui però Dio chiede, alo stesso modo, di prendere una posizione e di mantenere un impegno; di amarlo e di dimostrarlo con l’ubbidienza. Egli mostra costantemente di esser degno di fiducia; sta a te, ora, concederGliela. e.s.
(18) PREPARATI A INCONTRARE IL TUO DIO (Amos 4:12)
Non possiamo davvero dire che Dio non ci richiami e non ci inviti a riflettere. Il peccato ci ha rovinato e ha portato maledizione anche sulla natura. Possiamo dire che non è vero? Ogni giorno abbiamo prove della cattiveria umana e di quello che possiamo escogitare per soddisfare i nostri desideri e la nostra cupidigia a scapito degli altri. E ogni giorno vediamo anche quanto la natura possa mostrare che cosa ha significato la maledizione del peccato nella creazione. Come reagiamo? Riflettiamo su quello che Dio ci rivela o non ce ne curiamo?Ma è sicuro che, prima o poi, dovremo incontrare il nostro Dio e rendere conto di come abbiamo preso o non preso sul serio i Suoi avvertimenti. v.n.
(19) QUEL CHE CHIEDERETE NEL MIO NOME, IO LO FARÒ, DISSE GESÙ. (Giovanni 14:13).
“Mamma, però Gesù non mi ha ascoltato . . .” esordì mio figlio, al ritorno da un centro estivo. “Raccontami, cosa è successo?” gli chiesi. Lui mi raccontò che era arrivato in finale al torneo di pingpong e che ci teneva tantissimo a vincere, così aveva pregato e chiesto a Dio di aiutarlo a vincere, ma era deluso perché era arrivato “solo” secondo. Dal nostro colloquio emersero le seguenti considerazioni: 1) Essere arrivati secondi, significa aver vinto la medaglia d’argento, quindi si tratta comunque di una vittoria. 2) E se anche l’avversario avesse fatto richiesta? 3) Era proprio così importante vincere, o valeva la pena fare una bella gara sportiva e corretta? Insomma, quante volte facciamo così con Dio? Chiediamo perché sappiamo che Lui ci ascolta, ma chiediamo nel “nostro nome”, ossia chiediamo per compiacere la nostra volontà e non la Sua. Dio risponde sempre: a volte dice “sì”, altre dice “no”, altre ancora dice “aspetta”. E tutte le risposte sono puntuali e sagge. m.f.
(20) L’ETERNO DISPREZZA L’UOMO DISONESTO. (Salmo 5:6)
L’atteggiamento disonesto è quello che, per trarne un vantaggio personale, ci porta a nascondere qualcosa che non dovremmo nascondere. Non di rado tali atteggiamenti, riescono purtroppo a raggiungere il loro scopo. I mezzi di comunicazione, sono ogni giorno carichi di una infinità di truffe, imbrogli, furti, che per così dire, sono arrivati alla luce del sole, ma mi chiedo spesso chissà quanti altri rimangono nascosti e sconosciuti. L’uomo che non ha il timore di Dio, certo non si fa scrupoli nell’ingannare il prossimo. La conoscenza può essere messa anche a tacere. Ma ci sarà un giorno, dice la Bibbia, che tutto verrà alla luce anche le cose tramate nel segreto di un nascondiglio saranno illuminate da Colui al quale nulla sfugge. L’apostolo Paolo scrive: “Dio giudicherà i segreti degli uomini per mezzo di Gesù Cristo” (Romani 2:16). g.b.
(21) C’È UN SOLO DIO E UN SOLO SIGNORE, GESÙ CRISTO. (1 Corinzi 8:6)
I figli di Dio hanno un privilegio grandioso: quello di essere tali perché rinati in Dio per mezzo di Gesù Cristo. Colui che è il Signore del cielo e della terra è divenuto il mio Signore. una figura che all’uomo moderno fa paura, perché vuole sentirsi libero e signore di sé stesso, ma ai figli di Dio dà sicurezza e gioia. Quante volte, amico o amica, ti sei ritrovato/a impantanato/a in mille difficoltà e non sapevi a chi chiedere aiuto? Tutti sappiamo come è duro vivere oggi nella nostra società e l’immagine che mi viene in mente è quella che vide Gesù: tante pecore senza pastore, stanche e sfinite. Grazie siano rese a Dio, per il dono inestimabile del Suo Figliuolo. Oggi io posso testimoniarti che è in Lui che esisto e in Lui trovo la forza per vivere in questo mondo. Il mio Signore è anche il mio Papà e, come tale, mi accompagna con amore nel cammino della vita. Passa anche tu intraprendere questo cammino glorioso. p.p.
(22) L’ETERNO È GRANDE E DEGNO DI SOVRANA LODE. (1 Cronache 16:23)
Colui che pronunciò queste parole fu il re Davide, in occasione dell’organizzazione del servizio del tabernacolo, invitando tutti gli abitanti della terra a celebrare il Signore. Infatti a Lui solo è dovuta la lode in quanto Egli è più grande di tutti gli dèi. Gli dèi che adorano i pagani sono solo idoli vani, mentre l’Eterno è Colui che ha creato tutto l’universo: cieli e terra (Genesi 1:1), cose visibili e invisibili (Colossesi 1:16). Perciò non permettiamo che degli idoli (sia persone venerate o beni materiali), prendano posto nel nostro cuore, usurpando il primato che spetta solo al Signore, ma adoriamo e ringraziamo solamente l’Eterno, poiché Egli è il più grande di tutti e l’unico degno di ogni sovrana lode. n.s.
(23) FERMATEVI SULLE VIE E GUARDATE DOVE SIA LA BUONA STRADA, E PRENDETELA. (Geremia 6:16)
Qualsiasi viaggio ha bisogno d’una attenta preparazione studiata in precedenza sulle carte per tracciarne l’itinerario. La Parola del Signore invita proprio a questo tipo di riflessione sul nostro percorso di credenti. Dio ha già stabilito delle strade, “dei sentieri antichi”, che noi dobbiamo percorrere esattamente, senza cercare a nostro giudizio delle strade alternative che ci potrebbero nel posto sbagliato. L’invito a scegliere la strada buona è sempre attuale ed è confermato sia dalla Parola del Signore sia dall’esperienza di altri che hanno lasciato esempi d’ubbidienza. Questa strada buona rappresenta il nostro modo di vivere, il nostro modo di prendere le decisioni giuste, rinunciando a tutte quelle errate. La scelta è una cosa seria, singola e personale e non ammette dilazioni nel tempo. A volte essa potrà anche comportare di rallentare l’andatura e allora vorrà dire che occorre aspettare in preghiera, prima di poter scegliere la vita migliore. s.p.
(24) LA PREGHIERA DEGLI UOMINI RETTI È GRADITA ALL’ETERNO. (Proverbi 15:8)
Dio non è un’invenzione dell’uomo. È Dio stesso che “ha messo nel cuore di ognuno il pensiero dell’eternità”, come ha detto il re Salomone (vedi Ecclesiaste 3:11). Dio apprezza le preghiere che salgono da un cuore onesto. Ma ci sono degli ostacoli a che le preghiere siano ascoltate. La Bibbia li nomina. Il primo è il peccato che domina il cuore che non è stato purificato dalla fede in Cristo. Un altro è l’egoismo che chiede per il proprio tornaconto. Un terzo è l’amore del benessere che prega per soddisfare i propri piaceri e desideri. Il quarto è la mancanza di perdono. Gesù l’ha detto molto chiaramente, dopo aver insegnato il Padre Nostro: “Se perdonate agli uomini i loro falli, il vostro Padre celeste perdonerà anche a voi, ma se voi non perdonate agli uomini, neppure il Padre vostro perdonerà i vostri falli”. E parlava a discepoli! Il quinto ostacolo è riservato ai mariti e si trova nella prima lettera di Pietro. Parafrasato dice: “Trattate con gentilezza le vostre mogli; se no le vostre preghiere non andranno più lontane del soffitto della vostra camera”. m.t.s.
(25) GUARDATEVI DAL DISPREZZARE UNO DI QUESTI PICCOLI BAMBINI. (Matteo 18:2,10)
I bambini hanno un grande valore agli occhi di Dio. Sanno di essere piccoli, di non aver forza e potere, di dipendere dalle cure dei loro genitori e sono fiduciosi che da loro riceveranno ciò di cui hanno bisogno. Indicandoci i bambini, Gesù sconvolge il concetto comunemente accettano di grandezza dell’uomo e ci mostra la strada che conduce a Dio. Dove il mondo ammira potere, forza fisica, conoscenza, grandi opere e grandi parole, Gesù ci insegna che Dio è attratto solo da coloro che sanno abbandonarsi tra le Sue braccia e hanno fiducia assoluta in Lui. Hai mai pensato che dobbiamo prendere esempio dai bambini? Che oggi, invece di trascurare o disprezzare i bambini, abbiamo bisogno di diventare come loro? Abbandoniamo le nostre pretese di grandezza e cerchiamo di diventare piccoli: Gesù ci vuole come bambini con un cuore umile e sincero... solo così potremo diventare grandi! g.f.r.
(26) LA VIA DI DIO È PERFETTA. (2 Samuele 22:31)
Nella Bibbia Dio ci rivolge le parole più sublimi, ci propone gli ideali più elevati, ma non solo: ci mostra in modo molto concreto la via giusta che dobbiamo scegliere e percorrere ogni giorno. Infatti negli Atti degli apostoli l’Evangelo è chiamato “La via di Dio” (18:26). È questa la via sicura che ci conduce fino alla mèta. Imboccare la “via della salvezza” (Atti 16:17) e percorrerla fino in fondo è la scelta più importante di tutta la vita. Ma una via la si può percorrere in molti modi: stanchi, scoraggiati, lamentosi, nostalgici di altre vie (Luca 9:62); o invece pieni di gioia, di coraggio, di speranza, perseveranti (Ebrei 12:1), correndo verso la mèta (Filippesi 3:13,14), col vivo desiderio di ottenere il premio (1 Corinzi 9:24). È vero, la via di Dio è perfetta, perché Gesù stesso si presenta come la Via (Giovanni 14:6). Il Suo perdono, le Sue ricchezze, i Suoi doni infiniti assomigliano a fiori che raccogliamo percorrendola. Ci sono tante vie: hai scelto quella perfetta, la via che Dio ti offre? Se è così, gloria a Dio! Hai fatto la scelta migliore di tutta la tua vita. Mai in che modo la percorri? l.p.
(27) SORGERANNO FALSI PROFETI E FARANNO SEGNI E PRODIGI… MA VOI STATE ATTENTI. (Marco 13:22-23)
Il Signore Gesù, parlando del Suo ritorno in gloria, fra i vari segni che lo avrebbero proceduto, citò l’apostasia e la seduzione da parte dei falsi cristi e falsi profeti. Mai come oggi pullulano eresie, sette, false dottrine. In certi ambienti religiosi si negano le verità fondamentali della fede: la divinità di Cristo, la Sua incarnazione, l’efficacia della Sua morte, il Suo ritorno, l’autorità e la divina ispirazione di tutta la Bibbia, ecc… Le persone sono disorientate e non sanno quale via seguire. Ma dove è possibile trovare la verità nel campo spirituale? Nessuna chiesa o religione ha il monopolio della verità, ma una Persona vivente, Gesù Cristo e la Sua Parola. Egli poteva dire ai Suoi contemporanei: “Io sono la via, la verità e la vita”. Dobbiamo porre in Lui la nostra fiducia. Colui che afferra Gesù Cristo, trova la verità e una risposta ai suoi interrogativi. p.d.n.
(28) VIGILERÒ SULLA MIA CONDOTTA PER NON PECCARE CON LE MIE PAROLE. (Salmo 39:1)
Le parole che escono dalla nostra bocca sono il frutto e lo specchio di ciò che abbiamo nel cuore e ciò che serbiamo nel cuore, determina la nostra condotta, “poiché dall’abbondanza del cuore la bocca parla” (Matteo 12:34). Perciò, se vogliamo amare il Signore in risposta al Suo grande amore, dobbiamo tenere sotto controllo la nostra persona, seguendo i principi divini che Egli ci ha trasmessi attraverso la Sua Parola scritta, la Bibbia. In qualsiasi rapporto d’amore umano, si cerca sempre di far felice l’altro che amiamo, desiderando il meglio per lui e sforzandoci di non deluderlo o offenderlo. Tanto più dobbiamo vigilare sul nostro rapporto d’amore con Dio che saprà sicuramente ricolmare la nostra vita di benedizioni e pace che solo Lui sa garantire. s.b.
(29) DIO VI HA PERDONATI IN CRISTO. (Efesini 4:32)
Quello che l’apostolo Paolo esprime, con le parole del versetto di oggi, è la realtà centrale della fede cristiana. Morendo al nostro posto sul legno della croce. Gesù ha pagato il prezzo del nostro riscatto. Se Dio può ora perdonare e salvare gli uomini peccatori è proprio in virtù del l’opera di Cristo, in Lui possiamo essere perdonati. L’apostolo Paolo però, in questo caso, ci ricorda che i credenti sono stati perdonati con lo scopo preciso di portarci a fare altrettanto nei confronti del nostro prossimo. Nella prima parte del versetto Paolo ci esorta proprio ad essere misericordiosi e a perdonare. Dunque la grande, enorme verità che c’è dietro a queste parole di Paolo è che la morte di Cristo non è solo la base della nostra salvezza eterna, ma è anche la base di un rapporto d’amore vero fra gli uomini, la base della guarigione dai conflitti, dalle controversie. La base per dei rapporti sociali giusti ed equilibrati. f.a.
(30) AVETE PREFERITO CIÒ CHE MI DISPIACE, DICE L’ETERNO. (Isaia 65:12)
Queste parole, rivolte da Dio al Suo popolo, che si era comportato in modo cocciutamente contrario alla Sua volontà, costituiscono la parte conclusiva di un discorso con cui Dio spiegò quale sarebbe stata la Sua punizione per questo comportamento. Il popolo conosceva bene le leggi di Dio, e ciò rendeva più grave la sua disubbidienza. Dio non è cambiato con il passare dei secoli, e oggi condanna ancora le stesse cose che condannava allora. Fra noi uomini c’è la tendenza a voler essere “politicamente corretti”, e così finisce per dichiarare accettabili e normali certi comportamenti che finora erano giudicati devianti e peccaminosi. Ma a Dio non interessa essere “politicamente corretto”: ciò che L’offende, Egli lo condanna e lo punisce. h.p.
LUGLIO
(1) NON REGNI IL PECCATO NEL VOSTRO CORPO. (Romani 6:12)
Il peccato è una realtà. È iniziato nel momento in cui Adamo e Eva hanno disubbidito a Dio e DNA di ognuno di noi. Le bugie, i furti, gli adultèri, ecc. sono i sintomi della presenza di questo male congenito. Però, se riconosciamo di essere schiavi del peccato, chiediamo perdono a Dio, accettiamo il dono della Sua grazia che salva per i meriti di Cristo, lo Spirito di Dio viene ad abitare in noi, ci rigenera e ci permette di vivere una vita nuova. Allora il peccato, che prima faceva da padrone, non ha più il diritto di regnare. Con una forza nuova, finalmente possiamo ubbidire al nostro Signore, Gesù Cristo. Vuol dire che noi pecchiamo, possiamo fare ricorso a Gesù che ha pagato per noi: “Se confessiamo i nostri peccati, Egli è fedele e giusto da perdonarci i peccati e purificarci da ogni iniquità” (1 Giovanni 1:9). Che peso tolto! m.t.s.
(2) VENITE DIETRO A ME E VI FARÒ PESCATORI DI UOMINI. (Matteo 4:19)
Uomini invitati ad abbandonare le loro barche, le loro reti e il loro duro lavoro di pescatori per andare dietro a un personaggio che conoscevano solo in parte. Con quale promessa? Quella di continuare il loro lavoro, ma vivendolo in modo radicalmente diverso: non più sulle acque del lago, ma per le strade sassose e polverose dei villaggi d’Israele; non più gettando le reti, ma annunciando il messaggio della Buona Novella; non più cercando di prendere pesce da vendere e con cui godere dei benefici (sfamarsi, provvedere attraverso la vendita ad altri bisogni), ma cercando di pescare gli uomini: quindi, nessun beneficio personale, solo benefici per gli altri! Non più pesci caduti nella rete indipendentemente dalla loro volontà, ma “pesci” felici di cadere nella rete e di diventare “il pescato” del maestro! Ma… prima di diventare “pescatori” è, ancora oggi, necessario accettare con gioia di essere “i pesci” caduti nella rete di Gesù. Solo con Lui è possibile vivere questo straordinario passaggio da pesci a pescatori! p.m.
(3) STO IN SILENZIO, NON APRIRÒ BOCCA, PERCHÉ SEI TU CHE HAI AGITO. (Salmo 39:9)
Ricordo la prima volta che ho visto mio padre potare le rose; ero convinta che, tagliandole tanto, le avrebbe rovinate. Invece, a primavera inoltrata, quella pianta era cresciuta più rigogliosa che mai! Papà, da giardiniere esperto qual’era sapeva bene come a quanto potare le rose perché diventassero sempre più forti e più belle. Dio non agisce sempre come noi ci aspettiamo o pensiamo che dovrebbe agire, perché è infinitamente più saggio. Inoltre, essendo il Creatore sovrano e benevolo che è, fa sempre ciò che ritiene meglio per i Suoi figli. Il salmista l’aveva capito, ed è per questo che ha fatto l’affermazione contenuta nel versetto di oggi. Dimostra vera saggezza chiunque dichiara la stessa cosa. h.p.
(4)DIO ORA COMANDA AGLI UOMINI CHE TUTTI, IN OGNI LUOGO, SI RAVVEDANO. (Atti 17:30)
Ravvedersi, pentirsi. Sono sinonimi? Non proprio. I vangeli ci dicono che Giuda si è pentito di quello che ha fatto, ma questo pentimento lo ha portato ala disperazione e al suicidio. Il pentimento, il rammaricarci di quello che siamo e facciamo, può anche non avere uno sbocco positivo. Ci dispiace, ci disperiamo, ma non cambia nulla. Il ravvedimento cambia le cose. La parola greca indica proprio un cambiamento di pensiero e di direzione. Chi si ravvede, non sta fermo a disperarsi, ma cambia strada. Se prima voltava le spalle a Dio ora si rivolge a Lui. Se rifiutava di riconoscersi peccatore, ora accetta il verdetto di Dio, e chiede anche perdono. Il pentimento può essere reso sterile da un atto di grande orgoglio: la mia situazione è tanto grave che non può cambiare. Il ravvedimento porta all’umiltà che dice: “Signore tirami fuori da questa situazione disperata”. Dio ci ordina con autorità: “Ravvedetevi”, perché solo allora Gli permettiamo di agire. v.n.
(5)CERCATE NEL LIBRO DELL’ETERNO E LEGGETE. (Isaia 34:16)
Al liceo ho avuto un professore di storia e filosofia molto in gamba, che ha lasciato dentro di me un bel ricordo. Oltre a essere preparato era molto bravo a livello didattico, tanto che riusciva ad attirare l’attenzione di 20 studenti scalmanati quali eravamo io e i miei compagni! Una delle cose che ci ripeteva spesso era che non dovevamo credere ciecamente alle sue parole, ma dovevamo andare alla fonte delle sue argomentazioni e vedere se le cose stavano veramente così. È con lui che ho imparato a leggere documenti storici, trattati filosofici, ecc. Questa utile pratica ha ancora più valore per quel che riguarda il più importante libro che l’uomo abbia mai avuto: la Bibbia. Non dobbiamo accentarci di quello che la tale religione dice o tal altra fede afferma, ma dobbiamo cercare personalmente nel libro di Dio per capire come stanno le cose. Se leggi la Bibbia, essa illuminerà il tuo cammino, se credi in ciò che è scritto ti salverà se metti in pratica le Sue parole ti guiderà, ma se non la leggi e non la ubbidisci, ti giudicherà. r.b.
(6)STARÒ ATTENTO A QUELLO CHE L’ETERNO MI DIRÀ (Abacuc 2:1)
Un giovane di mia conoscenza mi ha confessato di voler intraprendere un cammino spirituale con Dio, e ben intenzionato, tuttavia molti interrogativi turbano il suo cuore mettendolo in crisi. Ad esempio: “Perché Dio permette che il male si diffonda sulla terra?”. Ebbene, anche il profeta Abacuc, pur conoscendo l’Eterno da molto tempo, un giorno si trovò a vivere il medesimo dubbio. Ascoltate che cosa disse al Signore: “… perché mi fai vedere l’iniquità e tolleri lo spettacolo della perversità?”, ancora: “…perché guardi i perfidi e taci quando il malvagio divora l’uomo che è più giusto di lui?” (Abacuc 1:3,13). Sono passati alcuni millenni e le domande sono sempre le stesse: “Perché?... perché…?”. Invece di fornire delle risposte in merito, è preferibile ascoltare la riflessione del profeta Abacuc: “Starò attento a quello che l’Eterno mi dirà”. Mi dirai: “In che modo posso fare attenzione?”. La risposta è molto semplice anche se richiede impegno: “Leggi con attenzione e devozione la Bibbia!”. È lì che il tuo cuore conoscerà le risposte importanti della vita e una intima soddisfazione che ti riempirà completamente. s.v.
(7) QUESTO POPOLO MI ONORA CON LE LABBRA, MA IL LORO CUORE È LONTANO DA ME. (Matteo 15:8)
La nostra lingua è un organo meraviglioso che usiamo per emettere suoni, parole e comunicare il nostro pensiero al prossimo. Possiamo però usarla anche per nascondere il nostro pensiero o la realtà del nostro cuore, insomma per fingere. Con questo atteggiamento possiamo ingannare gli uomini, ma non certo il Signore. Il popolo d’Israele, dice la Bibbia, aveva sviluppato una religiosità di questo genere, vuota e senza sostanza: la bocca proferiva parole di lode, ma il cuore seguiva i propri interessi e i propri idoli. “Dicono e non fanno” diceva Gesù dei farisei (Matteo23:3), mettendo in guardia i Suoi discepoli dall’imitarli. Nel cuore umano esiste una lacerazione profonda dal peccato che ha trasformato la più sublime fra le creature di Dio, in un’ipocrita. È solo in Gesù che possiamo recuperare quella dignità che il peccato ci ha tolto. g.b.
(8) IMPRIMETEVI NELL’ANIMA QUESTE MIE PAROLE. (Deuteronomio 11:18)
Il Dio della Bibbia è l’unico che si è fatto conoscere. Ha parlato per mezzo di profeti al popolo d’Israele, si è rivelato nella storia, 2000 anni fa per mezzo dell’incarnazione di Cristo, ha ispirato gli apostoli e altri Suoi servi perché scrivessero il Nuovo Testamento. La Sua Parola spiega come Lui è, quello che vuole da noi. Si è preso la briga di dirci come ha creato il mondo, ci spiega perché nel mondo c’è tanto male, e come questo mondo finirà. Ci ammonisce per il nostro bene, e, soprattutto, ci indica come possiamo salvarci l’anima dalla perdizione eterna. Chiede solo di essere ascoltato. Come Lo ascolti? Come il telegiornale? Spero di no. Dio ci chiede di imprimere nel nostro intimo le Sue parole, cioè vuole che le meditiamo, le assimiliamo, in modo che diventino parte di noi stessi, per poterle poi mettere in pratica. Hai una Bibbia? La leggi? Se non ne hai una, chiede una copia a chi ti ha regalato questo calendario o al suo editore. Non finirai mai di scoprire dei veri tesori! m.t.s.
(9) L’ETERNO APRE GLI OCCHI AI CIECHI, RIALZA QUELLI CHE SONO ABBATTUTI. (Salmo 146:8)
Leggendo tutto il Salmo, si può constatare che il salmista promette che celebrerà Dio per tutta la sua vita, perché Colui che ha fatto i cieli e la terra è fedele e giusto nei confronti di coloro che sono oppressi qui sulla terra. Quanti sforzi e quante promesse fatti dall’uomo, specie dai politici nelle campagne elettorali, con lo scopo di guadagnare qualche consenso da parte delle classi più deboli! Promesse di un mondo migliore e più giusto sono naufragate miseramente perché l’uomo, essendo per natura peccatore (Efesini 2:3) e soggetto alla morte, non riesce nonostante i suoi buoni propositi, a portare a termine i suoi progetti. Perciò il salmista invita gli uomini ad affidarsi alla misericordia e alla giustizia di Dio, l’unico che può dar loro un aiuto vero e una speranza certa, poiché il Signore mantiene la Sua fedeltà in eterno. n.s.
(10)CERCATE CIÒ CHE È GRADITO AL SIGNORE. (Efesini 5:10)
Cercare ciò che è gradito al Signore, significa amarLo. Infatti, che cos’è l’amore? Amare qualcuno vuol dire fare per lui delle cose che gli facciano piacere. Quando si ama Dio non si può fare a meno di cercare di compiere, dire e pensare, delle cose che Gli siano gradite. Egli ha fatto tutto per noi, per il nostro bene. Ha anche mandato Gesù sulla terra per esser ucciso e portare così i miei peccati, offrendomi la salvezza. Che cosa posso fare io? Non certo “ripagarLo” per il dono della vita eterna. Posso solo esclamare: “Grazie Signore che mi hai salvato!”, e ogni giorno dimostrare questa gratitudine attraverso una vita vissuta a cercare di fare ciò che è gradito al mio Signore. Proprio questo è stato il mio desiderio, fin da quando mi sono convertito a Dio all’età di dicei anni. E questo anche il tuo? e.m.

(11)L’ETERNO DÀ FORZA ALLO STANCO E ACCRESCE IL VIGORE A COLUI CHE È SPOSSATO. (Isaia 40:29)
La vita quotidiana ci procura spesso preoccupazioni, tensioni e stress. A tutti è capitato di esclamare: “Non ce la faccio più, sono stanco!”. Molti, per essere guariti dal malessere interiore che li affligge, ricorrono alle cure dello psicologo o dello psichiatra. I giovani in particolare sono infelici e delusi. Si sentono spesso inutili e inadeguati, non trovano un senso alla loro esistenza. Hanno visto crollare uno dopo l’altro i vari miti, gli ideali nei quali avevano posto la loro fiducia e per cui avevano lottato, sperando di creare una società migliore. Per placare il loro senso di insoddisfazione alcuni si drogano, altri si danno all’alcool e ai piaceri, altri ricorrono alla cura dello psicologo. Purtroppo la depressione colpisce senza distinzione ricchi e poveri, sapienti e ignoranti, uomini e donne, giovani e anziani. Chi può dare forza e vigore allo stanco, chi può riempire il vuoto del cuore dell’uomo, chi può dare quella felicità e quel senso alla vita che tutti cercano? Solo il Signore, il quale ci invita ad andare a Lui: “Venite a Me, voi tutti che siete affaticati e oppressi, e Io vi darò riposo”. (Matteo 11:28). p.d.n.
(12)IO BENEDIRÒ L’ETERNO IN OGNI TEMPO. (Salmo 34:1)
Potremmo pensare che Davide, quando ha composto questo Salmo che inizia con queste parole di lode, si trovasse in un momento particolarmente felice della sua vita. Invece era appena uscito da una situazione complicata, pericolosa e anche umiliante. Un uomo in fuga si trova costretto ad affrontare pericoli e circostanze compromettenti, e forse non è nello stato d’animo per dare gloria a Dio. Ma Davide riconosce che senza l’intervento di Dio le cose sarebbero potute andare davvero male in peggio. Lui non avrebbe potuto fare nulla per liberarsi, solo il Signore poteva guidare le circostanze in modo tale da tirarlo fuori dal ginepraio in cui si trovava. Dio lo aveva liberato, aveva risposto alla sua richiesta d’aiuto, aveva dimostrato la Sua bontà. Per questo il cuore di Davide è pronto a lodare Dio, in ogni tempo e in ogni situazione. E noi, in quale disposizione d’animo ci troviamo? Siamo pronti a riconoscere la mano di Dio nella nostra vita, il Suo intervento, il Suo sostegno, o pensiamo di poterci aiutare da noi, con le nostre capacità e la nostra intelligenza? v.n.
(13)LA PAROLA DEL SIGNORE RIMANE IN ETERNO. (1 Pietro 1:25)
Nel corso dei secoli, molti hanno cercato di attaccare e distruggere la Bibbia, la Parola di Dio; la si è contraddetta, bruciata e resa ridicola, ma mai nessuno ha potuto annientarla, anzi, tantissime persone sono state benedette dalla lettura o dall’ascolto anche di piccole parti della Bibbia. Un bottegaio comprò all’asta, per pochi centesimi, una grossa Bibbia e non conoscendo il suo contenuto se ne servì per incartare i pacchetti ai clienti. In quella cittadina viveva un uomo che, tormentato dal pensiero di aver commesso un omicidio, non trovava pace. La parola “assassino” gli risuonava spesso nelle orecchie. Un giorno mandò il figlio a comprargli qualcosa, questi ritornò con un pacchetto avvolto da una pagina della vecchia Bibbia. Lo sguardo del padre si fermò su Ebrei 9:22 “…senza spargimento di sangue non c’è remissione…”. Incuriosito lesse ancora, finché non trovò la luce piena per la sua anima e il perdono in Gesù. s.g.
(14)SARETE CONDOTTI DAVANTI A GOVERNATORI E RE PER CAUSA MIA. (Matteo 10:18)
Il credente in Gesù Cristo è chiamato da Dio ad essere sottomesso alle autorità superiori (Romani 13:1-6). D’altra parte, deve saper riconoscer quando “bisogna ubbidire a Dio anziché agli uomini” (Atti 5:29). Nella nostra società democratica probabilmente non ci è mai capitato di essere accusati legalmente a motivo della nostra fede, ma questo è accaduto nel passato, accade ancora oggi in molti paesi, e non si può escludere che potrebbe accadere anche a noi nel futuro. Sono pronto a questa eventualità? Nella Germania hitleriana molti credenti furono sorpresi quando il regime nazista, nel 1937, ordinò lo scioglimento di alcune chiese cristiane e vietò ai credenti di radunarsi. Molti erano impreparati, furono sorpresi e parlarono di “fulmine a ciel sereno”. Ma non era così. Il cielo non era affatto sereno e i figli di Dio avrebbero dovuto accorgersene. Certo, è facile dirlo adesso, a cose avvenute, ma deve servire a noi come ammonimento. Resta valida però anche la promessa di Gesù: “Non preoccupatevi… lo Spirito Santo vi insegnerà in quel momento stesso quello che dovete dire” (Luca 12:12). m.c.
(15) NON PRONUNCIARE IL NOME DELL’ETERNO, DIO TUO, INVANO. (Esodo 20:7)
Questo è il terzo dei dieci comandamenti. Il Signore aveva rivelato il Suo nome a Mosé e dopo diede questo divieto. Come mai? Se leggiamo Esodo 3:1-14 notiamo che, dal pruno ardente. Egli si presentò a Mosé come “il Dio d’Abramo, d’Isacco e di Giacobbe”, cioè il Dio dei suoi antenati. Poi fece conoscere la Sua identità con “Io sono Colui che sono” e, infine, si rivelò in modo veramente personale svelando il Suo nome nel tetragramma “YHWH” (tradotto con “Io sono”). Dio autorizzò Mosé a usare il Suo nome per uno scopo ben preciso: “L’Io sono mi ha mandato da voi”. Da questo impariamo che, se usiamo il nome del Signore per i Suoi scopi e nella Sua volontà, non c’è nessun divieto a farlo, anzi c’è l’approvazione divina. Ma, quando Lo pronunciamo con leggerezza e per i nostri scopi, per evitare che il Suo nome santo diventi un superficiale intercalcare dei nostri discorsi, dobbiamo ricordarci di questo comandamento. r.b.
(16) FUORI DI ME NON C’È ALTRO DIO E NON C’È SALVATORE FUORI DI ME. (Isaia 45:21)
L’uomo ha sempre cercato di rappresentare Dio. Un excursus storico potrebbe analizzare il senso di religiosità che ogni popolo ha avuto, creandosi tanti dèi a propria immagine e somiglianza. Dio, invece, Si è rivelato a noi attraverso la Sua Parola. È Lui che ci ha cercati, da quando ci siamo allontanati da Lui. Le rappresentazioni divine delle varie religioni, evidenziano un nostro ineluttabile bisogno di comunione con la divinità. Gli dèi sono la ricerca sbagliata da parte dell’uomo di Dio, per questo il Signore proclama e ci indica il giusto modo: Nel Vangelo di Giovanni (14:6) leggiamo che Gesù disse: “Io sono la via, la verità, e la vita, nessuno viene al Padre se non per mezzo di me”. La perfetta volontà di Dio rivela che non può esserci altro Signore e Salvatore fuori di Lui e del Suo Figlio Gesù, l’Emmanuele, “Dio con noi”. m.m.
(17) “NON CI SCORAGGIAMO DI FARE IL BENE”. (Galati 6:9)
Lo scoraggiamento ci assale all’improvviso: ci siamo dati tanto da fare per risolvere un certo problema, per aiutare un amico, una vicina di casa, un parente e nessuno si è accorto di noi. Incredibile . . . mentre facciamo del bene diventiamo trasparenti, gli altri non notano quanta fatica ci è costato questo o quello, solo quando non facciamo niente o facciamo il male la nostra presenza diventa scomoda, siamo oggetto di critiche. Ecco perché ci scoraggiamo, ci aspettiamo che qualcuno si accorga di noi e ci sproni ad andare avanti gratificandoci. Ma se non è accaduto, vorrei ricordarti che quel “Qualcuno” c’è, è il Signore, a Lui non sfugge nulla di quello che fai e neppure un piccolo gesto di aiuto o disponibilità verso gli altri viene sottovalutato. Anzi, ci viene ricordato che senza saperlo possiamo aver dissetato anche un angelo! a.m.
(18) BEATO L’UOMO A CUI LA TRASGRESSIONE È PERDONATA. (Salmo 32:1)
Precedentemente questo salmista aveva sicuramente sperimentato sentimenti tutt’altro che felici. Si era trovato a derivare dalla strada giusta, oltrepassando forse poco alla volta i confini del bene, prima con i pensieri e in seguito con le azioni. Poi, pur se ancora coinvolto in questa situazione di grave disagio spirituale, sbarazzando dell’orgoglio ha trovato il coraggio di confessare le proprie colpe. A questo punto è avvenuto il miracolo del perdono divino, che è come un nuovo inizio e fornisce una nuova opportunità. Dio ci perdona perché è pieno di compassione per noi e vuole guarire completamente tutte le nostre malattie spirituali; proprio davvero tutte e non solo alcune; come spesso fanno i nostri medici specialisti. Inoltre il Suo è un perdono immediato e non è condizionato da alcun periodo di prova di buona condotta. Al contrario del perdono umano, il Signore, fra l’altro, promette anche di dimenticare e di allontanare i nostri peccati cancellandone per sempre qualsiasi traccia. Per questo motivo la persona, perdonata in tale modo meraviglioso, non può che definirsi beata e avere un cuore pieno di riconoscenza. s.p.
(19) IL CIECO RECUPERÒ LA VISTA E SEGUIVA GESÙ GLORIFICANDO DIO. (Luca 18:43)
Che bell’esempio di gratitudine a Dio! Il cieco, dopo la guarigione, decide di seguire Gesù, che è la luce del mondo, dona luce agli occhi naturali del cieco, ma anche al suo spirito. Il cieco, con il suo atteggiamento, testimonia che l’amore riconoscente è un buon movente per una vera ubbidienza a Dio che premia sempre questo comportamento. Pensate: la fede del cieco trionfa e la prima persona che egli vide è proprio Gesù! Questo evento ci testimonia che solo Gesù può guarire la nostra anima, donandoci la Sua luce. Allora, proprio come il cieco, manifestiamo la fede in Cristo e glorifichiamoLo per le Sue risposte! s.b.
(20) GRANDE È IL NOSTRO SIGNORE, LA SUA INTELLIGENZA È INFINITA. (Salmo 147:5)
Quest’affermazione può apparire quasi scontata, il riferimento che subito viene alla mente è quello della creazione dell’universo nella quale Dio ha veramente dimostrato un’intelligenza infinita; BASTI pensare alla varietà e alla complessità della vita sulla terra. Molto meno scontata è l’intelligenza di Dio, se pensiamo alle vicende della vita dell’uomo, sia in generale per quanto riguarda la storia dei popoli, sia in particolare per la storia dei singoli individui. A questo proposito abbiamo molto di più da dire e spesso ci permettiamo anche di contestare le scelte della volontà di Dio, soprattutto quando entrano in gioco grandi e umanamente inspiegabili sofferenze. La mia domanda è dunque la seguente: “Abbiamo abbastanza coraggio e abbastanza fede per credere che il piano che il Signore sta portando avanti, per la nostra vita e per quella delle altre persone, è assolutamente perfetto e frutto della Sua intelligenza infinita?”. f.a.
(21) SE CERCATE L’ETERNO, EGLI SI FARÀ TROVARE DA VOI. (2 cronache 15:2)
Le parole di questo versetto si trovano nell’Antico Testamento ed erano rivolte al popolo degli Ebrei. Esse esprimono un concetto ribadito molto spesso in tutta la Bibbia, valido anche per noi oggi: chiunque ricerca il Signore con fede, con sincerità e convinzione, per accettare nella propria vita il Suo perfetto piano di salvezza attraverso il sacrifico di Gesù, può essere certo di trovarLo. Ma se rinuncia a questa ricerca, può essere altrettanto certo di non giungere a nessuna conclusione, perché Dio non costringe nessuno ad amarLo. Lui ci ama sempre e comunque, e la Sua pazienza nei confronti dell’uomo peccatore è infinita. Proprio in virtù di questo amore, ci lascia liberi di scegliere. Perciò sta a noi decidere, ma non potremo poi, nell’eternità, attribuire a Dio le conseguenze negative delle nostre scelte terrene. Se Lo avremo abbandonato, Egli ci abbandonerà. s.b.
(22) LA VIA CHE PERCORRI È CONTRARIA AL MIO VOLERE. (Numeri 22:32)
Ognuno di noi segue nella vita un percorso di principi morali, desideri e scelte, quasi sempre fatti secondo la propria volontà; ma come facciamo a essere sicuri di essere sulla strada giusta? Dio nella Sua Parola dice: “Le vostre vie non sono le Mie vie” (Isaia 55:8) e c’è una via che all’uomo sembra diritta, ma essa conduce alla morte” (Proverbi 14:12). La via secondo il volere di Dio non solo è descritta nella Bibbia, ma anche si è concretizzata in una Persona: Gesù! Infatti Egli disse: “Io sono la via, la verità e la vita; nessuno viene al Padre se non per mezzo di Me” (Giovanni 14:6). Chi segue Gesù e i Suoi insegnamenti, non solo vive secondo il volere di Dio, ma percorre la via che, dopo la morte, porta subito in cielo. Sei sicuro di percorrere la via che Dio desidera per te? In caso di dubbio è meglio conoscere prima la Sua volontà, che è sempre perfetta e poi…farla. b.s.
(23) DALL’ABBONDANZA DEL CUORE PARLA LA BOCCA. (Luca 6:45)
Il Signore Gesù fece questa affermazione mentre insegnava che una persona si riconosce dal suo frutto. Se nel cuore abbonda il peccato, anche le azioni, le parole e i pensieri saranno malvagi; ma se nel cuore regna il Signore, allora ogni cosa sarà sotto il Suo controllo. Dio dice che il cuore è il centro delle Sue attenzioni, perché da esso partono tutte le direttive. È come la stanza dei bottoni di una grande nave: l’andamento della nave dipende da chi sta dietro a quei bottoni, da chi la governa, da chi la comanda. Tutti abbiamo ereditato una natura peccaminosa, incline al male. Siamo solo capaci di fare ciò che è male agli occhi di Dio, proprio come un albero selvatico non può fare frutti buoni. Però chi, all’ascolto della Parola di Dio, giunge alla consapevolezza del proprio stato di peccato e crede nella sufficienza del sacrificio di Cristo, diventerà una nuova creatura, proprio come un albero innestato produrrà buoni frutti alla gloria di Dio. s.g.
(24) DIO MI HA RIVESTITO DELLE VESTI DELLA SALVEZZA. (Isaia 61:10)
Dio nella Bibbia, fa spesso ricorso a illustrazioni tratte dalla vita quotidiana per aiutare a comprendere meglio verità non sempre facili da presentare. Al tempo di Isaia “le vesti” costituivano il vestito (tunica) “il mantello” avvolgeva all’esterno le vesti e il corpo per offrire migliore protezione. Il capo d’abbigliamento visibile dall’esterno era ovviamente il mantello. Questa relazione vien usata da Isaia per descrivere il rapporto fra giustizia e salvezza. “La salvezza”, che oggi possiamo ottenere soltanto attraverso la fede personale in Cristo, costituisce l’aspetto più intimo del dono di Dio; è il dono che si pone a diretto contatto con la nostra persona e ci trasmette un senso profondo di pace e di sicurezza. “La giustizia” invece ci avvolge dall’esterno: è l’azione più visibile della grazia di Dio che rende giusto un uomo peccatore come me. Ecco perché anche oggi sono felice: perché la giustizia di Dio mi avvolge e mi fa vivere nell’intimo del mio cuore la gioia della salvezza! p.m.
(25) MEGLIO POCO CON IL TIMORE DELL’ETERNO, CHE GRAN TESORO CON TURBAMENTO. (Proverbi 15:16)
“Sapessi che belle case ho visto oggi!” mi ha raccontato mio figlio un giorno, dopo aver trascorso volumi delle Pagine Gialle. Poi ha proseguito: “Ma non vorrei mai viverci! Alcune sembrano delle vere prigioni, con tutte quelle misure di sicurezza per tenere lontani i malintenzionati!”. Il versetto suscitato, però, non fa solamente il contrasto fra chi ha e chi non ha, ma anche fra chi teme Dio e chi non Lo teme: contrappone il “poco con il timore dell’Eterno” con il “gran tesoro con turbamento”. Il che non significa automaticamente che i poveri siano sempre benedetti e vicini a Dio, né che i ricchi siano sempre infelici e lontani da Lui; è il cammino con Dio che cambia ogni cosa, donando tranquillità e pace a chi è figlio Suo. h.p.
(26) SIAMO SALVATI MEDIANTE LA GRAZIA DEL SIGNORE GESÙ. (Atti 15:11)
Sulla grazia c’è una grande confusione. Secondo la religione ufficiale, è un aiuto da parte di Dio per aiutarci a fare la Sua volontà. Giuridicamente, è un atto di clemenza, che il capo di uno stato concede a un condannato. Lo perdona e lo manda libero, nonostante i crimini commessi. Non è concessa se non è richiesta. Secondo la Bibbia, la grazia è un favore NON meritato, che Dio concede ai peccatori, condannati alla perdizione eterna, che si riconoscono tali e Gliela chiedono, senza accampare alcun diritto. Dio la concede per i meriti di Cristo, il Quale ha subito la condanna che spettava ai peccatori. Non c’è altro modo per ottenere la salvezza. Non si può pagare, non si possono compiere riti o azioni religiose per ottenerla, non può essere meritata con una buona condotta. L’apostolo Paolo ha sintetizzato il concetto, come solo lui sapeva fare: “Se è per grazia, non è più per opere. Altrimenti grazia non è più grazia” (Lettera ai Romani 11:6). Allora, tu sei graziato o condannato? m.t.s.
(27) ASCOLTATE PERCHÉ L’ETERNO PARLA. (Geremia 13:15)
La maggior parte delle persone non ha difficoltà ad ammettere che Dio esiste, ma ha qualche problema ad accettare il fatto che Dio parla. Si potrebbe dire che molti concedono benevolmente a Dio il diritto all’esistenza, ma Gli negano il diritto di parola. Ma il mondo stesso è stato creato da Dio mediante la Parola, e questa Parola un giorno si è fatta carne nella persona del Signore Gesù Cristo. Nel giorno del giudizio non servirà a niente dichiarare di aver creduto all’ESISTENZA di Dio. perché si verrà giudicati sulla base di come si sarà reagito alla PAROLA di Dio. “Badate di non rifiutare d’ascoltare Colui che parla”, afferma l’autore della lettera agli Ebrei, riferendosi naturalmente al Signore; e prosegue: “perché se non scamparono quelli, quando rifiutarono d’ascoltare Colui che promulgava oracoli sulla terra, molto meno scamperemo noi, se voltiamo le spalle a Colui che parla del Cielo” (Ebrei 12:25). Si capiscono meglio allora le parole del testo di oggi: “Ascoltate, perché l’Eterno parla”. m.c.
(28) CHI BEVE DELL’ACUA CHE IO GLI DARÒ, NON AVRÀ PIÙ SETE. (Giovanni 4:14)
Come avresti risposto alla dichiarazione radicale e, per certi versi, misteriosa del Signore Gesù? Rifletti soltanto per qualche istante. Ecco, intanto, la risposta semplice e desiderosa della donna samaritana: “…Signore dammi di quest’acqua!”. Questa donna stava comprendendo tre verità importanti per la sua vita. Primo: l’acqua di Gesù, evidentemente, non era come quella che ogni giorno attingeva dal pozzo. Secondo: lei era, e questo è chiaro dal racconto, spiritualmente e moralmente assetata. Terzo: l’interlocutore che le stava davanti era una persona davvero speciale, in grado di soddisfare i suoi bisogni pienamente e definitivamente. Ebbene, oggi in questo preciso istante, l’invito amorevole del Figlio di Dio viene rinnovato a tutti coloro che hanno sete, che sono afflitti e che forse, esattamente come quella donna, sono stanche di vivere. Gesù ha un’acqua speciale, anche per te che stai soffrendo a motivo dei tuoi peccati! Dunque se ti senti moralmente e spiritualmente arido, accogli l’invito di Gesù Cristo e ricorda che: “Egli muta il deserto in lago e la terra arida in fonti d’acqua” (Salmo 107:35). s.v.
(29) AL MATTINO FAMMI CONOSCERE LA VIA DA SEGUIRE. (Salmo 143:8)
Le nostre giornate sono così frenetiche che non riusciamo a prendere la sana e santa abitudine di aprirle leggendo la Parola di Dio e pregando e, quando la sera ritorniamo a casa, ci rendiamo conto di aver fatto tanti sbagli o, meglio, di aver fatto tante cose buone nel modo sbagliato!! Mi spiego: abbiamo lavorato sotto stress perché ce la mettiamo tutta, ma nessuno lo nota mai; abbiamo dialogato coi nostri colleghi, ma a mezze frasi perché non vale la pena sprecarsi per chi non ci apprezza nel modo giusto; abbiamo servito i nostri cari, ma solo per dovere, e poi… siamo andati a letto per il meritato riposo, ma ci abbiamo messo un po’ per addormentarci! Perché? Abbiamo vissuto la giornata senza la guida del Signore. La via che ogni mattina dobbiamo seguire è l’esempio di Gesù stesso che ha dato solo per la gioia di dare, che ha servito solo per la gioia di servire, che ha aiutato solo per la gioia di aiutare e che la mattina si alzava quando era ancora buio per pregare il Padre. Se lo ha fatto Lui, figuriamoci quanto ne abbiamo bisogno noi! r.b.

(30) NON CESSAVANO DI PORTARE IL LIETO MESSAGGIO CHE IL GESÙ È IL CRISTO. (Atti 5:42)
Il libro degli Atti racconta la veloce diffusione dell’Evangelo in luoghi lontani e non sempre facilmente raggiungibili. Ciò accadde perché gli apostoli erano convinti che quella era davvero la buona notizia di cui avevano bisogno i loro contemporanei. Furono emarginati, picchiati, imprigionati, subirono accuse ingiuste e certamente provarono sentimenti contrastanti, ma la convinzione che il messaggio era troppo importante per tacere, li spinse a continuare nonostante tutto. La diffusione di quel messaggio fu velocissima anche se i mezzi non erano quelli efficienti di cui disponiamo oggi, per portare la notizia avevano a disposizione le loro gambe, il passa-parola e soprattutto vite trasformate dalla potenza dello Spirito Santo. Noi possiamo usare tutti i mezzi di cui oggi disponiamo ed è giusto farlo, ma la nostra vita trasformata rimane la testimonianza più attendibile e la sola comunicazione, verbale e non, di cui hanno veramente bisogno i nostri contemporanei. a.m.
(31) ALLORA SI ADEMPÌ QUELLO CHE ERA STATO DETTO PER BOCCA DEL PROFETA GEREMIA. (Matteo 2:17)
L’avvenimento a cui si riferiscono queste parole è l’ordine di Erode di uccidere tutti i bambini al di sotto dei due anni (perché aveva saputo che era nato un altro re, Gesù). È interessante notare quante volte si leggono nella Bibbia riferimenti all’adempimento di profezie, soprattutto in riferimento a Gesù. Molti scrittori del Nuovo Testamento, come pure Gesù stesso, citano l’Antico Testamento per sottolineare la continuità e la veridicità della rivelazione divina nelle Scritture. Dio afferma categoricamente nell’Antico Testamento che ciò che Egli dichiara per bocca dei profeti si avverrà SEMPRE, e pone questa come condizione dell’autenticità della rivelazione dello stesso profeta. Il che significa che non si può scegliere di credere e accettare solo una parte delle Scritture; o tutto o niente, compreso il Giudizio finale. h.p.
(1)AGOSTO. NON È L’ETERNO TUO PADRE CHE TI HA COMPRATO? (Deuteronomio 32:6)
Mosè scrive un canto ricco di significato. Non vivrà ancora a lungo, la sua missione sta per concludersi. Eppure, fino alla fine, guida Israele e serve il Signore. Egli dice: “Si spanderà il mio insegnamento come la pioggia . . . io proclamerò il nome del Signore. Magnificate il nostro Dio!” (Deuteronomio 32:2,3). Le parole di questo canto evidenziano due realtà contrastanti. Da una parte Dio: fedele, giusto e retto. Dall’altra il popolo: insensato e privo di saggezza. “Non è l’Eterno tuo Padre che ti ha comprato? Non è Lui che ti ha fatto e ti ha stabilito?”, ecco l’accusa severa di Mosè. Egli in sostanza dice al popolo: “Il Signore ti ha salvato, protetto e nutrito. Lui ha ogni diritto su di te e invece tu sei un ribelle. È questa la ricompensa che dai al tuo Dio?”. Queste parole ci impongono una seria riflessione. Quante volte avvertiamo nella nostra vita le cure amorevoli del Signore, la provvidenza, le liberazioni? Eppure Lo ripaghiamo con l’ingratitudine e con una condotta malvagia ! Dopo aver riflettuto facciamo nostre le parole di Mosè: “ …io proclamerò il nome del Signore”. s.v.
(2) QUESTO È IL SUO COMANDAMENTO: CHE CREDIAMO NEL NOME DEL FIGLIO SUO, GESÙ CRISTO. (1 Giovanni 3:23)
La fede è l’unica condizione che Dio pone per una giusta relazione con Lui. Dio ha preso l’iniziativa e ha compiuto ogni cosa per la salvezza dell’uomo. L’uomo deve soltanto ricevere la sua grazia. La fede è la mano tesa che riceve il dono di Dio. Molti, per cercare di piacere a Dio, fanno pellegrinaggi, opere buone, praticano dei riti. Ma non sanno, forse, che la cosa migliore che possono fare per piacerGli è quella di credere in Lui e nella Sua Parola. La vera fede si basa su quello che Dio dice, sulla sua Parola, la Bibbia. Credere significa prendere Dio in parola ed ubbidirGli. La fede che salva non poggia su una chiesa o su una religione, ma unicamente su Cristo. Essa afferra e riceve Cristo come Salvatore e Signore. Non basta una fede intellettuale, ma è necessaria la risposta del cuore verso Cristo. Occorre anche il consenso della nostra volontà. Dio vuole la nostra salvezza, ma anche noi dobbiamo volerla. p.d.n.
(3) SI RALLEGRERANNO TUTTI QUELLI CHE IN CONFIDANO. (Salmo 5:11)
Il mio stato d’animo di oggi dipende anche da quello che prevedo che avverrà domani. Il lavoro del venerdì pomeriggio, con la prospettiva del riposo di fine settimana, sembra diverso da quello che si fa il lunedì mattina. Nel versetto di oggi si parla di persone che un giorno “si rallegreranno”, non è escluso quindi che oggi siano nella sofferenza. Ma poiché al loro orizzonte si profila un futuro di gioia, possono fin da oggi essere nella pace. Ma chi sono questi “fortunati”? Sono quelli che confidano in LUI, o come dice un’altra versione, “amano il Suo nome”. “Ama il Signore Dio tuo con tutto il tuo cuore, con tutta la tua anima e con tutta la tua mente”, disse Gesù a uno scriba citando la legge di Mosè. Non si può “pretendere” di avere da Dio la Sua gioia se non si tiene in considerazione la Sua parola. Amare Dio è un ordine, che noi possiamo osservare soltanto se riconosciamo che Lui ci ha amati per primo donandoci il Suo Figlio, il Signore Gesù, per il perdono dei nostri peccati. m.c.
(4)L’ETERNO È UN DIO DI GIUSTIZIA. (Isaia 30:18)
Quest’affermazione fa seguito all’annuncio di ciò che Dio avrebbe fatto in favore del Suo popolo. Israele, nonostante avesse toccato con mano tante volte il grande amore e la tenera cura di Dio, non aveva ubbidito ai Suoi comandamenti. Per questo, Dio l’aveva punito. Tuttavia, Dio gli aveva anche promesso che non l’avrebbe annientato, come ribadisce la prima parte del versetto: “Tuttavia l’Eterno desidera farvi grazia”, non perché Israele lo meritasse, ma perché Dio è giusto e mantiene sempre le Sue promesse. Ma attenzione! Poiché dalla Bibbia veniamo a sapere che l’uomo nasce peccatore e che Dio è “tre volte santo”, chiunque non sia diventato figlio Suo, alla fine di questa vita riceverà la Sua giusta condanna. “Beati quelli che sperano in Lui!” h.p.
(5)CHI PUÒ CON LA SUA PREOCCUPAZIONE AGGIUNGERE UN’ORA SOLA ALLA DURATA DELLA SUA VITA? (Luca 12:25)
Queste parole sono state pronunciate da Gesù con lo scopo di spingere i discepoli a una maggior fiducia nel Padre celeste. Certamente dobbiamo preoccuparci di tutte le questioni relative alla vita di ogni giorno, non potremmo non farlo. Le parole di Gesù, però, ci ricordano che al di sopra di ogni cosa c’è Dio con la Sua volontà sovrana. Occupiamoci dunque di ogni cosa, ma facciamolo senza ansia, con piena consapevolezza dei nostri limiti e confidando costantemente nel Signore, nella Sua provvidenza, nella Sua guida. Gesù vuole esortarci a una più completa dipendenza dal Padre, che non deve mai essere intesa come una limitazione della nostra libertà, ma come il modo migliore per vivere una vita senza ansia e senza paura, perché è Dio che si occupa di noi. f.a.
(6)QUELLI CHE CONOSCONO IL TUO NOME, CONFIDERANNO IN TE, O ETERNO. (Salmo 9:10)
Per poter aver fiducia di una persona è necessario conoscerla (non è possibile fidarsi di qualcuno che non conosciamo) e che questa conoscenza ci offra fondate garanzia sulle sue capacità e sulle sue potenzialità. Sappiamo bene purtroppo come a volte può succedere che più conosciamo una persona e meno ci fidiamo di lei. L’affermazione del salmista Davide esprime una certezza: le persone che conoscono Dio avranno sicuramente fiducia di Lui! che equivale a dire che non è possibile conoscere Dio e non avere fiducia in Lui. Ne consegue che l’incredulità è frutto dell’ignoranza. Chi non ha fede in Dio non si è mai neppure minimamente impegnato a conoscerLo, perché il conoscerLo lo avrebbe inevitabilmente condotto alla fede. L’ateo, quindi, non è uno che non crede in Dio, ma è piuttosto uno che si rifiuta ostinatamente di conoscerLo: prima della scelta di non credere, egli ha compiuto la scelta di non conoscere. La fede nasce, infatti, dall’ascolto e dalla conoscenza della Parola di Dio (Romani 10:17). Ascoltare per conoscere: questa è la prima scelta da compiere per giungere alla fede. p.m.
(7) OGNI BUONA PAROLA CHE L’ETERNO VI HA DETTA SI È COMPIUTA. (Giosuè 23:15)
Uno degli errori più grandi che possiamo fare nell’educare i nostri figli è promettere e non fare. Promettiamo premi e poi non li diamo, promettiamo punizioni e poi non le applichiamo. Così i nostri figli non danno importanza alla nostra parola, non ci considerano affidabili. Ebbene, con Dio le cose sono diverse, Giosuè ricorda al popolo che Dio ha compiuto ogni Sua promessa, anche quando sembravano cose impossibili. Questo doveva indurli al ringraziamento e alla lode. Davanti alle tante promesse di Dio contenute nella Sua Parola, possiamo avere la certezza che saranno mantenute, non dobbiamo dubitare. La nostra fede ha basi solide. Ma c’è un’altra cosa che Giosuè ricorda al popolo: Dio ha promesso anche di punire la disubbidienza non è un padre umano incoerente e debole. Dio compie tutte le Sue promesse. Ricordiamocelo con il rispetto che è dovuto alla Sua parola. v.n.
(8) CHE COSA POSSIEDI CHE TU NON ABBIA RICEVUTO? (1 Corinzi 4:7)
La domanda rivolta dall’apostolo paolo ai cristiani della Chiesa di Corinto, rivela uno dei peccati più grandi che l’uomo possa commettere: l’orgoglio. Essi avevano ricevuto, non solo il dono della salvezza in Cristo, ma anche le capacità spirituali per servire il Signore efficacemente. Ben presto, però anziché mantenere la giusta attitudine d’umiltà e di comunione con gli altri cristiani, agirono male e si inorgoglirono. Infatti Paolo è costretto a riprenderli severamente dicendo: “…non vi gonfiate d’orgoglio esaltando l’uno a danno dell’altro” (versetto 6). Subito dopo, per responsabilizzarli, aggiunge: “Che cosa possiedi che tu non abbia ricevuto?”. È come se dicesse: “vi rendete conto che tutto quello che possedete non è vostro, ma lo avete ricevuto in dono al Signore?”. Dunque, non avevano proprio nulla per cui vantarsi. E noi? Pensiamo davvero che quello che abbiamo è nostro? È bello lasciarsi correggere dalle esortazioni del Signore, le quali sono sempre per il nostro bene. Infatti: Ogni Scrittura è ispirata da Dio e utile a insegnare, a riprendere, a correggere, a educare alla giustizia” (2 Timoteo 3:16). s.v.
(9) O ETERNO, CON L’ANIMA MIA TI DESIDERO. (Isaia 26:8,9)
Dio non si accontenta che noi semplicemente ammettiamo la Sua esistenza, d’altronde anche i demoni credono che Dio esiste (Giacomo 2:19). Egli vuole che con Lui e che coltiviamo il desiderio di avere piena comunione con Lui. Come il nostro corpo ha necessità di acqua, la nostra anima ha necessità di avere comunione con il Dio vivente, fonte di vita spirituale, e desidera che Lui soddisfi i bisogni del cuore assetato d’amore. Come i bambini hanno voglia di crescere, di diventare presto come i grandi, anche noi, come bambini spirituali, desideriamo di crescere spiritualmente di maturare interiormente attraverso la meditazione della Parola di Dio e la comunione con Lui. Se cerchi Dio con sincerità di cuore, Lo troverai; se desideri conoscerLo e vivere secondo la Sua volontà, sarai ricompensato con la Sua presenza nella tua vita; se ti mantieni fermo nei tuoi sentimenti e confidi in Lui, esperimenterai la pace di Dio nella quotidianità delle tue giornate. g.f.r.
(10)QUESTA È LA VITA ETERNA: CHE CONOSCANO TE, IL SOLO VERO DIO E COLUI CHE TU HAI MANDATO GESÙ CRISTO. (Giovanni 17:3)
Queste sono le parole che Gesù ha pronunciato nella Sua preghiera la sera dell’ultima cena. Il loro significato è per noi d’importanza fondamentale. L’uomo è creatura di Dio ed è stato creato per vivere con il proprio Creatore. Fatto a immagine e somiglianza di Dio, trova il proprio “compimento”, la propria realizzazione piena, solo se e quando può vivere con il suo Dio. Non vi può essere vera felicità, né appagamento, né vera realizzazione per chi si ostina a voler escludere Dio dalla propria vita. Conoscere Dio è il destino meraviglioso che attende coloro che credono. Conoscere il Signore già qui, durante questa vita, camminando con Lui, in ubbidienza alla Sua Parola e conoscerLo poi, quando l’opportunità di trascorrere l’eternità con Lui. Che cosa ci può essere di meglio per un uomo? f.a.
(11)NOÈ FECE ESATTAMENTE TUTTO CIÒ CHE DIO GLI AVEVA COMANDATO. (Genesi 6:22) La Bibbia ci dice che Noè “camminò con Dio” (Genesi 6:9). Significa che Noè decise di fare di Dio il suo grande amico, il compagno della sua vita, Colui che amava più di ogni altra cosa al mondo, e di avere con Lui una relazione personale e intima. Questa strada che Noè fece con Dio lo portò innanzitutto a desiderare di fare ciò che Lui gli chiedeva e di ubbidire. Lo fece anche quando tutti gli davano del pazzo e lo deridevano in modo ingiurioso. Nel mondo oscuro e peccaminoso in cui viveva, e gli era un diverso, un uomo che andava controcorrente. Questo tipo di vita non solo gli permise di essere gradito e di piacere a Dio, ma significò la salvezza per lui e per la sua famiglia. Camminare con Dio non solo è possibile, ma può cominciare da oggi! Vuoi anche tu “camminare con Dio”? g.f.r.
(12)L’ETERNO È IL NOSTRO LEGISLATORE. (Isaia 33:22)
La legislazione di un Paese è l’insieme delle leggi che regolano la convivenza dei suoi abitanti. Il legislatore, cioè l’autore di questo corpo di leggi, varia con il variare del regime politico che governa il (in molti casi oggi è un parlamento eletto da tutto il popolo, in altri, drammatici, è un dittatore). In tutti i casi una legislazione è espressione della volontà del legislatore! Isaia, annunciando la venuta del regno dell’Unto del Signore (del regno messianico che anche noi attendiamo!), ricorda quattro realtà che in quel regno si verificheranno: il Signore ne sarà “Giudice …Legislatore …Re…Salvatore”. Viene così riaffermata la stretta relazione fra giustizia, legislazione e governo. Ma con una novità rispetto ai “regni” umani: il Signore è anche “Colui che ci salva” perché “il popolo ha ottenuto il perdono della sua iniquità”. Questa prospettiva futura ha una lezione per il mio presente: attraverso la Sua Parola “il Legislatore” mi fa conoscere la Sua volontà, attraverso l’amore di Suo Figlio mi salva perdonando le mie iniquità, attraverso il Suo Spirito mi dà la forza per osservare la Sua legge. p.m.
(13)SIATE PRONTI, IL FIGLIO DELL’UOMO VERRÀ! (Matteo 24:44) nel passato, per prepararsi ad un qualsiasi viaggio, occorrevano mesi e mesi, anche perché le distanze fra paese e paese non erano percorribili nei tempi a cui siamo abituati oggi e che andranno via via restringendosi ancora. I viaggi “last minute” in cui si decide in quattro e quattr’otto di preparare una valigia e recarsi dall’altra parte del mondo, senza neppure averlo ipotizzato qualche settimana prima, sono un’invenzione dei nostri giorni. Il credente, nell’attesa del ritorno del Signore, dovrebbe avere sempre quella valigia in mano e impegnarsi a non affondare radici troppo profonde dove si trova a vivere. Tutta la Bibbia è percorsa dalla certezza del ritorno di Gesù, Egli è venuto per la prima volta qui sulla terra come un bambino bisognoso di cure, tornerà come Re e giudice e, come tutte le altre, anche questa promessa si avvererà puntualmente. a.m.
(14)GESÙ REGNERÀ IN ETERNO, E IL SUO REGNO NON AVRÀ MAI FINE. (Luca 1:33)
Se pensiamo a quanti regni si sono succeduti nella storia, non possiamo fare a meno di meravigliarci pensando quanto questi regni sono stati fragili e di poca durata. Molti sono andati in frantumi, appena dopo la morte del condottiero che li aveva conquistati. Dove sono Napoleone e il suo impero? È bastato un inverno con il suo gelo a mandarlo a pezzi. Dove è l’impero romano? Rimangono acquedotti e ponti, a ricordarlo, ma cos’altro? Anche l’uomo più potente non può allungare la sua vita per godere le sue conquiste. Ma il regno di Cristo durerà per l’eternità, e niente e nessuno potrà strapparGli il potere. Invece di ammirare la gloria effimera degli uomini, non è meglio fare parte del regno di Dio? v.n.
(15) TU, TU SOLO SEI L’ETERNO E L’ESERCITO DEI CIELI TI ADORA. (Neemia 9:6)
Il cielo sarà meraviglioso. Lo straordinario Paradiso, descritto da Daniele, paragonato alla realtà spirituale, apparirà come un teatrino di dilettanti. La Bibbia descrive il cielo come pieno di purezza e splendore. “Non vidi in essa nessun tempio” spiega l’apostolo Giovanni, perché il Signore Dio, l’Onnipotente, e l’Agnello (Gesù) sono il Suo tempio. E la città non ha bisogno di sole, né di luna che risplendano in lei, perché la illumina la gloria di Dio e l’Agnello e il Suo luminare… E niente di immondo e nessuno che commetta abominazione o falsità vi entrerà…” (leggi Apocalisse cap. 21). Il cielo sarà un luogo di felicità e di festa. Niente lacrime, malattie, separazioni. Solo la gioia di conoscere Dio. Gesù ha detto: “Vi dico che v’è allegrezza davanti agli angeli di Dio per un solo peccatore che si ravvede” (Luca 15:10). Sei fra quelli che hanno chiesto perdono a Dio del loro peccato e hanno provocato un’esplosione di gioia nel cielo? Se no, falla esplodere oggi! Te lo auguro per il tuo bene. m.t.s.
(16) QUELLI CHE SONO MORTI IN CRISTO RISUSCITERANNO PER PRIMI. (1 Tessalonicesi 4:16) La vittoria sulla morte è il trionfante annuncio che i primi discepoli di Gesù portarono da Gerusalemme per tutta la Samaria e per tutto il mondo allora conosciuto. Proprio così, la vittoria sulla morte, sul “re degli spaventi”, sullo spettro dinanzi al quale tutti gli uomini tremano e che tutti vorrebbero evitare, su quella condizione irreversibile e misteriosa che tutti sentiamo estranea alla nostra esperienza personale, ma che sappiamo essere terribilmente reale, Gesù ha conosciuto la morte, ma non è morto definitivamente, è passato per la morte ed è risorto; ed ora vive alla destra del Padre per garantire a tutti quelli che credono in Lui la stessa vittoria sulla morte. Sarà un giorno di straordinaria esultanza quando Gesù, come ci assicura la Bibbia, tornerà in gloria per rapire la Chiesa, cioè coloro che sono morti con la fede in Lui. Essi conosceranno la risurrezione dei loro corpi per essere sempre con il Signore. Allora sarà adempiuta la parola che è scritta: “La morte è stata sommersa nella vittoria, o morte dove è la tua vittoria, o morte dove è il tuo dardo?” (1 Corinzi 15:54-55). g.b.
(17)L’INTELLIGENZA DI DIO È IMPERSCRUTABILE. (Isaia 40:28)
Pensare all’intelligenza di Dio, è qualcosa che la nostra mente limitata non può scoprire fino in fondo. Ma da persone intelligenti, quali Dio ci ha creati, attraverso la perfezione del creato possiamo discernere qualcosa delle Sue qualità invisibili e della Sua eterna potenza (Romani 1:20) e scegliere se credere a un Creatore perfettamente intelligente, oppure alle varie teorie sull’evoluzione. In un modo ancora più chiaro attraverso la Sua Parola possiamo conoscere le Sue perfette qualità morali come: santità, amore, giustizia, fedeltà, bontà, sovranità, ecc. L’intelligenza di Dio si vede ancora oggi nella libertà a non forzare nessuno nel volerLo conoscere. Leggi la Bibbia, fidati delle parole di Dio: scoprirai la Persone più grande di tutto l’universo, che ti ama e vuole farsi conoscere da te. Non è meraviglioso? b.s.
(18) LEVATI, O ETERNO, E DESTATI IN MIO FAVORE. (Salmo 7:6)
A primo acchito le parole del salmista appaiono irriverenti e inopportune. Sembra quasi dare ordini a Dio nella sua preghiera. Ma è proprio così? Nell’eccellente libro “Abba Padre - teologia e psicologa della preghiera”, gli autori affermano: “Per Marx la preghiera era un’evasione, per Freud, un’illusione compensatrice. . . perfino vari movimenti teologici continuano a sminuire il vero significato della preghiera… ma, nonostante la forte influenza di queste e di altre correnti di pensiero, milioni di credenti continuano a rivolgersi quotidianamente a Dio”. Davide era uno di quei milioni di credenti e ogni giorno confidava nell’Eterno. Egli pregava nei momenti sereni della vita, come anche in quelli più difficili: “O Signore, Dio mio, in te confido; salvami da chi mi perseguita, liberami” (Salmo 7:1). Perché Davide osava dire al Signore: Levati e destati”? Semplice. Perché conosceva Dio personalmente e voleva coinvolgerLo in tutti gli aspetti della sua vita. Impariamo, dunque, dal salmista a pregare il nostro Dio con gioia e rispetto, con audacia e devozione. s.v.
(19) IL TIMORE DELL’ETERNO SIA IN VOI. (2 Cronache 19:7)
Queste parole furono l’avvertimento e l’auspicio del re Giosafat ai magistrati che dovevano amministrare la giustizia nel paese, come servi e rappresentanti di Dio. Spesso ci accorgiamo che non c’è timore di Dio negli uomini, né in chi amministra la giustizia. La Bibbia afferma che tutti gli uomini sono corrotti, corruttibili e corruttori. Prima o poi, volenti o nolenti, dovremo fare il conto con la santa giustizia di Dio che non si può corrompere né aggirare. Non possiamo diventare giusti davanti a Dio al di fuori della via indicata dal Signore, né attraverso meriti, né attraverso chissà quali mediatori. L’unica via è attraverso il Suo Figlio Gesù Cristo. Rifiutare le indicazioni di Dio è come dirgli: “Ciò che Tu hai pensato e fatto in Gesù per me, non è sufficiente”, mostrando così tutta la nostra corruzione. Temi Dio, crediLo accetta il Suo amore in Gesù. Sarà una gioia per la tua anima. m.m.
(20) SIGNORE, MOSTRAMI UN SEGNO DEL TUO FAVORE! (Salmo 86:17)
Nelle preghiere contenute nei salmi, soprattutto in quelli di Davide, compaiono spesso i “nemici”, i “superbi”, gli “empi”, i “malvagi”, i “malfattori”, coloro che “mi odiano”. Può sembrare strano, ma una persona che ha un buon rapporto con Dio può, proprio per questo fatto, incontrare l’ostilità degli altri. Come si spiega? Sul piano biblico, la cosa non è strana. È cominciato tutto fin dai tempi di Caino, che non potendo sfogare la sua irritazione contro Dio stesso, si è sfogato contro chi aveva sperimentato il gradimento di Dio: il fratello Abele, Davide allora, sapendo di avere molti nemici, chiede al Signore di manifestare il Suo favore verso di lui in un modo chiaro, evidente a tutti, e ne indica il motivo: “Così tutti quelli che mi odiano si vergogneranno”. Non vuole quindi provocare invidia, da cui possono scaturire rabbia e violenza, ma vergogna, che può portare all’umiliazione e al ravvedimento. Sono capace di pregare anch’io in questo modo? m.c.
(21) L’ETERNO SARÀ UN RIFUGIO INESPUGNABILE PER L’OPPRESSO. (Salmo 9:9)
Queste parole, scritte dal re Davide, esprimono la sua fiducia nella bontà di Dio. All’inizio del Salmo, Davide annuncia che avrebbe confidato in Dio, perché aveva sperimentato personalmente la Sua fedeltà. Non si trattava né di una speranza dettata dalla disperazione né di auto convincimento; era, piuttosto, lo stesso tipo di fede di uno che ha fra le mani uno strumento preciso e affidabile su cui conta per ottenere buoni risultati. Trovare un rifugio sicuro è il desiderio di tutte le persone oppresse, me, se è vero che Dio spesso viene in aiuto di chi soffre, è altrettanto vero che ha un occhio di riguardo vero i Suoi figli. A loro, anzi, ha promesso costante protezione, alla pari di un buon pastore, che tiene lontano dal suo gregge ladri e bestie selvagge. h.p.

(22)IO SONO L’ETERNO, TU NON DEVI RICONOSCERE ALTRO DIO ALL’INFUORI DI ME. (Osea 13:4)
Questo è il primo dei 10 comandamenti che Dio diede al popolo d’Israele dopo la liberazione dall’Egitto e che il profeta Osea ricorda, molti anni dopo, quando il popolo si era abbandonato all’adorazione degli idoli. Questo ordine doveva costruire il fondamento di tutta a vita del popolo: della sua moralità, della sua felicità e anche della sua prosperità. Eppure con quanta facilità e disinvoltura Israele ha saputo correre dietro agli idoli, come del resto anche noi oggi. Questi idoli hanno cambiato aspetto, ma non sostanza. Si chiamano denaro, ricchezza, successo, sesso, ricerca di benessere… Il Signore ha cura di ricordarci che l’idolo si presenta in una veste di fascino e seduzione, ma dietro nasconde l’inganno e la morte. Facciamo nostra la supplica del re Davide che in salmo dice: “Unisci il mio cuore al timore del Tuo nome” (Salmo 86:11). g.b.
(23) SIETE STATI RIGENERATI MEDIANTE LA PAROLA VIVENTE E PERMANENTE DI DIO. (1 Pietro 1:23)
“Bisogna cambiare! Non si può continuare così”, si afferma di fronte al male e all’ingiustizia. Ma chi deve cambiare? Non solo gli altri, ma noi personalmente. Il vero cambiamento è quello inizia nel cuore, nell’intimo dell’indovino. Se gli uomini cambiano, anche la società cambierà! Ma è possibile questo cambiamento? Cari lettori, Gesù Cristo affermò che non solo è possibile, ma è necessario. “Se non cambiate e non diventate come dei bambini, non entrerete nel regno dei cieli. A un uomo, che andò a Lui di notte, Gesù disse: “Bisogna che nasciate di nuovo”. (Giovanni 3:3) Ma che cos’è la nuova nascita o rigenerazione? La nuova nascita è il miracolo di Dio, che infonde nell’uomo che crede la vita e la natura divina. È una rivoluzione profonda! Colui che passa attraverso questa esperienza è un uomo nuovo; i suoi pensieri cambiano e la sua volontà è sottomessa a Dio. I suoi affetti cambiano; ama Dio e le cose di Dio e sente un profondo odio verso il peccato. L’intera personalità è trasformata, gli scopi e gli obiettivi cambiano. p.d.n.
(24) LA MISERICORDIA DI DIO SI ESTENDE SU COLORO CHE LO TEMONO. (Luca 1:50)
Che meravigliosa promessa: oggi Dio ti assicura la Sua misericordia, cioè il Suo amore, la Sua protezione, se solo temi il Suo nome, cioè Gli porti profondo rispetto. Un po’ come i figli che devono rispettare i propri genitori. Proprio questo è il tipo di timore che Dio si aspetta da noi: quello di un figlio ubbidiente nei confronti del padre. Inoltre è bello pensare che la misericordia di Dio si estende su coloro che Lo temono. Che estensione ha? Che raggio d’azione riesce a ricoprire? Dio è infinito e anche la Sua misericordia è infinita. Io già da tempo ho deciso di temere Dio e ogni giorno gli sono riconoscente per la Sua misericordia. E tu? Se sì, allora questa stupenda promessa è anche per te. Sperimentata anche oggi nella tua vita! e.m.
(25) SE DIO CONCEDE ALL’UOMO RICCHEZZE, QUESTO È UN DONO DI DIO. (Ecclesiaste 5:19)
È un dono di Dio anche godere le eventuali ricchezze che concede. Ci sono persone che hanno ricevuto grandi ricchezze, al punto che a loro non manca nulla di tutto ciò che possono desiderare. Eppure può accadere che Dio non concede loro di goderne: ne gode qualcun’altro. Il Signore Gesù ci ammonisce dicendo: “Dov’è il tuo tesoro lì sarà anche il tuo cuore” (Matteo 6:21). La Parola di Dio ci avverte ancora: “Se le ricchezze abbondano, si distacchi da esse il vostro cuore” (Salmo 62:10). Caro lettore, sappi che Dio solo deve essere l’oggetto della nostra fiducia. Se così non sarà, l’accumulare ricchezze sarà come andare dietro al vento. Allora sia il nostro cuore tutto per Dio, affinché possiamo godere nel modo giusto le ricchezze che, nella Sua volontà, eventualmente decide di concederci. s.b.
(26) “PRELEVATE DA QUELLO CHE AVETE UN’OFFERTA AL SIGNORE”. (Esodo 35:5)
“Ma che bisogno ha il Signore delle nostre offerte?”, potrebbe chiedersi qualcuno. In fondo, a Lui non manca niente. “Sono io, invece, che ho un mucchio di necessità. Mi manca questo, mi manca quest’altro, e l’ho anche detto al Signore, in preghiera, ma non ottenuto risposta. E adesso vengo a sapere che sono io che devo prelevare da quello che ho un’offerta al Signore!”, potrebbe continuare a obiettare l’ipotetico qualcuno. Probabilmente non abbiamo mai usato parole come queste, ma qualche volta forse pensieri simili si sono affacciati alla nostra mente. In realtà, quello che Dio vuole è approfondire un rapporto d’amore fra Lui e noi. Egli ci ha dato tutto, cominciando dalla cosa più importante: il Suo Figlio unigenito. Attraverso la restituzione volontaria di una piccola parte di quello che ci ha donato il Signore vuole avere da noi il permesso di riempirci di nuovi e maggiori doni. “Date, e vi sarà dato; vi sarà versta in seno buona misura, pigiata, scossa, traboccante” (Luca 6:38). m.c.
(27) PORTATE I PESI GLI UNI DEGLI ALTRI. (Galati 6:2)
Una bambina di cinque anni stava portando il fratellino sulle spalle in una zona montagnosa delle Ande in Sud America. Un turista che passava da quelle parti la guardò e le chiese: “Non è pesante”? La bimba sorridendo rispose: “No, è mio fratello!” Se siete come me, avrete avuto una stretta di commozione allo stomaco nel leggere questo aneddoto. E allora, come me, avete ripensato a tutte quelle volte che avete sentito il peso nell’aiutare gli altri e, sempre come me, vi siete sentiti un po’ colpevoli. Se ci amiamo come fratelli e sorelle, saremo capaci di salire i sentieri di montagna caricandoci sulle spalle chi ha bisogno del nostro aiuto. C’è qualcuno, in questo momento, che possiamo aiutare? C’è una persona che non ce la fa a trascinare un peso da sola e ha bisogno di essere sollevata? Sicuramente il Signore ha portato alla nostra mente il nome di una o più persone che hanno bisogno di noi. Allora sorridiamo e diciamo: “No, non posso lasciarlo da solo, è mio fratello”! r.b.
(28) SE UNO NON È NATO D’ACQUA E DI SPIRITO, NON PUÒ ENTRARE NEL REGNO DI DIO. (Giovanni 3:5)
Tutte le religioni in sostanza affermano: “Fai qualcosa per Dio ed entrerai nel Suo regno!”. Il Signore invece dichiara: “Devi prima essere qualcuno per poter entrare nel Mio regno!”. Secondo quanto afferma Gesù nel versetto di oggi, non è possibile entrare nel regno di Dio se non mediante un’esperienza spirituale paragonabile alla nascita di un bambino. Sapete che cosa vuol dire questo praticamente? Vuol dire che tutti gli sforzi umani compiuti: elemosine, buone opere, praticare le religioni o seguire un qualsiasi cammino spirituale o sociale, non garantiranno a nessuno l’accesso nel regno di Dio. “Se uno non è nato d’acqua e di Spirito…”, dice il Signore. Ciò significa conoscere e ricevere il Messia promesso della Bibbia, Gesù Cristo personalmente e questo sarà possibile solo per mezzo dello Spirito Santo e della Sua Parola. Infatti sta scritto: “…a tutti quelli che l’hanno ricevuto egli ha dato il diritto di diventar figli di Dio: a quelli, cioè, che credono nel Suo nome; i quali non sono nati da sangue, né da volontà di carne, né da volontà d’uomo, ma sono nati da Dio” (Giovanni 1:12,13). s.v.
(29) L’ETERNO PARLAVA CON MOSÈ FACCIA A FACCIA, COME UN UOMO PARLA COL PROPRIO AMICO. (Esodo 33:11)
Mosè, mentre attraversava il deserto per raggiungere la Terra Promessa, aveva fatto costruire una tenda speciale, chiamata “la tenda di convegno”, in cui entrava per aprire il suo cuore a Dio e ricevere ordini da Lui. Dio gli parlava come un amico. Di Mosè, dopo il suo incontro con Dio davanti al cespuglio che ardeva senza consumarsi, non si ricordano particolari peccati, se non una disubbidienza a Dio, causata da una forte rabbia contro il popolo ribelle. Per quell’unica disubbidienza Dio gli proibì di entrare fisicamente nella Terra Promessa. “Un Dio troppo severo” pensate? No, anche se oggi si tende a sottovalutare la Sua giustizia e la si sostituisce con un amore che scusa tutto. Ma Dio, per essere coerente con la Sua giustizia e per permetterci di passare l’eternità con Lui, è arrivato a pagare Lui, nella persona di Suoi Figlio, per tutti i nostri peccati. Per questo Gesù è morto sulla croce. Un Dio giusto e severo, ma anche amorevole. Credi in Lui? m.t.s.
(30) VOI CHE CERCATE DIO, FATEVI ANIMO. (Salmo 69:32)
Davide in questo Salmo si rivolge a tutti coloro che sono oppressi da ingiustizie, odi ingiustificati, disprezzo e quant’altro. Egli stesso aveva vissuto dei momenti terribili, quando il re Saul voleva ucciderlo per gelosia e quando il suo stesso figlio, Absalom, aveva tramato contro di lui e il suo regno. Egli definisce queste situazioni “sprofondo in un pantano senza trovare sostegno, sono scivolato in acque profonde e la corrente mi travolge” (Salmo 69:2). Al versetto 13 di questo Salmo c’è un “MA” che cambia totalmente la scena. Davide dice: “Ma io rivolgo a Te, o Signore, la mia preghiera”. Certo non era possibile venirne fuori con le sue forze; anche se era un uomo forte e valoroso, era completamente impotente di fronte a ingiustizie, falsità e odio. Davide sapeva bene da Chi andare per cercare aiuto. Non da qualche esperto consigliere o da qualche alleato o amico; sapeva che l’unico che potesse dargli il giusto soccorso spirituale, morale e fisico era il suo Signore, il suo Dio è infatti è lì che Lo cerca e Lo trova. Perciò il suo invito è autorevole: “voi che cercate Dio, fatevi animo perché il Signore ascolta i bisognosi” (Salmo 69:32,33). w.g.
(31) SIGNORE, IO CREDO CHE TU SEI IL CRISTO, IL FIGLIO DI DIO CHE DOVEVA VENIRE NEL MONDO. (Giovanni 11:27)
Nell’episodio biblico della risurrezione di Lazzaro di Betania, la sorella Marta pronunciò questa grande confessione di fede in Cristo, dimostrando di essere una donna con una fede profonda, un esempio del credente che Dio gradisce. Aveva riconosciuto in Gesù il Messia (“il Cristo”), il Figlio di Dio, il Salvatore, il solo che può dare vita a questo mondo di morte. Ancora oggi Gesù continua a operare autentici miracoli di conversioni, di guarigione di menti, corpi, anime a quanti si affidano a Lui, perché Egli è la Vita che in mille modi vuole donarsi a noi. Ancora oggi Gesù converte e trasforma il cuore umano, guarisce e apre, per la persona che a Lui si affida prospettive di eternità. Dona vita, vita vera, autentica. Gesù rende viventi davvero, rigenera la mente e l’anima. Questa è la missione per la quale Egli ha lasciato il cielo, assunto la natura umana ed è venuto sulla terra a morire per noi. ChiediGli di aprirti gli occhi per vedere chi Egli è e confessa anche tu chi Egli è. g.f.r.

SETTEMBRE
(1)TUTTI COMPARIREMO DAVANTI AL TRIBUNALE DI DIO. (Romani 14:10)
Siamo di solito molto pronti a giudicare gli altri. Giudichiamo chi sbaglia, giudichiamo chi giudica, e scusiamo noi stessi. L’apostolo Paolo ci ricorda che dobbiamo piuttosto ricordare che anche noi saremo giudicati. Certo se abbiamo creduto e accettato il perdono per il sacrificio di Cristo, il giudizio che dovremo affrontare non riguarderà la vita e la perdizione eterna. Ma anche come cristiani compariremo tutti davanti al tribunale di Cristo che misurerà le nostre azioni per decidere quale ricompensa ci siamo o non ci siamo meritati. Sarà un momento solenne. Il Signore Gesù ha dato la vita per noi; pensate che vergogna sarà dover ammettere di non avere fatto nulla, o per lo meno poco, per ubbidire alle Sue parole. Se ci sembra che qualcuno agisca in modo sbagliato o coltiva sentimenti indegni di un cristiano, prima di salire in cattedra e giudicare, chiediamoci: davanti al tribunale di Cristo, quali aspetti della mia vita verranno messi in luce? v.n.
(2) L’ETERNO ABBASSA E INNALZA. (1 Samuele 2:7)
Quando ero ragazza, è scoppiata la seconda guerra mondiale. Hitler stava conquistando la Francia, il Belgio, l’Olanda. Sembrava che nulla lo potesse vincere. Un vecchio credente evangelico, che era tutto fuorché un intellettuale, ma che conosceva molto bene la Bibbia, l’amava e la praticava, mi ha detto “Tieni bene a mente questo: Hitler ora vince tutto, ma perderà la guerra”. “Perché?” gli ho chiesto. “Ha osato colpire il popolo ebreo, la pupilla dell’occhio di Dio”. Dopo alcuni anni, Hitler non restavano che le distruzioni che aveva causato e i milioni di cadaveri che aveva provocato. Dio innalza (o permette l’innalzamento) abbassa, annienta, seconda i Suoi piani, i capi di questo mondo. Oltre a questo, li usa e li dirige perché, inconsapevolmente, facciamo quello che Lui vuole. È il Signore della storia. È il Dio onnipotente. Meglio stare dalla Sua parte e fare quello che Lui dice, non ti pare? m.t.s.
(3) CON QUALE DIRITTO OPPRIMETE IL MIO POPOLO? DICE IL SIGNORE. (Isaia 3:15)
Con la venuta di Cristo, dei due popoli (gli ebrei, oppressi nei secoli, e i non ebrei) Dio ne ha fatto uno solo (Efesini 2:14). Oggi questa pressante domanda possiamo applicarla anche alla Sua chiesa. Nel tempo in cui viviamo è una domanda più attuale che mai: è stato detto giustamente che il secolo appena concluso è probabilmente quello in cui la Chiesa ha avuto più martiri. Quanti nostri fratelli in tante nazioni diverse sono oggi disprezzati, maltrattati, discriminati, minacciati, imprigionati, uccisi! Noi che viviamo tranquillamente e spesso svogliatamente la nostra fede nelle mollezze di una società opulenta, non ce ne rendiamo neppure conto, dimenticando che se un membro (della Chiesa) soffre, tutte le membra soffrono con lui (vedi 1 Corinzi 12:26). In questo giorno vogliamo dedicare a loro i palpiti del nostro cuore: informiamoci sulle loro sofferenze, ringraziamo Dio per il loro coraggio, imitiamo la loro fede, intercediamo per loro con passione (Ebrei 13:3). Come ai tempi di Isaia, Dio è potente per fermare chi opprime il Suo popolo. l.p.
(4)I MIEI OCCHI HANNO VISTO LA TUA SALVEZZA. (Luca 2:30-32)
Le parole di Simeone, uomo giusto e timorato di Dio, sono belle e piene di significato. La gioia che prova è, a dir poco, incontenibile. Finalmente quel Bambino era proprio davanti a lui, fra le sue braccia. Naturalmente non si trattava di un fanciullo qualunque, era il Figlio di Dio incarnato: Gesù.
La testimonianza di Simeone è sincera, molto sentita: “I miei occhi hanno visto la Tua salvezza…”, ora è soddisfatto e non aspetta altro che concludere i giorni della sua lunga vita nella pace del Signore. “Davvero una bella storia!”, direbbe qualcuno. Eppure, le parole di quest’uomo del passato hanno a che fare con noi. Infatti, in altri termini, aggiunge subito dopo: “Gesù è la salvezza preparata per tutti i popoli, luce per le genti”. Questo è molto interessante. Perché? Perché se deciderai di leggere le Sacre Scritture, non solo conoscerai i fatti storici che riguardano il Cristo, ma avrai la possibilità di incontrarLo come tuo personale Salvatore e dire esattamente come Simeone: “I miei occhi hanno visto la Tua salvezza”. s.v.
(5)RINGRAZIÒ DIO E SI FECE CORAGGIO. (Atti 28:15)
L’apostolo Paolo arriva al termine di un avventuroso e tormentato viaggio, iniziato a Gerusalemme molti mesi prima. Predicare il Vangelo nella “Caput mundi” era stata da sempre un’ambizione del grande apostolo, e ora stava per realizzarsi. Ma al suo arrivo non fu acclamato in modo trionfale; ad attenderlo c’erano solo alcuni cristiani della chiesa di Roma i cui nomi resteranno per sempre sconosciuti. Ma questo bastò perché Paolo ringraziasse Dio, si rincuorasse e prendesse coraggio nonostante la stanchezza e la preoccupazione per i futuri impegni. È incoraggiante vedere come le cose grandi di Dio passino sempre attraverso i canali dell’umiltà e della semplicità, per mezzo di uomini che hanno imparato a camminare per fede non lasciandosi condizionare dalle cose apparenti, ma fissando lo sguardo su Gesù. g.b.
(6)CONTEMPLANDO LA GLORIA DEL SIGNORE SIAMO TRASFORMATI NELLA SUA STESSA IMMAGINE. (2 Corinzi 3:18)
Con le parole l’apostolo Paolo comunica quello che sta accadendo nella sua vita. Di giorno in giorno egli sta portando ad assomigliare sempre più a Cristo. Per incoraggiare quanti avessero letto queste parole (quindi: anche noi!), egli indica il segreto per vivere questa trasformazione: “contemplare come in uno specchio la gloria del Signore”! Noi non possiamo, finché siamo qui sulla terra, contemplare la gloria del Signore in modo diretto. Il nostro rapporto con Lui non passa attraverso la visione, ma attraverso la fede… attraverso la fede che ci porta a guardare dentro” lo specchio”, cioè dentro la Parola di Dio che riflette e mostra ai nostri occhi la gloria del Signore. La “gloria” è un termine usato nella Scrittura per indicare l’insieme delle perfezioni di Dio. Contemplare queste perfezioni ci porterà non soltanto a conoscerle a fondo, ma soprattutto a desiderarle, rendendo sempre più visibile in noi la forma di Cristo e sempre meno visibile la nostra forma. Dobbiamo avere quindi lo stesso desiderio espresso da Giovanni Battista davanti a Gesù: “Bisogna che Egli cresca e che io diminuisca”. p.m.
(7) L’ETERNO ILLUMINA LE MIE TENEBRE. (2 Samuele 22:29)
La luce è vita! Basta guardare le piante, come esse seguono i raggi del sole per trovare la luce della loro vita: perché non c’è vita se non c’è la luce. Anche per la nostra vita spirituale abbiamo bisogno di essere illuminati e la nostra luce spirituale è Gesù. Se vuoi avere vita spirituale devi orientare le tue attenzioni su Gesù, devi cercarLo e seguirLo. Sei stato fin troppo nelle tenebre, fin troppo hai cercato invano! Non cercare la vita nelle cose che muoiono con il tempo, ma cercala nelle cose che durano per sempre, cerca Colui che ti ha amato da morire in croce per la tua salvezza. Se non conosci Gesù sei ancora nelle tenebre. Non camminare a tastoni ma segui Gesù, che ti guiderà fuori dal buio. Egli è venuto con questo scopo: per illuminare il tuo cammino e dirti: “Io sono la Luce del mondo: chi Mi segue non camminerà nelle tenebre, ma avrà la Luce della vita” (Giovanni 8:12). g.f.r.
(8) “MI SIA FATTO SECONDO LA SUA PAROLA.” ( Luca 1:38)
Una ragazza qualunque, in attesa del giorno delle nozze… lei sta già pensando alla festa, al vestito, agli invitati. Tutto viene sconvolto, riscritto, tutto è da ripensare e rifare perché qualcuno si è presentato a casa sua senza essere invitato. Gli angeli non avvisano e neppure aspettano di essere invitati. Gabriele è semplicemente là e le sta parlando, ma quello che dice a Maria non è per niente semplice, ma lo coinvolgerà fin nel suo corpo trasformandolo e modificherà, di conseguenza, tutti i rapporti fra lei e coloro che le stanno vicino. Maria dice le uniche parole che, in quella situazione, una ragazza qualunque non avrebbe mai detto: “Mi sottometto al mio Signore, accetto che tutti i miei sogni e i miei piani vengano sconvolti, non capisco, ma mi sottometto”. Maria, anche dopo la nascita di Gesù, continua ad avere un duplice atteggiamento: da una parte non riesco a capire i piani di Dio, dall’altra cerca di collegare i fatti fra loro, razionalmente, mettendoli insieme e rileggendoli alla luce di tutto quello che le è successo dal giorno in cui Gabriele si è presentato a casa sua. È un buon esercizio anche per noi! a.m.
(9)IL TIMORE DELL’ETERNO È ODIARE IL MALE. (Proverbi 8:13)
TEMERE L’ETERNO: non vuol dire vivere oppressi dal terrore, ma confidare in Lui, credere in Lui, lodarLo. Questa fiducia incondizionata, questa devozione profonda, si realizzano non tanto a parole (“non chi Mi dice Signore, Signore”), ma ubbidendo alla Sua volontà: odiare il male e scegliere il bene. IL MALE: cos’è? Nella confusione in cui viviamo, come posso saperlo, chi me lo insegna? Le leggi umane, la mia coscienza, l’opinione della maggioranza? Non bastano, anzi spesso ingannano: ho bisogno di saperlo della Parola di Dio, lampada e luce (Salmo 119:105), che lo Spirito Santo applica alla mia vita. ODIARLO: se temo il Signore, non solo saprò discernere chiaramente il male, ma non lo lascerò neppure infiltrarsi subdolamente in me tollerandolo con indifferenza: imparerò a odiarlo con tutte le mie forze, a rifiutarlo in tutte le sue forme, per attenermi fermamente al bene (Romani 12:9). l.p.
(10)TUTTO QUESTO NON TI SUCCEDE FORSE PERCHÉ HAI ABBANDONATO L’ETERNO, IL TUO DIO? (Geremia 2:17)
Attraverso queste parole Dio parlò al popolo d’Israele che aveva scelto di seguire gli idoli stranieri abbandonando Lui, che li aveva condotti con cura fino a quel momento. Così erano diventati preda dei nemici. “…ha abbandonato Me, la sorgente d’acqua viva, per scavarsi cisterne, cisterne rotte, che non tengono l’acqua” (Geremia 2:13). Dio ha usato un’immagine molto chiara che vale anche per le persone che vivono nel 2008. Il paragone tra una fonte d’acqua e una cisterna rotta rende bene l’idea dell’abbondanza che si lascia e della miseria che si trova. Dio solo è fonte di salvezza, di sicurezza, di benedizione; allontanarsi da Lui significa illudersi di trovare le stesse cose altrove, in ciò che non solo non può contenerle ma nemmeno procurarle. Nel periodo in cui viviamo il pericolo di farsi sviare da Dio rivelato nella Bibbia è molto sottile. Non si tratta più di farsi tentare dagli idoli pagani, ma da idee sempre nuove, che cercano di affiancare le verità del Vangelo. e.s.
(11)”CRISTO È LA NOSTRA PACE”. (Efesini 2:14)
La giornata di oggi è ormai segnata, nella memoria recente, dal micidiale attacco terrorista alle Torri Gemelle del 2001: migliaia di morti provocati da Kamikaze che hanno immolato la loro vita e quella di tante vittime innocenti sull’altare del loro “dio”. Il fanatismo religioso produce da sempre drammatiche scelte di odio: la terra è ricoperta del sangue sparso nel corso della storia da guerre di religione e da guerre “sante”. Purtroppo è vero che tanto di questo sangue è stato sparso anche nel monte di Cristo, ma si è trattato di un uso del tutto improprio del suo Nome, fatto da parte di una “chiesa” diventata in tutto simile ai regni di questo mondo. Infatti, seguendo l’esempio del loro Signore, i veri discepoli di Cristo non trasformano mai in arrogante violenza la loro fede, ma accettano piuttosto, come il loro Maestro, d’essere vittime del’odio. Come si potrebbe testimoniare altrimenti che Cristo è Colui che ha donato pace e lo ha fatto togliendo di mezzo il peccato, causa di ogni nostra inimicizia? p.m.
(12)CHI È PRONTO ALL’IRA COMMETTE FOLLIE. (Proverbi 14:17)
Alcuni pensano che l’ira sia un sentimento sempre e comunque negativo. Sono paragonabili a quelli che considerano sempre peccato il sesso. Ira e attrazione sessuale sono impulsi legittimi, ma facilmente vengono usati male a motivo del peccato che è nell’uomo. Nella Bibbia non sta scritto che Dio non s’arrabbia mai, che “è lento all’ira e grande in bontà, Egli perdona l’iniquità e il peccato, ma non lascia impunito il colpevole” (Numeri 14:18). Dio aspetta a dare corso all’ira che Lo spinge a punire il colpevole perché desidera, nella Sua grande bontà, togliere il male attraverso il perdono concesso al ravveduto peccatore. Chi invece è “pronto all’ira” non dimostra di voler togliere il male, ma di essere lui stesso vittima e diffusore del male. Non è forse vero che quando uno è in preda a un raptus collerico, “commette follie”, cioè dice e compie un mucchio di sciocchezze? “Sappiate questo, fratelli miei carissimi: che ogni uomo sia pronto ad ascoltare, lento a parlare, lento all’ira” (Giacomo 1:19). m.c.
(13)IO SO I PENSIERI CHE MEDITO PER VOIDICE L’ETERNO: PENSIERI DI PACE E NON DI MALE. (Geremia 29:11)
“Dio non mi ascolta.. non c’è niente che mi vada bene… se Dio ci fosse…”. Certe frasi le sentiamo tutti i giorni. A volte sono dette con rabbia, altre volte con fatalismo o “santa rassegnazione”. Ma non sono frasi giuste. Dio non vuole mai farci del male. Ha sempre piani buoni. A volte, però, deve usare il silenzio o le difficoltà per fortificare il nostro carattere. Altre volte, ci vuole avvertire di un pericolo o metterci in guardia se stiamo per fare delle scelte sbagliate. Ma come si fa a capirlo? C’è un solo modo: imparare a conoscere il Suo carattere e fidarsi di quello che la Bibbia dice di Lui. Un Dio buono non fa capricci. Un Dio onnisciente conosce il mio futuro e, permette dei problemi per evitarmi delle cadute. Un Dio giusto non fa ingiustizie. Un Dio santo non pecca e vuole aprirmi gli occhi perché veda il mio peccato. La sola cosa che io devo fare è credere che Lui ha tutto in mano e soprattutto mi ama. m.t.s.
(14) RICORDATI DI QUELLO CHE L’ETERNO, IL TUO DIO, FECE. (Deuteronomio 7:18)
Quando abbiamo bisogno di ricordare quello che il Signore fece? Sento già la tua risposta: “Sempre”. È vero, ma credo che ne abbiamo ancora più bisogno quando siamo in difficoltà, quando tutto è nero e quando il mondo ci sta crollando addosso. In questi momenti è veramente salutare ripensare a ciò che Dio ha fatto precedentemente nel corso dei secoli o nella nostra vita. Forse il nemico di Dio insinuerà dentro di noi l’idea che non siamo degni di ricevere dal Signore quello che Lui ha promesso. In tal caso cerchiamo di ritrovare la fiducia persa, ricordandoci di Gesù e di quello che Lui ha fatto. Grazie alla Sua opera noi siamo degni di avere tutto quello che Dio promette nella Sua opera noi siamo degni di avere tutto quello che Dio promette nella Sua Parola e grazie a Lui possiamo essere certi dell’amore e della misericordia di Dio. Dio ha fatto delle promesse luminose come la luce del sole; possiamo realizzarne alcune solo nel buio… mentre ricordiamo quello che Lui ha fatto. r.b.
(15) CHE SERVE ALL’UOMO GUADAGNARE TUTTO IL MONDO, SE POI PERDE SÉ STESSO? (Luca 9:25)
Alcuni non fanno altro che affaticarsi tutta la vita per avere sempre di più. Il loro desiderio sarebbe (se fosse possibile!) di riuscire a guadagnare tutto il mondo, ma riflettiamo un attimo. Cos’è più importante, “guadagnare il mondo” oppure ricevere la vita? Cosa importa possedere tanta ricchezza, se nel tentativo di accumularla si trascura la cosa più importante e preziosa: la propria vita? La Parola di Dio ci esorta a mettere in luce le priorità. Nessuno desidera perdere sé stesso, però in realtà molti sprecano la maggior parte della propria vita per accumulare tesori. Oggi, proprio adesso, prenditi un po’ di tempo per curare la tua relazione personale con Dio. lui solo è l’Autore della vita. Affidati a Lui con tutto te stesso: non avrai più desiderio di diventare ricco (oppure d’invidiare quelli che sono ‘pieni di soldi’) e sarai al sicuro nelle braccia di Dio. e.m.
(16) QUANTO È BREVE LA MIA VITA. (Salmo 89:47)
Il salmista, schiacciato dalle prove, fa questa esclamazione che mi porta a riflettere: tutte le nostre aspirazioni sono appese a un filo sottile che l’apostolo Giacomo chiama “se Dio vorrà”. Quando tutto va bene, ci sentiamo padroni della vita e del tempo, a volte anche delle circostanze, ma non consideriamo la fragilità e la superbia dei nostri progetti. Lo comprendiamo solo quando le prove, le difficoltà, ci fanno gridare al vero Padrone della vita, del tempo e delle circostanze. Dio sa della nostra fragilità. “Siete un vapore che appare per un istante e poi svanisce” (Giacomo 4:14). Sì, Dio sa della nostra breve vita, e nel Suo amore ha provveduto in Cristo. Per quanto breve o lunga sia o, per quanto agiata o sofferente, cerchiamo di viverla nella ricerca di ciò che conta veramente, poiché sta scritto: “E che giova all’uomo se guadagna tutto il mondo e perde l’anima sua?” (Marco 8:36). m.m.
(17) RENDETE A CIASCUNO CIÒ GLI È DOVUTO. (Romani 13:7)
Anche il codice civile più antico si rifà ai principi che Dio ha enunciato nella Sua Parola. Ci sono delle indicazioni così incisive e assolute che, se messe in pratica, darebbero la soluzione a tutti i problemi tristi e insolubili che caratterizzano la vita di tutti gli esseri umani: dai più piccoli e poveri, ai più grandi e potenti. Quanta illegalità ed evasione fiscale che mettono in ginocchio l’economia di un paese; quanta mancanza di timore e quindi inosservanza della legge che crea disordine, caos, immoralità, violenza e quant’altro. Quanta mancanza di onore a chi è dovuto: ai genitori, agli insegnanti, ai superiori, alle autorità costituite. Anche se non ne condividiamo l’orientamento o il comportamento, onorarli significa anche pregare per loro perché abbiano saggezza, discernimento per un grande compito. Tutto questo riguarda nella vita di ciascuno su questa terra; quale grande responsabilità! Ma che dire di quella che abbiamo nei confronti della Somma Autorità che è Dio stesso? Come siamo posti davanti a Lui: Gli stiamo dando ciò che Gli è dovuto? w.g.
(18) LA BENEFICA MANO DEL MIO DIO ERA SU DI ME. (Neemia 2:8)
Neemia aveva un sogno nel cassetto, un sogno impossibile, che non osava rivelare a nessuno: ricostruire le mura di Gerusalemme, distrutte decenni prima da un esercito invasore, che aveva deportato in un paese lontano il popolo d’Israele. Neemia faceva dei progetti per realizzare questo sogno e pregava il Signore affinché lo aiutasse. Il re straniero che egli serviva, quando seppe del progetto non solo lo approvò, ma contribuì in molti modi affinché Neemia potesse realizzarlo. Nel giro di qualche mese Neemia arrivò a Gerusalemme con tutte le carte in regola e i permessi firmati per dare il via ai lavori. In men che non si dica le mura furono edificate e l’opera portata a compimento. Sarebbe stato facile, per Neemia, inorgoglirsi e attribuire alle proprie capacità diplomatiche, organizzative e manageriali il successo dell’opera. Ma non fu così: sottomesso e fedele al Signore, egli ebbe l’atteggiamento espresso nelle parole del versetto di oggi, riconoscendo che solo l’intervento di Dio aveva permesso quel risultato senza pari (vedi Neemia 6:16). Aveva confidato nel Signore e il Signore era stato al suo fianco: al Signore, dunque, andava tutta la gloria. a.r.m.
(19) SIETE STATI RISCATTATI CON IL PREZIOSO SANGUE DI CRISTO. (1 Pietro 1:18,19)
La Bibbia dice che tutti gli uomini sono peccatori. Dio è santo e odia il peccato, che rende schiavo l’uomo obbligandolo a ubbidire ai suoi istinti e lo conduce al male e alla condanna eterna. Il peccato quindi cerca la separazione tra Dio è l’uomo. Siamo però liberi di cambiare rotta e di scegliere di ubbidire a Dio. La riconciliazione tra il Dio santo e l’uomo peccatore avviene per mezzo del sangue di Cristo, Suo Figlio, versato sulla croce quale prezzo di riscatto per il nostro peccato. Solo il Suo sacrificio innocente ha espiato (cioè coperto, tolto, cancellato) il nostro peccato e offre a Dio la possibilità di perdonarci, perché tutta la Sua ira contro il peccato è stata pienamente soddisfatta nel sangue di Cristo. È importante conoscere e sperimentare nella propria vita il valore del sangue di Cristo. A chiunque crede nell’efficacia espiatoria e purificatrice del Suo sangue, è assicurata la cancellazione totale dei peccati e la vita eterna. Se non hai ancora fatto una scelta, non rimandare, scegli oggi stesso! g.f.r.
(20) CHIUNQUE INVOCHERÀ IL NOME DELL’ETERNO SARÀ SALVATO. (Gioele 2:32)
Questo passo della Scrittura fa riflettere molto, se letto attentamente. In esso c’è una promessa certa, perché è Dio stesso a farla ed Egli mantiene ciò che dice; ma essa può diventare una realtà solo per chi eleva a Dio un grido di invocazione. Permettetemi un esempio. Se un uomo cade in mare e non sa nuotare, ha solo una possibilità per salvarsi la vita: gridare aiuto, sperando che chi l’ascolta in riva al mare sappia nuotare e si precipiti a salvarlo; ma se non invocherà aiuto, difficilmente qualcuno si butterà in acqua. Quindi, per invocare l’intervento di Dio, bisognerà prima di tutto rendersi conto di essere dei peccatori perduti con nessuna possibilità di salvare sé stessi. Sarà poi lo Spirito Santo a rivelare che solo Gesù Cristo è il Salvatore in grado di dare la redenzione e quindi si potrà invocare il Signore per essere salvati. E, dopo il grido d’invocazione, la salvezza diventerà una realtà. Spero tanto che quel “chiunque”, possa avere tanto di nome e cognome: il tuo! Solo allora il tuo cuore gioirà di un’allegrezza immensa per lo scampato pericolo. p.p.
(21) VOI CONOSCERETE CHE IO SONO L’ETERNO. (1 Re 20:28)
Il concetto che abbiamo di Dio è il prodotto di diversi fattori: l’ambiente in cui cresciamo, le esperienze buone o cattive che ci formano, il confronto con gli altri. Se questi pensieri però non sono confrontati con la Rivelazione che Dio ha dato di Sé nella Bibbia, possono allontanarci molto da una conoscenza reale di Dio. Il popolo dei Siri, di cui parla il contesto del versetto, si illudeva che il Dio di Israele potesse vincere le guerre solo sui monti e non in pianura. Contrariamente a quanto pensavano, Dio sconfisse il loro esercito ovunque venisse a trovarsi e lo annientò in maniera definitiva. Questa loro idea può farci sorridere, ma anche noi potremmo pensare che ci siano cose che Dio non può o non vuole fare. Forse pensiamo che, siccome Dio non giudica immediatamente peccati come bugie, furti, adulteri o maldicenze, possiamo continuare a fare tranquillamente quello che ci pare. Ma Dio chiederà conto di ogni nostra azione e perfino dei pensieri (vedi 1 Timoteo 5:24). RiconosciLo dunque oggi e scopri tutto di Lui leggendo la Parola di Dio. o.t.
(22) IL MALE DARÀ SENZA POSA LA CACCIA ALL’UOMO VIOLENTO. (Salmo 140:11)
L’affermazione del versetto di oggi, tratta un Salmo del re Davide, ha un significato ben preciso che può essere spiegato ricordando che ognuno mieterà quello che avrà seminato. In altre parole non si può sfuggire alle conseguenze delle proprie azioni. Chi avrà praticato il male, come dice il re Davide, ritroverà sulla sua strada lo stesso male che si ritorcerà contro di lui, sia durante questa vita sia dopo la morte quando dovremo affrontare il giudizio di Dio. Questa è una legge che trae la sua origine direttamente dalla giustizia divina. Dunque oggi l’esortazione è di praticare il bene, se vogliamo ritrovare quest’ultimo sulla nostra strada. f.a.
(23) CHI VUOL ESSERE AMICO DEL MONDO SI RENDE NEMICO DI DIO. (Giacomo 4:4)
Nella celebre preghiera sacerdotale che Gesù pronunciò poco prima di essere processato, disse dei Suoi discepoli: “sono nel mondo” (Giovanni 17:11) “ma non sono del mondo” (v.15). La fede cristiana non si esprime nel beato isolamento in un chiostro o in un convento, ma nel mondo fatto di lavoro, impegni, famiglia, vivendo a contatto con i propri simili, molte volte a contatto con il peccato. Il cristiano è chiamato a portare la sua operosità e il suo servizio per il bene del mondo, anche se questo è profondamente malato e corrotto. Ma è chiamato allo stesso tempo a separarsi da un sistema di cose che non tiene conto di valori morali e spirituali e che vive, lavora e si organizza come se Dio non esistesse. Questo sistema è, nel significato biblico, il mondo nemico di Dio, ma è anche il mondo che più ha bisogno di Dio. Rendersi amici e complici di questo sistema per un cristiano significa rendersi nemico di Dio. Che così non sia. g.b.
(24) L’ETERNO CONOSCE QUELLI CHE CONFIDANO IN LUI. (Nahum 1:7)
La fiducia in qualcuno è un sentimento che vorremmo poter riporre fino in fondo, ma invece spesso i fatti e le circostanze della vita ci inducono a diffidare. E così, ecco prevalere la sensazione che sia meglio non fidarsi mai troppo di niente e di nessuno. Purtroppo gli uomini tendono a trasferire questo sentimento di sfiducia anche nei confronti di Dio mentre, al contrario, la Bibbia è tutta un susseguirsi d’inviti e di richiami ad affidarsi completamente al Signore. In una graduatoria di persone su cui riporre la propria fiducia, Dio deve sempre trovarsi al primo posto, altrimenti andremo incontro a grandi delusioni, perché gli uomini non sono mai perfetti. Il primo passo nel percorso cristiano è quello di imparare a fidarsi di Dio. Anche nei momenti di crisi e difficoltà, anche quando non possiamo cambiare le cose intorno a noi, possiamo tuttavia cambiare il nostro atteggiamento, guardando con certezza verso Dio. La nostra fede, benché piccola e imperfetta, non sarà mai sprecata, perché il Signore la vede, la riconosce e l’apprezza. s.p.
(25) SAPPIATE CHE IL FIGLIO DELL’UOMO HA AUTORITÀ DI PERDONARE I PECCATI. (Matteo 9:6)
Il Vangelo di Matteo, indirizzato ai lettori ebrei, presenta Gesù come il Messia preannunciato dai profeti dell’Antico Testamento. Gesù è spesso chiamato “Figlio dell’uomo”, proprio per evidenziare la Sua uguaglianza con l’uomo nell’incarnazione. Identificatosi con gli uomini perduti, è venuto per cercarli e per salvarli; ha dato la Sua vita come prezzo di riscatto di molti (Marco 10:45). Con il Suo corpo glorificato, è tornato al cielo da dove ritornerà per giudicare. Dio stesso non giudica nessuno, ma ha rimesso ogni giudizio a Cristo Gesù. Invece di punirci, come avrebbe dovuto, il padre ha mandato il Suo Figlio per salvarci. Oramai l’uomo non solo è perduto poiché è peccatore, ma perché, nel suo orgoglio, rifiuta il perdono divino (Giovanni 3:16-19).
Guardiamoci dal disprezzare il Figlio dell’uomo che riapparirà ben presto nella Sua gloria (Ebrei 2:6-9). s.b.
(26) POSSANO TUO PADRE E TUA MADRE RALLEGRARSI. (Proverbi 23:25)
Leggendo questo versetto mi sono chiesta, come madre, di cosa vorrei rallegrarmi dei miei figli. Sarei contenta se completassero dignitosamente i propri studi; mi farebbe piacere che avessero un buon lavoro e una famiglia di cui prendersi cura responsabilmente; sarei felice di vederli incamminati in una vita cristiana autentica… Tutte buone motivazioni sicuramente condivise dalla maggioranza dei genitori. E se l’ambizione di mio figlio fosse quella di servire il Signore in un campo di missione lontano centinaia di chilometri? E se usasse i suoi talenti al servizio dell’umanità perduta? E se investisse i suoi studi nel Regno di Dio per la Sua opera? E se lasciasse un lavoro sicuro, per amore di una tribù sconosciuta? I figli sono un dono, persone preziose, affidate per un tempo, un grande investimento per noi genitori; rallegriamoci delle loro scelte, soprattutto quando contemplano l’amore per Dio e l’ubbidienza alla Sua chiamata. m.f.
(27) L’ETERNO, IL TUO DIO, TI HA BENEDETTO IN TUTTA L’OPERA DELLE TUE MANI. (Deuteronomio 2:7)
Le parole di questo versetto sono state rivolte da Mosè al popolo d’Israele prima di entrare nella Terra Promessa. Si possono applicare anche a te? Forse non è facile rispondere, ma il pensare alla risposta può essere l’aiuto che il Signore ti vuol dare attraverso la Sua Parola in questo giorno. Anzitutto l’Eterno è davvero il TUO Dio? Se si, hai ricercato la Sua volontà nelle tue scelte di vita? Dio ha benedetto Israele perché, nonostante le sue numerose disubbidienze, ha continuato a camminare verso la meta indicatigli dal Signore. Non sarebbe avvenuta la stessa cosa se a un certo punto avesse deciso di ritornare in Egitto. Se, dopo aver “ricevuto Cristo Gesù” nella tua vita, continuerai a “camminare unito a Lui” (Colossesi 2:6) nonostante le tue molte debolezze e cadute, anche tu potrai sempre dire, guardandoti indietro, che “Dio ha benedetto in tutta l’opera delle tue mani”. m.c.
(28) RALLEGRATEVI PERCHÉ I VOSTRI NOMI SONO SCRITTI NEI CIELI. (Luca 10:20)
La gioia non è un’opzione e non dipende dalle circostanze più o meno favorevoli, dai successi o
dagli insuccessi. Gesù ha detto che la nostra maggiore fonte di gioia deve essere il fatto che i nostri nomi sono scritti nei cieli. Mentre scrivo queste righe, leggo su un quotidiano che solo a Milano ventimila adolescenti e giovani, almeno una volta nella vita, sono stati sfiorati dal pensiero del suicidio. Molti giovani sono infelici e insoddisfatti. Bisogna dare loro certezze e valori veri. L’uomo non è soltanto materia, come affermano i materialisti. Vi è in lui una realtà spirituale che può trovare soddisfazione solo in Dio. Abbiamo bisogno di ritornare a Lui come individui, come famiglie e come nazione. Da quando l’uomo si è ribellato al Suo Creatore e ha scelto di porsi al centro dell’universo, al posto di Dio, la sua vita è diventata vuota e senza senso. Ma il Vangelo ha un messaggio di speranza. È la buona notizia che Dio ti ama e ti offre la gioia della salvezza e del perdono dei peccati. Non vuoi affidare la tua vita a Lui senza riserve e avere così la certezza che anche il tuo nome è scritto nei cieli? p.d.n.
(29) STRACCIATEVI IL CUORE, NON LE VESTI; TORNATE ALL’ETERNO. (Gioele 2:13)
Nel corso della storia l’uomo ha usato e continua ad usare modi per dimostrare visibilmente la realtà di un pentimento che è solo interiore. Stracciarsi le vesti, cospargersi il capo di cenere e digiunare erano segni che in Israele stavano ad indicare la consapevolezza di una colpa commessa. Il re Davide, ad esempio, che si era reso colpevole di adulterio e omicidio per i quali Dio gli predisse la morte del figlio concepito, dopo la nascita di quest’ultimo non volle prendere cibo e rimase sdraiato a terra per giorni, cosciente dalla grave colpa di cui si era macchiato. Il rischio, però, di accontentarsi di forme solo esteriori che, in qualche modo, ci fanno sentire a posto, senza che esse corrispondano a un effettivo pentimento, è sempre in agguato. Ecco perché il richiamo a stracciarsi il cuore, più che le vesti, è più attuale che mai in un mondo che fa dell’apparenza il metro per valutare persone, atteggiamenti, scelte di vita. a.m.

(30) PERFINO I CAPELLI DEL VOSTRO CAPO SONO TUTTI CONTATI. (Matteo 10:30)
Il Signore Gesù stava parlando delle difficoltà che i Suoi discepoli avrebbero incontrato. Dice chiaramente che saranno perseguitati e rifiutati come succedeva con Lui. Il Signore non ha mai ingannato e cercato di indorare la pillola per coloro che volevano seguirLo. Ma ha anche detto che, qualsiasi cosa fosse successa, questo non avrebbe voluto dire che si era disinteressato di loro. Dio conosce i passeri e si prende cura di loro, sa quanti capelli abbiamo, conosce perciò anche le cose più piccole e insignificanti della nostra vita e ne tiene conto. Davanti a problemi, dolori e difficoltà possiamo essere sicuri di questa conoscenza profonda. Non ci succederà niente senza che il nostro Signore non sia pronto a starci vicino e tenerci nella Sua mano, senza ricevere da Lui coraggio, forza e aiuto. Non dobbiamo avere paura. v.n.
OTTOBRE (1)DIO CONOSCE I PENSIERI DEI SAPIENTI; SA CHE SONO VANI. (1 Corinzi 3:20)
Quest’affermazione è piuttosto strana, perché potrebbe far pensare che Dio sia contro la conoscenza. Ma non è così; nel contesto è chiaro che l’apostolo Paolo sta parlando di quei sapienti che non riconoscono Dio per quello che Egli è. La conoscenza umana può essere molto utile per tante cose, ma da sola non porta alla riconciliazione con Dio, ed è questo il più grande problema dell’uomo, anche se non lo riconosce. La vera sapienza o saggezza è riconoscere Dio; ma, per conoscerLo, occorre avvicinarsi con umiltà alla Sua Parola, la Bibbia, e chiederGli di rivelarSi a noi. Egli ha promesso di farSi conoscere a tutti coloro che faranno così, e Dio mantiene sempre le Sue promesse. h.p.
(2) TU, SIGNORE, FARAI PERIRE I BUGIARDI. (Salmo 5:6)
Qualcuno di voi ha mai dovuto insegnare a suo figlio a sua figlia a dire le bugie? Le bugie vengono spontanee dalla nascita. Infatti la Bibbia dice, già nel libro della Genesi che “il cuore dell’uomo concepisce disegni malvagi fin dall’adolescenza” (Genesi 8:21). Satana, che Gesù ha chiamato padre della menzogna, ha detto la prima bugia alla prima donna creata, Eva. Le ha detto che, se avesse mangiato il frutto di un certo albero, sarebbe diventata intelligente come Dio. Le ha fatto credere che Dio fosse cattivo e non vedesse il vero bene delle Sue creature. Ma non era vero. Da quel giorno tutti continuano a mentire. E le bugie sono pure catalogate: bianche, a fin di bene, di necessità, gravi, poco importanti, addirittura, a volte, utili e giuste. Ma le bugie sono sempre bugie e il Signore ha detto, per bocca dell’apostolo Giovanni nell’Apocalisse, che nessun bugiardo entrerà in cielo. Pensiamoci. m.t.s.
(3) VOI NON AVETE ASCOLTATO LA MIA VOCE, DICE L’ETERNO. (Giudici 6:10)
Queste parole sono precedute dalla triste constatazione delle conseguenze prodotte in Israele al tempo dei Giudici per non avere ascoltato la voce di Dio. Dio aveva parlato come anche oggi parla, ma dove possiamo acoltare le Sue parole? L’autore dell’epistola agli Ebrei, dopo molti secoli dai fatti narrati nel libro dei Giudici, ricorda a certi giudei che si erano avvicinati al Cristianesimo: “Dio, dopo aver parlato anticamente molte volte e in molte maniere ai padri per mezzo dei profeti, in questi ultimi giorni ha parlato a noi per mezzo di Suo Figlio” (Ebrei 1:1,2). Ascoltare la voce di Dio oggi non solo è possibile, ma anche facile: procurati una Bibbia e comincia a leggere e meditarla. In essa scoprirai l’amore di Dio, il piano di salvezza che in Cristo Egli ha compiuto per ogni uomo. Ascolta l’invito di Gesù che dice: “Venite a Me voi tutti che siete affaticati e oppressi e Io vi darò riposo” (Matteo 11:28). Non dare ascolto a questa voce, avrà prima o poi conseguenze molto tristi per la tua vita. g.b.
(4) CHI PUÒ PERDONARE I PECCATI, SE NON UNO SOLO, CIOÈ DIO? (Marco 2:7)
Non si può avere una giusta relazione con Dio, senza avere prima la certezza di essere perdonati da Lui. Ogni peccato, non confessato e abbandonato, interrompe la comunione con Dio. Come conseguenza del peccato, l’uomo è separato da Dio, dal suo simile e dà stesso. La separazione da Dio causa problemi spirituali, quella dall’uomo crea problemi sociali e interpersonali, quella da sé stesso determina problemi psicologici. Dio vuole perdonarci, purificare la nostra mente e la nostra coscienza e guarire tutto il nostro essere. Per realizzare ciò, dobbiamo confessare a Dio ogni nostro peccato, abbandonarlo e affidarci all’opera di Cristo per la nostra salvezza e santificazione. Solo allora il sangue di Cristo, il Figlio Dio, può purificare la nostra coscienza. Non dimentichiamo mai il prezzo elevato che Cristo ha pagato per la nostra salvezza. Avendo pagato il nostro debito con la Sua morte alla croce, Egli può perdonarci completamente e definitivamente. Inoltre ricordiamoci che quando Dio perdona, dimentica i nostri peccati e li cancella (Isaia 43:25). p.d.n.
(5)FEDELE È COLUI CHE HA FATTO LE PROMESSE. (Ebrei 10:23)
Tempo fa ebbi un bel colloquio con una giovane coppia che aveva sofferto molto. Mentre leggevano la Bibbia e consideravano alcune delle promesse di Dio, la donna, visibilmente toccata da quelle parole, mi disse: “Davvero il Signore mi ama e mantiene tutte le promesse fatte?”. Spesso, di fronte a qualcosa di molto bello, anche noi diciamo un po’ malinconici: “…è troppo bello per essere vero!”. Le persone ci deludono, la vita stessa ci riserva molte situazioni amare che ci fanno perdere la speranza. Non ci fidiamo più di nessuno! A tutto questo, però, la bibbia risponde che Dio è fedele: “Fedele è Colui che ha fatto le promesse”. Sai cosa vuol dire concretamente? Almeno due cose: la Bibbia è il libro delle promesse e Dio dice sempre la verità. Infatti Egli non ha fatto nessuna promessa troppo bella per essere vera! Quella donna fece sue le promesse della Parola di Dio.
Credette e conobbe quel Gesù che le parlava intimamente. Se anche tu non ti fidi più di nessuno, allora ti trovi nella condizione giusta per avvicinarti a quel Dio che la Bibbia chiama: “Fedele!”. s.v.
(6)ESDRA FECE LA LETTURA DEL LIBRO DELLA LEGGE DI DIO OGNI GIORNO. (Neemia 8:18)
Se penso alla Festa delle Capanne non posso fare a meno di pensare all’eccitazione di tutta la famiglia, ma soprattutto dei bambini, per questo tipo di campeggio ideato dal nostro Creatore. Andare per qualche giorno ad abitare insieme al papà e alla mamma sotto le frasche e scoprire un contatto nuovo con la natura e poi intravedere le stelle fra un ramo e l’altro e , forse, provare l’emozione della pioggia improvvisa… tutto questo deve essere stato davvero emozionante. Ma c’era soprattutto un aspetto educativo, il popolo doveva stare in quelle capanne per ricordare un passato fatto di peregrinazioni nel deserto, fino al raggiungimento della Terra Promessa. Una settimana in cui si doveva ricordare le lezioni imparate e cercare di non dimenticarle. Non riesco a immaginare un modo più efficace di questo per fare riflettere tutto il popolo. Per quei sette giorni cambiava tutto e la festa era dichiaratamente all’insegna del ricordo, ma sempre mescolata alla gioia e quindi doveva avere la parola di Dio al centro. Ecco perché Esdra leggeva ogni sera e il popolo teneva le orecchie tese. a.m.
(7) CHI PROVA I CUORI È IL SIGNORE. (Proverbi 17:3)
È scontato che nella vita di ogni uomo ci siano delle prove, e molti pensano che la cosa migliore sia cercare di evitarle o di sfuggirle. Il credente, invece, sa che è il Signore che dà e prove e che, se affrontate nel modo giusto, è possibile poterne uscire edificati, perché da questi “esami” scaturiscono preziosi vantaggi. Infatti per chi ha fede, nel Signore, le prove fanno parte del processo d’affinamento interiore che brucia le impurità: attraverso le prove Dio purifica i cuori dei credenti. Le difficoltà poi, affrontate con gioia e con fede, producono pazienza, perseveranza e costanza e aiutano il credente a crescere e, perseverando a diventare una persona spiritualmente, come Dio vuole che sia. Quando sei circondato dalle prove, invece di lamentarti, considerale come delle opportunità per crescere e, se è difficile vederne i benefici, chiedi aiuto a Dio; Egli ha promesso di esserti accanto nei momenti difficili per cui non ti lascerà solo, ma ti aiuterà a superarli e ti darà la forza di sopportarli. g.f.r.
(8) STATE ATTENTI E GUARDATEVI DA OGNI AVARIZIA. (Luca 12:15)
O. J. Smith raccontò che una sera, alla fine del culto, un signore molto distinto stringendogli cordialmente la mano disse: “Signor Smith, le sono tanto grato. A lei devo tutto quello che ho”. E continuò: “Ero finito, avevo perduto il mio impiego e non avevo più nulla, neppure l’indispensabile. Un giorno a Toronto ascoltai un suo sermone e alcune delle sue frasi mi colpirono in modo particolare: “NON POTRETE MAI VINCERE DIO IN GENEROSITÀ, date e vi sarà dato, dividete con il Signore i vostri beni terreni e Dio dividerà con voi i suoi beni celesti”. Decisi di dare ascolto alle sue parole e quel poco che avevo lo diedi al Signore. Dopo solo poche ore mi fu offerto un discreto impiego e dal mio primo stipendio mantenni la promessa fatta a Dio. In breve tempo mi risollevai finanziariamente, aumentai il mio contributo per le missioni e ottenni una nuova occupazione molto redditizia. Pagai tutti i miei debiti, comprai una bella casa e aprii anche un conto in banca. Tutto questo lo devo al suo sermone. Avevate ragione: “DIO È SEMPRE FEDELE ALLA SUA PAROLA”. r.b.
(9) “SIGNORE, CHE DEVO FARE?”. (Atti 22:10)
Queste parole ci riportano la domanda drammatica che l’apostolo Paolo rivolse a Dio quando, sulla via di Damasco, venne folgorato dalla luce divina e chiamato a diventare, da persecutore della chiesa che era, al grande apostolo che tutti conosciamo. Alla domanda di Paolo, Dio rispose gradualmente, prima portandolo a una conversione sincera, a una reale fede in Cristo e poi indicandogli il compito che avrebbe dovuto svolgere, la missione alla quale sarebbe stato chiamato. Per noi le cose non sono diverse, prima il Signore ci chiama a salvezza, a una fede vera e sincera in Cristo e nella Sua opera di redenzione, poi ci chiama a servirLo o in questo mondo con una vita di ubbidienza alla Sua Parola. Che cosa rispondiamo alla chiamata del nostro Signore? f.a.
(10)PROTEGGI L’ANIMA MIA, PERCHÉ TI AMO. (Salmo 86:2)
Che cosa ha il salmista da offrire al Signore? Che cosa abbiamo noi? Molto poco, per non dire nulla. Ma Dio non ci chiede grandi cose: non pretende da noi opere buone, santità perfetta, una personalità superiore. Davide in questo salmo si definisce povero e bisognoso. E così siamo tutti davanti alla perfezione, alla potenza e alla santità di Dio. Egli vuole da noi solo che ci rivolgiamo a Lui con amore e fiducia, e tutto quello che serve per la nostra salvezza è opera Sua. Possiamo perciò chiedrGli protezione per la nostra anima, perdono, attenzione alle nostre suppliche, bontà, pietà e misericordia. Se ci fermiamo a riflettere su quali sono le caratteristiche di Dio e i Suoi interventi in nostro favore, allora dovrebbe essere naturale per noi dire: “Ti amo” e lasciare che la lode sgorghi dal nostro cuore. v.n.
(11)ABBIATE CURA DI FARE CIÒ CHE L’ETERNO VI HA COMANDATO. (Deuteronomio 5:32)
La richiesta che il Signore rivolge al Suo popolo è di ubbidienza assoluta, vissuta senza alcun tentennamento e senza alcuna deviazione. La stessa richiesta Egli la rivolge ancora oggi a quanti vogliono seguirlo e servirLo. L’ubbidienza non è un’esigenza divina, come forse potremmo pensare (“Dio vuole essere ubbidito in tutto quello che comanda per dimostrare la Sua autorità”); è piuttosto un’esigenza umana: infatti siamo noi ad aver bisogno di fare tutto quello che Dio ci comanda, perché Egli ci conosce perfettamente, Egli vuole il nostro bene e per questo ci indica qual è la giusta via da percorrere e quali sono le giuste scelte da compiere. Per vivere una vita benedetta, dobbiamo quindi sentire l’ubbidienza a Dio e a tutto quello che Egli comanda attraverso la Sua Parola come un nostro irrinunciabile bisogno. p.m.
(12)L’ETERNO REGNA! IL MONDO QUINDI È STABILE, E NON SARÀ SCOSSO. (Salmo 93:1)
Benché il mondo sia pieno di violenza e di ingiustizia: l’Eterno regna! Nonostante molte persone non credano in Dio, anzi bestemmiato il Suo nome, attribuendo a Lui tutte le colpe per le azioni peccaminose dell’uomo: l’Eterno regna! Anche se tu decidessi di far a meno di Lui, rifiutando di credere in Gesù per ottenere la salvezza, ricorda: l’Eterno regna! Nonostante tutte le cose brutte che sono sulla terra, il mondo continua a essere stabile, Tutte le leggi naturali che Dio ha stabilito continuano a esser rispettate dalla creazione. Gloria a Dio! Malgrado il peccato che è dentro di noi (dentro me e te) abbia abbruttito la creazione “molto buona” di Dio, il mondo non sarà scosso. Dio solo è il Re indiscusso di tutto l’universo. Che bello sapere che tutto è sotto il controllo dell’Eterno. Personalmente posso dire: “che bello sapere che tutto è sotto il controllo del mio buon Padre celeste!” Puoi anche tu, chiamare Dio tuo Padre? e.m.
(13)IL GIORNO DEL SIGNORE È VICINO PER TUTTE LE NAZIONI. (Abdia 1:15)
Oggi per molti Dio è assente, indifferente, passivo, solo un principio astratto e lontano che non vale la pena di conoscere né di amare. La Bibbia, invece, annuncia il “giorno del Signore” per spiegarci che Dio ha il Suo piano eterno che niente può fermare: è Lui che tiene in mano la situazione, è Lui che giudica, che salva. Ci sarà un tempo, il giorno del Signore, in cui tutta la Sua potenza e la Sua gloria si manifesteranno. Per noi già oggi l’avvertimento è solenne: il giorno del Signore giunge, giorno d’indignazione e d’ira furente (leggi Isaia 13:9), ma insieme c’è, per il credente, anche la grande promessa: “Colui che ha cominciato in voi un’opera buona la condurrà a compimento fino al giorno di Cristo” (Filippesi 1:6). Attenzione però: restiamo pronti e vigilanti, perché il giorno del Signore verrà come viene un ladro di notte (1 Tessalonicesi 5:2). l.p.
(14) PERCHÉ TRASGREDITE L’ORDINE DELL’ETERNO?. (Numeri 14:41)
Se hai la Bibbia, leggi tutto il capitolo 14 dei Numeri: troverai racconti di un’attualità impressionante. Dio aveva compiuto grandi opere in favore del Suo popolo Israele, liberandolo dalla schiavitù d’Egitto, dividendo le acque del Mar Rosso, provvedendo a tutte le necessità nel deserto, per farlo giungere alla Terra Promessa. Nonostante tutte le lamentele, Dio ha continuato a prendersene cura guidandolo con una nuvola di giorno e una colonna di fuoco di notte. Tutto questo richiedeva la loro ubbidienza. Ma il popolo ha preferito fare di testa sua, ritenendosi più intelligente di Dio e, quindi, di non avere bisogno di Lui. Che tragedia! Le conseguenze negative non tardarono ad arrivare. Il versetto continua dicendo: “La cosa non vi riuscirà bene, perché l’Eterno non è in mezzo a voi”. Non è così forse anche oggi? L’uomo si considera superiore a Dio, crede di non avere bisogno di Lui, si ritiene autosufficiente, quasi onnipotente: è invitato continuamente a credere in sé stesso nelle sue capacità, ma Gesù ha detto: “Senza di Me non potete fare nulla” (Giovanni 15:5). w.g.
(15) VOI ERAVATE MORTI NELLE VOSTRE COLPE E NEI VOSTRI PECCATI. (Efesini 2:1)
A soli 12 anni Luigi IX (1215-1270) divenne re di Francia. Poco dopo la sua ascesa al trono, ci fu una sollevazione di alcuni signori feudali che fu repressa da sua madre, la Reggente. Quando il re prese in mano il governo, compilò una lista di nomi di persone che avevano creato problemi al suo regno. Accanto a ogni nome vi era una croce e i signori feudali, vedendosi inseriti in quella lista con un simbolo di morte vicino, fuggirono all’estero. Quando il re apprese la notizia della loro fuga, promise il perdono a tutti gli esiliati che sarebbero tornati in Francia. Questi feudatari, però visto il simbolo di morte che accompagnava i loro nomi, non credevano alla sincerità del re. Il re, allora, chiarì che quel segno più che rappresentare la situazione di morte in cui si trovavano questi sudditi ribelli, era messo lì per ricordare a lui stesso la croce del Salvatore Gesù e di usare misericordia verso di loro. Anche nella mia e nella tua vita c’è una croce che da un lato ci ricorda che eravamo morti nei nostri peccati e, dall’altro, ci riporta al Calvario dove abbiamo ricevuto misericordia. Gloria al Signore! r.b.
(16) “GESÙ DISSE: IN ME DEV’ESSERE ADEMPIUTO CIÒ CHE È SCRITTO”. (Luca 22:37)
Gesù sapeva di essere venuto sulla terra per compiere la volontà di Dio che era stata manifestata ai profeti ed espresse nelle pagine della Scrittura. Il Suo compito consisteva in due parti: 1) raccogliere intorno a sé Israele e ricondurlo a Dio (Isaia 49:5); 2) essere annoverato fra i peccatori, prendere su di Sé la condanna per i loro peccati e intercedere per loro presso il Padre (Isaia 53:12). La prima parte non è stata possibile per il rifiuto di Israele di accettare Gesù come Messia e Re, ed è stata rimandata alla Sua seconda venuta. La seconda parte è stata pienamente compiuta sulla croce e ha valore per tutti quelli che Lo hanno ricevuto nel loro cuore, ottenendo così il diritto di diventare figli di Dio (Giovanni 1:12). Gesù ha accettato volontariamente di assumere su di Sé la responsabilità per i peccati di tutti gli uomini. E tu, hai accettato che i tuoi peccati siano stati espiati davanti a Dio, riconoscendo in Gesù Cristo il tuo Signore e Salvatore e domandandoGli tutta la vita? m.c.
(17) SIGNORE, TU SOLO SEI IL DIO DI TUTTI I REGNI DELLA TERRA. (Isaia 37:16)
Il re Ezechia, minacciato dall’aggressivo e potente re d’Assiria, pregò il Signore chiedendoGli aiuto. La sua preghiera iniziava proprio con le parole che leggi sopra e si chiudeva così: “Signore, Dio nostro, liberaci dalle mani di Sennacherib, affinché tutti i regni della terra conoscano che Tu solo sei il Signore”. Anche oggi i governanti della terra si comportano come se Dio non ci fosse e anche quelli che ne ammettono l’esistenza, in fondo agiscono senza tener conto delle Sue esortazioni: i risultati sono sotto gli occhi di tutti. Se ci rattristano e ci indignano le violenze, i soprusi, le sopraffazioni perpetrate dai potenti a danno di chi è debole e indifeso, ricordiamoci che Dio ha promesso che interverrà, com’è intervenuto al tempo di Ezechia, impedendo al nemico di mettere in atto il suo proposito. Quando, secondo la Sua perfetta saggezza, sarà giunto il momento opportuno, si leverà dal Suo trono e fermerà e spazzerà via ogni ingiustizia e chi ne è responsabile. Allora avverrà che “tutti i re Gli ai prostreranno davanti, tutte le nazioni Lo serviranno” (Salmo 72:11) e finalmente la giustizia regnerà in mezzo agli uomini. a.r.m.
(18) “QUESTO MI È DI CONFORTO NELL’AFFLIZIONE, CHE LA TUA PAROLA MI FA VIVERE”. (Salmo 119:50)
“Com’è buona una parola detta a buon tempo!” (Proverbi 15:23). È proprio vero, quanto può consolare una buona parola di incoraggiamento nei momenti di difficoltà e di sconforto che spesso ci troviamo a vivere! Così è della Parola di Dio per colui che crede e ha risposto la sua completa fiducia nell’opera salvifica del Signore Gesù. Dalla Parola di Dio possiamo trarre, oltre che conforto e incoraggiamento, anche le giuste istruzioni per una vita felice, saggezza e discernimento, perché Dio, che è il nostro Creatore, è Colui che meglio conosce la nostra natura e i nostri bisogni ed è potente da provvedere a ognuno di essi. Sta a noi crederci e seguirLo, per esperimentare tutte le Sue consolazioni e le Sue benedizioni. s.b.
(19) “IO, L’ETERNO, IL TUO DIO, USO BONTÀ VERSO QUELLI CHE MI AMANO”. (Esodo 20:6)
Chi ama Dio non è esente dalle sofferenze, fintano che vivrà su questa terra. Eppure questo versetto racchiude una promessa molto forte, rivolta proprio a chi ama Dio: “Io sarò buono” Egli dice, o letteralmente “avrò un amore fedele” verso di voi. La forza dell’amore di Dio è la Sua fedeltà. Non è un amore emotivo, né interessato, non è motivato da aspettative; è semplicemente un amore costante. In Geremia 32:41 è scritto che il Signore mette tutta la Sua gioia nel farci del bene. Quindi, in qualsiasi circostanza ti trovi, fidati di queste realtà: 1) Dio è buono 2) Dio ti ma fedelmente 3) Gioisce nel farti del bene Pertanto, ama con tutto te stesso questo Dio così meraviglioso, e parlaGli ogni giorno ricercando la Sua presenza! m.f.
(20) LA MATTINA GESÙ SE NE ANDÒ IN UN LUOGO DESERTO; E LÀ PREGAVA. (Marco 1:35)
Quanti elementi di riflessione ci sono in questo breve versetto: La mattina. All’inizio di una giornata, ma in senso generale al principio di ogni cosa, vuol del lavoro, di un impegno importante, ecc. Non iniziamo nessuna cosa senza aver messo Dio al primo posto; così riconosciamo la Sua signoria e il nostro bisogno di Lui. Luogo deserto. Lontano dai rumori del mondo; noi e Lui, faccia a faccia. Gesù la chiamava anche “cameretta”; dove appartarsi con Lui. Molte volte la mattina presto vado al parco, dove non c’è nessuno (sembra veramente un deserto) e lì cerco un più intimo contatto con Lui. Pregava. La preghiera: questo telefono senza fili col quale abbiamo il privilegio di aprire il cuore al Padre e raccontarGli le nostre paure, le nostre ansie, le nostre aspettative. Come un padre terreno è contento di ascoltare il proprio figlio, così il nostro Padre celeste vuol fare con noi. Solo così riceveremo coraggio, consolazione e forza per affrontare una nuova situazione. p.p.
(21) L’ETERNO VI METTE ALLA PROVA PER SAPERE SE LO AMATE. (Deuteronomio 13:3) L’amore è l’essenza di Dio. Infatti la Bibbia ci dice è amore (1 Giovanni 4:8); amore vero, non mero sentimento. Amore che si esprime in azioni di benevolenza. Amore che scaturisce dalla volontà Fu l’amore a spingere Gesù a offrirsi come sacrificio al posto mio sulla croce, per regalarmi la salvezza. Ecco quanto è grande l’amore dell’Eterno per me. E io? Quanto Lo amo? L’Eterno ci fa “l’esame del cuore”, per verificare a che punto è il nostro amore per Lui! Gesù stesso insegnò che il più grande comandamento è: “Ama il Signore Dio tuo con tutto il tuo cuore, con tutta la tua anima e con tutta la tua mente” (Matteo 22:37). Un modo per manifestare il tuo amore per Dio è darGli del tempo, per ascoltare quello che ti vuole dire nella Sua Parola. Anche oggi Dio ti metterà alla prova. Quale saranno gli esiti di questo esame? e.m.
(22) RITORNATE A ME E IO TORNERÒ A VOI DICE L’ETERNO. (Malachia 3:7)
Questo versetto è riferito a persone dell’Antico Testamento che pur conoscendo le leggi di Dio se n’erano allontanate; ma vuole essere, anche per noi oggi, un invito ad accettare la misericordia di Dio. Infatti Lui è sempre pronto ad accoglierci, offrirci il Suo perdono e infinite benedizioni; ma c’è una condizione: ritornare a Lui pentiti. A qualcuno purtroppo non importa molto di Dio, ma a te che stai leggendo questo foglietto, ti importa? Chiediti: sei con Dio, o senza Dio? È previsto un giorno per tutti noi nel quale ritorneranno al Signore (“è stabilito che gli uomini muoiano una volta sola, dopo di che viene il giudizio” Ebrei 9:27): è un ritorno obbligatorio e con giudizio dopo la morte ma potrebbe diventare un ritorno volontario con perdono fin da oggi (leggi Luca 15:18). Dove sei.. ora? Non è mai troppo tardi per ritornare al Signore! b.s.
(23) FACCIAMO DEL BENE A TUTTI; MA SPECIALMENTE AI FRATELLI IN FEDE. (Galati 6:10)
L’amore pratico, quello cioè dimostrato con le azioni, è al centro della predicazione di Cristo. Egli stesso lo ha praticato, fino a donare la Sua vita. Ma perché la secondo parte del versetto di oggi dice di fare del bene specialmente ai fratelli in fede? Questa sottolineatura potrebbe urtare qualcuno. Mi viene in mente il rapporto che ciascuno ha con la sua famiglia. Vi è mai capitato di notare dell’incoerenza in qualcuno che si adopera più per i vicini di casa, o per degli sconosciuti che per i propri familiari, i propri fratelli? Queste situazioni non vi danno fastidio?! Il valore del legame che unisce i membri della stessa famiglia, è qualcosa che comprendiamo molto facilmente perché ce lo abbiamo “scritto nel sangue”. Allo stesso modo possiamo capire l’importanza che Dio dà alla famiglia spirituale che Cristo stesso ha creato versando il Suo sangue dando la possibilità a chiunque crede in Lui come personale Salvatore e Signore di diventare figlio di Dio e membro della Sua famiglia. e.s.
(24) NON SIATE IN ANSIA PER LA VOSTRA VITA. (Matteo 6:25)
“Basta avere la salute…”, ci si consola così quando non abbiamo ottenuto quello che volevamo o quando ci rendiamo conto che non abbiamo più chances. Dietro questa frase ricorrente si nasconde una certa paura, uno stato d’ansia che ci accompagna durante tutta la nostra esistenza, anche se con modalità e intensità diverse. Gesù ci conosce bene, sa quanto ci preoccupiamo per la salute, i vestiti, il mangiare, ed essendo il miglior pedagogo che esista, dopo aver enunciato un principio generale, offre subito un esempio pratico. Ci sembra di vederLo mentre coglie un giglio e poi, mentre esorta i discepoli a guardare il volo degli uccelli, quando cerca di tranquillizzarli chiarendo che nessun re ebbe mai abito paragonabile allo splendore di quel giglio e che a Dio non sfugge nulla, neppure il benessere di un passerotto. Forse sei uno stato di ansia per la tua vita, per la tua salute, per il tuo lavoro: Gesù ti invita di nuovo a riflettere. a.m.
(25) “DIO L’ETERNO DISSE: NON È BENE CHE L’UOMO SIA SOLO”. (Genesi 2:18)
È noto a tutti come oggi l’istituzione del matrimonio sia profondamente in crisi. Coppie che si separano, matrimoni che si sfasciano, famiglie in frantumi sono sempre più numerosi. Eppure Dio ha concepito un progetto meraviglioso per l’uomo. Dopo averlo creato disse: “Non è bene che l’uomo sia solo” e gli pose accanto qualcuno “adatto a lui” (Genesi 2:18), perché i due si amassero e si completassero sotto ogni aspetto: psicologico, emotivo, intellettivo e fisico. Ma qualcosa è intervenuto ad alterare profondamente questo progetto armonioso. Questo qualcosa si chiama peccato che ha trasformato l’uomo in un’isola d’egoismo e ha infettato tutti i suoi rapporti a cominciare proprio da quello più bello ed esclusivo che è il matrimonio. Ma se abbiamo letto con attenzione il versetto di oggi, ci siamo resi conto che le persone coinvolte nel matrimonio non sono solo due, ma ce n’è una terza che, oltre che essere il Progettista, vuole essere anche il Fondamento, il riferimento in ogni matrimonio, anche se in crisi: DIO. g.b.
(26) IO AMO L’ETERNO. LO INVOCHERÒ PER TUTTA LA MIA VITA. (Salmo 116:1,2)
A chi appartiene il nostro cuore? Esaminiamoci a fondo e nel silenzio della nostra coscienza: se continuiamo tranquillamente a occuparci solo delle cose di questa terra, mieteremo quello che abbiamo seminato. Rinunciamo a tutto quello che finora è stata per noi la cosa più importante e mettiamo al primo posto l’amore per Gesù che ha lasciato tutto per noi e che ci ha tanto amati da morire per noi sulla croce. Se Gesù è per noi il primo amore, la gioia e la pace allieteranno la nostra breve esistenza quaggiù per continuare poi nell’eternità. Se amassimo veramente Gesù, non faremmo tante cose senza di Lui, non prenderemmo tante decisioni indipendentemente da Lui, senza aver prima pregato e senza aver consultato la Sua Parola, la Bibbia, non lasceremmo vagare i nostri pensieri per ore intorno alle preoccupazioni, ma Gli esporremmo immediatamente i nostri problemi: “Mostrami, Signore, come la pensi Tu; fa che parli e agisca come vuoi Tu…per amore del Tuo nome guidami e conducimi” (Salmo 31:3). g.f.r.
(27) DIO GIUDICHERÀ I SEGRETI DEGLI UOMINI PER MEZZO DI GESÙ CRISTO. (Romani 2:16)
Quando sentiamo parlare di Dio, ci fa piacere ascoltare verità incoraggianti, ma respingiamo qualcuno che ci fa notare che Dio giudicherà gli uomini. “Giudizio”, una parola che non vogliamo ascoltare per nessuna ragione al mondo! Perciò rifiutiamo l’idea secondo cui il Signore conosce perfettamente i segreti dell’animo umano ed emetterà, nel giorno che ha stabilito, una sentenza chiara, giusta e definitiva. Sapete perché non accettiamo queste verità? Perché ci siamo fatti un concetto di Dio che è sbagliato. Pensiamo che il Signore sia simile a un nonno benevolo, indulgente e permissivo. Addirittura cerchiamo di convincere noi stessi con ragionamenti del tipo: “Ne sono certo Dio deve perdonare sempre!”. Ma è proprio così? La Bibbia afferma che il giudizio ci sarà e che nessuno potrà nasconderGli nulla. C’è però un particolare che non dobbiamo trascurare: il giudizio si manifesterà per mezzo di Gesù Cristo. Certo, il Figlio di Dio presto giudicherà, ma oggi, si rivela ancora come il Salvatore di chiunque si ravvede. s.v.
(28) GUARDATI DA OGNI COSA MALVAGIA. (Deuteronomio 23:9)
Questa esortazione di Dio ha l’obbiettivo di aiutare l’uomo a non compromettere e a non rovinare la propria esistenza con scelte sbagliate. Possiamo definirla un’esortazione preveniva, infatti quel “guardati” ha proprio il significato di: “stai alla larga, tieniti lontano…”. Quando si presentano sul nostro cammino situazioni che possono farci del male, è opportuno allontanarsene per non riceverne del male. Ma… quali sono oggi le “cose malvagie”? Dal momento che stiamo ormai vivendo il tempo in cui, come il Signore ha previsto nella Sua Parola, l’uomo chiama bene il male e male il bene, è necessario che proprio la Parola di Dio diventi il nostro punto di riferimento, che ci aiuti a conoscere quali sono le “cose malvagie”, cioè le situazioni e le scelte delle quali tenerci bene alla larga, ed è altrettanto necessario che affidiamo la nostra vita alla guida di Dio per ricevere da Lui la forza per non comprometterci. p.m.
(29) “DIO HA TANTO AMATO IL MONDO”. (Giovanni 3:16)
Quando pensiamo all’amore, intendiamo quell’insieme di sentimenti ed emozioni che ci spingono a dimostrare affetto, a sacrificare energie, tempo e denaro per il bene di un’altra persona. Però, se i nostri doni e cure vengono rifiutati o disprezzati, ci si risente e generalmente ci si richiude in sé per non essere feriti e non soffrire. L’amore con cui Dio ha amato il mondo, supera di gran lunga il nostro amore. Dio ha amato persone che Lo respingevano, Lo disprezzavano, pensavano di non avere bisogno di Lui. Ha dato quello che aveva di più caro, il Suo Figlio Gesù, per la salvezza dell’umanità, e continua ad amare ancora oggi coloro che Gli dimostrano tutta la loro ostilità. Non rifiutiamo il Suo amore, fino a che ce ne è data la possibilità. o.t.
(30) IL MIO POPOLO HA ABBANDONATO ME, LA SORGENTE D’ACQUA VIVA. (Geremia 2:13)
Con queste parole Dio rimproverò il Suo popolo che si era allontanato da Lui. A mio avviso, questi due mali sono anche della nostra società. L’uomo è infelice e depresso, proprio perché si è allontanato dal Suo Creatore, sorgente della gioia, ed è alla ricerca di cisterne screpolate, di surrogati, di cose alternative che non soddisfano pienamente. Oggi, molto di più dei nostri padri, abbiamo maggiore benessere, più agi e comodità, eppure non siamo felici, anzi siamo colpiti dall’ansia e dall’agitazione interiore. Vi è nella società un senso d’angoscia, di noia e di insoddisfazione, che si manifesta nella letteratura, nell’arte, nella musica, nel cinema, nel teatro. Alcuni cercano il significato all’esistenza con la ragione; altri nelle ricchezze e nel benessere, altri nei piaceri, ma inutilmente. Ma allora chi può dare un vero significato all’esistenza? Solo il Signore offre all’uomo deluso, turbato e depresso una vita di gioia vera. La vera felicità non ha bisogno di surrogati, ma si trova in una relazione personale con Cristo. Egli è la sorgente di vita e della gioia! p.d.n.
(31) “SAUL MORÌ, PERCHÉ AVEVA EVOCATO UNO SPIRITO PER CONSULTARLO”. (1 Cronache 10:13)
Nelle ultime stagioni cinematografiche c’è stato un notevole incremento di film dell’orrore, con richiami all’occulto e al mondo magico. Anche le attività dei maghi e delle fattucchiere proliferano. Interesse e curiosità spingono tanti uomini e donne verso le pratiche occulte. Cosa ne dice la Bibbia? “…nessuno pratichi la divinazione o cerchi di indovinare il futuro, nessuno eserciti la magia, né faccia incantesimi o consulti spiriti o indovini, nessuno cerchi di interrogare i morti…” (Deuteronomio 18:10-11). Dio ha dato un rodine motivato dall’amore per noi, dal senso di protezione che nutre nei nostri confronti. Sa che il mondo dell’occulto può nuocere a noi e ai nostri figli, con implicazioni che neppure immaginiamo. Comunque è un ordine e se si disubbidisce, come nel caso di Saul, se ne pagherà il prezzo. m.f.
NOVEMBRE
(1)”IO SONO LA RISURREZIONE E LA VITA, DISSE GESÙ”. (Giovanni 11:25)
È un testo che viene ripetuto spesso ai funerali, ma si deve stare attenti a non considerarlo una formula stereotipata di valore puramente consolatorio. Vita e morte sono termini ben noti, ma “risurrezione” che significa? Quando si parla di persone risorte, di solito si dice che sono “tornate” in vita. Si tratta dunque di un “ritorno” indietro, seguito da un successivo nuovo avanzamento verso l’inevitabile morte. Nella Sua risurrezione, invece, Gesù Cristo non è tornato indietro, ma è andato avanti, oltre la morte, riportando una vittoria definitiva su di essa. In questo senso, non ci sono altre risurrezioni all’infuori di quella di Gesù. Gesù è la risurrezione. E di conseguenza è anche la vita, la vera vita eterna, cioè quella che non ha davanti a sé la prospettiva paurosa della morte, perché la morte non sta più davanti, ma dietro, come qualcosa che è stato superato e vinto nella morte e risurrezione di Gesù Cristo. E agli uomini è stata lasciata questa promessa: “Chiunque contempla il Figlio e crede in Lui, ha vita eterna” (Giovanni 6:40). m.c.
(2) “I MORTI RISUSCITERANNO INCORRUTTIBILI, E NOI SAREMO TRASFORMATI”. (1 Corinzi 15:52)
La dottrina della risurrezione è il fondamento della fede cristiana. “Se i morti non risuscitano, neppure Cristo è risuscitato; se Cristo non è stato risuscitato, vana è la nostra fede; voi siete ancora nei vostri peccati” (1 Corinzi 15:16-17). La Bibbia dichiara che l’uomo vive e muore una volta sola. Dopo la morte non ci saranno altre reincarnazioni o possibilità di ravvedersi, ma verrà il giudizio. Cristo è stato il primo a risuscitare dai morti, Colui che ha aperto la strada. Poi, quando il Signore ritornerà dal cielo, i credenti morti risusciteranno e i viventi saranno trasformati e tutti insieme entreranno nel cielo. Gli altri, gli increduli, saranno lasciati nelle loro tombe ad aspettare per circa mille anni la seconda risurrezione, quella di condanna e di giudizio. Il corpo risuscitato del credente sarà simile a quello glorificato di Cristo. Non sarà più soggetto alle leggi della materia, dello spazio e del tempo. Rivestirà l’immortalità e l’incorruttibilità. Sarà un corpo glorioso, libero dalla sofferenza e dalla malattia, adatto a vivere la vita celeste. p.d.n.
(3) “QUEL CHE IMPORTA È L’ESSERE UNA CREATURA”. (Galati 6:15)
Paolo, ispirato dallo Spirito Santo, vuole ripristinare il concetto fondamentale della Parola di Dio; se la vita non è stata rigenerata dall’azione dello Spirito Santo, tutto sarà inutile e pericoloso (inutile, perché nessuna opera della carne può portare l’uomo a Dio; pericoloso, perché si crea l’illusione di potercela fare con i vari riti e cerimonie esteriori che senza lo Spirito non sono graditi a Dio). Lo stesso Nicodemo, un dottore e osservante della legge giudaica, si sentì dire dal Signore Gesù: “Se uno è nato di nuovo, non può vedere il regno di Dio” (Giovanni 3:3). Ma come si fa a diventare una
Nuova creatura? Ci sono tre condizioni: 1°) essere consapevole dello stato di peccato e separazione da Dio e quindi di essere sotto il Suo giudizio perfetto; 2°) essere consapevole di non avere alcuna capacità di riconciliarsi con Dio con i propri mezzi o le proprie opere, perché le opere della legge non giustificano, 3°) accettare con piena fiducia che solo il sangue di Gesù può perdonare i peccati e liberare dal giudizio divino. A questo punto lo Spirito Santo agisce nel cuore, rigenerandolo in nuova creatura. w.g.
(4)”PERCHÉ HAI FATTO CIÒ CHE È MALE AGLI OCCHI DELL’ETERNO?”. (1 Samuele 15:19)
La notizia era piuttosto curiosa: una signora era stata arrestata per aver dato da mangiare ai piccioni! “Esagerati!” si direbbe, sennonché la signora sapeva bene che la cosa era severamente vietata, essendo già stata multata più volte per lo stesso motivo. La domanda del versetto di oggi fu rivolta al re Saul in seguito a una sua chiara disubbidienza a un ordine di Dio. Le azioni di Saul, come quelle di quella signora dei piccioni, potevano anche sembrare “buone” da un punto di vista umano, ma non corrispondevano a ciò che Dio aveva ordinato. È vero che Dio non tollera il male, ma è altrettanto vero che chi diventa figlio Suo, quando sbaglia, Dio lo riprende in vista della riconciliazione. h.p.
(5)”DIO GUARISCE CHI HA IL CUORE SPEZZATO”. (Salmo 147:3)
Di cuori spezzati ce ne sono tanti. Genitori di figli che si rovinano con la droga. Parenti di malati terminali. Persone che avevano messo in fiducia, soldi e speranze in qualcuno e che sono rimaste deluse. Figli di genitori che si separano e che nascondono la loro disperazione con la rabbia e la ribellione. Cattiveria, egoismo, disonestà dilagano dappertutto. Gesù ha detto di essere venuto per i malati, per i cuori rotti. Ma ha fatto una precisazione: è venuto per chi capiva di essere malato. Malato dentro. Malato terminale. Nessuno può essere aiutato se non capisce di avere bisogno di aiuto. Molti, troppi, preferiscono curarsi da soli cerotti della religione, col buonismo del volontariato, stringendo eroicamente i denti, o facendo finta che Dio non ci sia. Guardati dentro, ammetti di avere bisogno, di avere un cuore spezzato. E pensa che nella semplicità del Vangelo c’è la ricetta per guarire le peggiori malattie spirituali. m.t.s.
(6)”CHI HA PIETÀ DEL BISOGNOSO ONORA IL CREATORE”. (Proverbi 14:31)
Un giorno Serapione incontrò ad Alessandria un uomo molto povero, quasi morto dal freddo. Il vecchio si tolse i vestiti e glieli diede. Passò una guardia che gli chiese come mai fosse senza vestiti. “È stato Colui del quale è scritto in questo libro” rispose mostrando il Vangelo. Più tardi, vedendo un altro uomo che veniva arrestato perché non poteva pagare il proprio debito, Serapione vendette il Vangelo e con il ricavato saldò il debito dell’uomo. Quando il vecchio tornò a casa, nudo e tremante, il suo discepolo gli chiese come mai fosse ridotto così. “Ho dato tutto a Colui che mi ha chiesto: “Vendi tutto quello che hai e dallo ai poveri”. Quante occasioni ci passano accanto quotidianamente, quante possibilità per servire Gesù sfamando chi ha fame, dissetando chi ha sete e andando a trovare chi ha bisogno di conforto. Gesù ha detto che se compiamo queste azioni è come se lo facessimo a Lui stesso e sono un modo per onorarLo. m.f.
(7) “L’ETERNO È CON ME, COME UN POTENTE EROE”. (Geremia 20:11)
Sundar Singh, il cosìddetto “apostolo Paolo dell’India”, si trovava in Tibet per portare il Vangelo, ma fu arrestato e condannato a morte. Aprirono il coperchio di un pozzo profondo una decina di metri, dove venivano buttati i cadaveri, e lo gettarono dentro dopo avergli spezzato un braccio per evitare ogni possibilità di risalita. Egli racconta: “Nel fondo di quel buco infetto, senza mangiare e senza bere, sperimentai una pace profonda e il mio Salvatore trasformò quel luogo di tenebre e di morte in un paradiso. Aspettavo serene mante la morte ma, durante la notte del terzo giorno, sentii una chiave girare la serratura. Una boccata d’aria fresca mi raggiunse e una voce mi disse di afferrare una corda che mi venne lanciata. Mi aggrappai e mi sentii sollevare fino a essere deposto fuori dal pozzo. Il coperchio fu chiuso e sentii ancora la chiave girare nella serratura, ma non vidi nessuno”. Il governatore, informato, fece controllare l’efficienza della serratura del pozzo e si assicurò che l’unica chiave non avesse mai abbandonato la cintura del responsabile. A quel punto disse a Sundar: “Il tuo Dio è potente e ti ha liberato. Non possiamo farti del male, ma va via dal nostro paese”. r.b.
(8) “ADOPERATEVI PER IL CIBO CHE DURA IN VITA ETERNA”. (Giovanni 6:27)
Una mattina, mentre mi trovavo nella piazza principale della mia città in compagnia di un amico, guardavo le tante persone che attraversavano la piazza in tutte le direzioni, entravano e uscivano da banche, uffici, negozi, con in mano pacchi, borse, cartelle ecc. Nient’altro che una normale giornata di lavoro per centinaia di persone. “Vedi”, mi disse il mio amico, “sai qual è l’interesse che fa muovere tutte queste persone che, anche se si conoscono a malapena, si salutano con un cenno del capo?”. “Quale?” chiesi. “Il denaro, sono tutti a caccia di denaro”. L’osservazione mi parve giusta e acuta. Certo, è più che giusto lavorare per guadagnarsi da vivere, ma quando la ricerca di denaro e di benessere è il motore principale che fa muovere le cose, vuol dire che nel nostro agire c’è una lacuna gravissima che ci obbliga a vivere in un affanno senza sosta. Gesù ci ricorda che c’è un cibo per l’uomo che dona pace, amore e vita eterna, questo cibo è la Sua Parola! Non ce ne priviamo, ma ascoltiamoLa con attenzione e applichiamoLa alla nostra vita. g.b.
(9) “SEGUITE L’ETERNO, SERVITELO E STATE UNITI A LUI”. (Deuteronomio 13:4)
Seguire, servire, unirsi. Tre immagini che presuppongono un avvicinamento. Prova per un attimo a visualizzarle con fotogrammi. Chi segue si tiene a debita distanza, ma controlla sempre di trovarsi a un passo da colui che sta indicando la strada. Chi serve deve essere necessariamente più vicino in posizione più bassa rispetto a chi è servito, puoi a pensare a Gesù quando prese un asciugamano e cominciò a lavare i piedi dei discepoli. Essere uniti, poi, presuppone disponibilità e accoglienza. A me viene in mente quel padre del racconto del figlio prodigo, che sta aspettando a braccia aperte suo figlio che pensava perduto per sempre. Seguire l’Eterno significa accettare che sia Lui la guida della tua vita, servirLo significa rispettare ciò che Egli ti chiede nella Sua Parola, essere unito a Lui significa non allontanarti mai e per nessun motivo da Lui. a.m.
(10)”MEDIANTE IL VANGELO SIETE STATI SALVATI. (1 Corinzi 15:1,2)
Vangelo significa “buona notizia”. Nella Bibbia, che è un insieme di libri, c’è una parte detta “Vangeli” in cui si racconta tutta la vita di Gesù. Il Figlio che Dio Padre ha mandato sulla terra per compiere un piano speciale per la salvezza di ogni uomo è Gesù. Solo l’uomo-Dio, la Parola fatta carne, l’unico senza peccato, poteva vincere il peccato! Egli ha prima adempiuto tutta la legge di Dio, poi, morendo in croce e risuscitando, ha sconfitto il peccato e la morte. Infatti la morte è la conseguenza del peccato. Ma Gesù ha trionfato con la vita e, attraverso di Lui, chiunque sceglie liberamente di identificarsi nella Sua morte e nella Sua risurrezione, può ricevere la salvezza eterna. Ecco perché è importante conoscere, studiare e mettere in pratica il Vangelo! Solo così, dopo la morte fisica, potremo essere sicuri di vivere sempre e non morire mai più. Che bella notizia! s.b.
(11)”DIO FA GIUSTIZIA ALL’ORFANO E ALLA VEDOVA. (Deuteronomio 10:18)
Leggevo sul giornale, in uno spazio riservato ai lettori, il racconto triste di una vedova che non aveva i soldi sufficienti per sostenere la figlia depressa e bisognosa di cure. “Continuerò a gridare fino a quando qualcuno mi ascolterà!”, scriveva disperata. Purtroppo non è un caso unico. Quanti delusi lottano in un mondo sordo e incapace di risolvere i loro problemi! Chi li ascolterà? Il versetto di oggi ha una parola opportuna. Anticamente rimanere vedova o diventare orfano era davvero un grande problema. Non c’era nessuna forma previdenziale o di assistenza che garantisse un minimo di benessere e non c’era neppure la possibilità di denunciare i propri disagi sul giornale, come fece quella donna. La sola speranza possibile era Dio e nient’altro! Ebbene, anche oggi i delusi, gli scoraggiati, i senza Dio che invocheranno il Signore, si sentiranno rivolgere, con la stessa efficacia, queste parole di consolazione: “Dio fa giustizia all’orfano e alla vedova”. s.v.
(12)”IL SEGRETO DELL’ETERNO È RIVELATO A QUELLI CHE LO TEMONO”. (Salmo 25:14)
Il segreto che Dio vuole rivelare proprio a te è questo: ti ama. La Bibbia afferma che Lui ti “ama di un amore eterno”. Prima che tu nascessi Dio ti ha conosciuto e ha visto in te un essere prezioso di grande valore, fatto a immagine Sua, con capacità straordinarie. Come te, ha amato ogni creatura che mai è venuta al mondo. Purtroppo, però, il peccato che è in te, e in ogni persona, non gli permette di accoglierti così come sei. Essendo giusto, deve punire il male che è dentro di te. Ma, dato che ti ama, ti ha considerato così importante che ha deciso (anche questo da tutta l’eternità) che valevi la vita di Suo Figlio Gesù. Per questo Lui è morto al tuo posto, ha pagato la pena del male che hai fatto e ora ti offre gratuitamente la salvezza dell’anima. Purtroppo la gente, e forse anche tu, non crede che Dio la ami. Perciò si allontana sempre più da Lui. Nonostante tutto, le Sue braccia sono aperte, pronte a donare a chiunque si avvicina a Lui il Suo amore eterno. Ci credi? m.t.s.
(13)”I SERVITORI DI SATANA SI TRAVESTONO DA SERVITORI DI GIUSTIZIA”. (2 Corinzi 11:15)
E Satana stesso si traveste da angelo di luce. Una delle cose più furbe di Satana è stata quella di diffondere un’immagine ridicola di sé stesso. Come si può avere paura di un essere con corna, coda e zoccoli che si annuncia con puzza di zolfo? E intanto lui, invece, si presenta in un modo allettante e luminoso. Così continua a dominare le persone, ad attirarle, e usa a sua volta persone che si travestono. Ingannatori che propugnano ideali di “giustizia”, di “tolleranza”, di “uguaglianza”. Ma di che tipo? Sempre più spesso questi termini così solenni e belli, nascondono il rifiuto della verità (se c’è una verità, vuol dire che chi non la pensa così sbaglia? Non è accettabile); rifiuto della giustizia di Dio (e quelli che la pensano diversamente sono tutti ingiusti?) e via di questo passo. La Bibbia, la Rivelazione di Dio, è, contro il nostro relativismo imperante, drastica, “intollerante”, senza vie di mezzo. Non ci dice che tutto va bene, ma: “Sei un peccatore e Dio ti ama”. Confronta i profeti moderni, che parlano a modo loro di giustizia, uguaglianza, tolleranza, con la Bibbia, per scoprire chi servono in realtà. v.n.
(14) “L’ETERNO HA GIURATO: COME HO DECISO, COSÌ AVVERRÀ”. (Isaia 14:24)
Può apparire strana l’attribuzione a Dio di un giuramento; si tratta evidentemente di un riferimento del tutto umano usato da Dio stesso per far comprendere al Suo popolo la solennità e l’autorevolezza della dichiarazione che stava per pronunciare. In cosa consisteva questa dichiarazione? Consisteva nell’affermare che ogni decisione presa da Dio ha la sua realizzazione concreta. I progetti concepiti da Dio non rimangono cioè nella sfera delle buone intenzioni (come spesso accade ai nostri propositi!), ma trovano sempre piena attuazione. Era una dichiarazione che, da un lato, pensando alle promesse divine di salvezza e liberazione, consolava il popolo, ma dall’altro lato, attraverso l’annuncio dei giudizi divini, lo metteva in guardia e lo chiamava a vivere un cammino di fedeltà e d’ubbidienza al Signore. Ancora oggi la conoscenza delle “decisioni” di Dio ci permette di sapere cosa “avverrà” e, di conseguenza, ci porta a essere consolati e incoraggiati ma anche ripresi e corretti. p.m.
(15) “PERCHÉ DICI: AL MIO DIRITTO NON BADA IL MIO DIO”? (Isaia 40:27)
Oggi viviamo in una società in cui tutti pretendiamo il rispetto dei diritti di ognuno. Non si fa altro che parlare di diritti degli anziani, dei bambini, dei lavoratori, degli stranieri, ecc. Guai se qualcuno si permette di calpestare i nostri diritti! Così anche nei confronti di Dio, ci permettiamo di accampare dei diritti e ci sentiamo traditi se Egli non ne prende atto. Il Signore dei signori, il Creatore del cielo e della terra che viene accusato di mancanza di rispetto nei confronti della Sua creatura! Fermiamoci e riflettiamo seriamente su questo. Dio ha una intelligenza imperscrutabile e continuamente il Suo amore per la creatura Lo porta a impegnarsi per essa. Non si dimentica di nessuno di noi. Chiediamoci, invece, se oltre ai diritti, non abbiamo anche dei doveri nei confronti di Dio. Non sarebbe male soffermarci su questo punto. p.p.
(16) “IL PADRE VOSTRO, CHE È NEI CIELI, DARÀ COSE BUONE A QUELLI CHE GLIELE DOMANDANO”. (Matteo 7:11)
Queste parole di Gesù sono precedute da alcuni versetti che invitano a chiedere a Dio con la fiducia di ricevere. Gesù invita semplicemente ad affidare la propria vita a Dio Padre, perché Egli se ne prende cura. Mi ha sempre colpito in modo particolare il versetto 9 dello stesso capitolo: “Vi è tra voi qualche uomo che, se suo figlio gli chiede del pane, gli darà una pietra?”. Sono parole che rendono viva nella mia mente l’immagine del padre: egli provvede ai bisogni di suo figlio. Tuttavia mentre un padre umano ha dei difetti e commette errori, Dio è un padre perfetto. Umanamente non esiste un padre così, ma tutti possono trovarlo in Dio. Questo è un privilegio meraviglioso! Come Padre Egli ha cura dei Suoi figli: se non Gli presentiamo i nostri bisogni e le nostre problematiche, Egli se ne occuperà di sicuro e nel modo migliore. e.s.
(17) RIPONI LA TUA SORTE NEL SIGNORE, CONFIDA IN LUI, ED EGLI AGIRÀ. (Salmo 37:5)
Questo Salmo è pieno di esortazioni e inviti ad avere fiducia in Dio, a non preoccuparci per ciò che si succede intorno e sperare in Lui per ottenere aiuto e sostegno. Forse rispondi: “Non è facile da mettere in pratica, se solo guardiamo intorno a noi…”. L’apostolo Paolo che, in prima persona, aveva sperimentato le situazioni avverse della vita, un giorno le elencò in questo modo: “tribolazione, angoscia, persecuzione, fame, nudità, pericolo, spada” (Romani 8:35) e si chiese se tutte queste cose potessero, in qualche modo, separarlo dall’amore di Dio ed impedire a Dio stesso di agire in favore dei Suoi figli. Fu lui stesso a rispondere con queste parole incoraggianti: “Infatti sono persuaso che né morte, né vita, né angeli, né principati, né cose presenti, né cose future, né potenze, né altezza, né profondità, né alcun’altra creatura potranno separarci dall’amore di Dio che è in Cristo Gesù nostro Signore” (Romani 8:38-39). Che siano di incoraggiamento anche a te! a.r.m.
(18) GESÙ PUÒ SALVARE QUELLI CHE PER MEZZO DI LUI SI ACCOSTANO A DIO. (Ebrei 7:25)
“Gesù può salvare”. Ma da che cosa? La risposta è: dall’ira di Dio che incombe sul capo di ogni uomo peccatore. È importante sottolineare questo aspetto trascurato della Rivelazione biblica. Sta scritto che l’ira di Dio si rivela dal cielo contro ogni empietà e ingiustizia degli uomini” (Romani 1:18). L’uomo peccatore quindi non può avvicinarsi a Dio quando e come vuole. Quando Dio diede a Israele le tavole della legge sul monte Sinai, disse a Mosè di avvertire il popolo di non avvicinarsi al monte, se non volevano perire, e gli stessi sacerdoti dovevano santificarsi prima di avvicinarsi “affinché il Signore non si avventi contro di loro” (Esodo 19:22). Soltanto Gesù può salvare perfettamente “quelli che per mezzo di Lui si accostano a Dio”. L’unica possibilità di scampare all’ira di Dio che conduce alla morte eterna sta dunque nel credere in Gesù, perché sta scritto: “Chi crede nel Figlio ha vita eterna, chi invece rifiuta di credere al Figlio non vedrà la vita, ma l’ira di Dio rimane su di lui” (Giovanni 3:36). m.c.
(19) “TU NON HAI GLORIFICATO DIO, NELLE CUI MANI È LA TUA VITA”. (Daniele 5:23)
Parole dure rivolte al re Baldassar da Daniele, un deportato ebreo. Daniele emette un giudizio da parte di Dio, accusa il re di averLo disonorato in diverse maniere. Ha usato i vasi consacrati del tempio di Gerusalemme, profanandoli senza rispetto; inoltre, cosa ancor più grave, si è prostrato davanti agli idoli rappresentati come materia inanimata, senza occhi né orecchie, incapaci di ascoltare, comprendere e agire. Daniele ricorda al re che la sua vita è nelle mani di Dio, e per questo Lui si aspetta di essere glorificato e onorato. Ci sono molti modi per onorare Dio con la vita che ti ha donato e tanti altri per disonorarLo. Quale scelta intendi compiere? Ti propongo la lettura del libro “Intromissione Divina” scritto da Joni Ereckson (ed. ADI Media), una ragazza rimasta paralizzata dopo un incidente: un bell’esempio di come si possa glorificare Dio con la vita, anche quando umanamente pensando non ci sarebbero i presupposti per farlo. m.f.
(20) “TI HO POPOSTO DAVANTI LA VITA E LA MORTE, SCEGLI DUNQUE LA VITA”. (Deuteronomio 30:19)
Nella società odierna, specie in quella occidentale, si fa sempre più strada la cultura della morte camuffata da “dolce morte”: l’eutanasia. Inoltre tante persone, anche giovani, trovandosi per svariate circostanze in situazioni disperate, scelgono di farla finita suicidandosi. Così facendo pensano forse di porre definitivamente rimedio ai loro problemi esistenziali. Attenzione! Se nella vostra mente dovessero insinuarsi questi pensieri, sappiate che questo è un inganno del diavolo, non ascoltatelo! Non prendete esempio da Giuda Iscariota il quale, dopo essersi pentito di aver tradito Gesù, per il suo orgoglio, invece di andare dal Signore per ottenere il perdono dei suoi peccati si suicidò. Difatti il Signore ha stabilito che dopo la morte c’è il giudizio per chi non ha creduto in Lui (Ebrei 9:27). Perciò Egli esorta accoratamente tutti gli uomini di scegliere la vita, la “Vera Vita”: essendo Egli stesso il vero e la vita eterna (1 Giovanni 5:20). E tu cosa scegli? n.s.
(21) “NON TENTARE IL SIGNORE DIO TUO”. (Matteo 4:7)
Queste parole Gesù le rivolse al diavolo che Lo stava tentando durante il Suo soggiorno nel deserto. Il maligno aveva proposto a Gesù di salire sul tetto del tempio di Gerusalemme e poi di gettarsi giù, perché gli angeli del Signore Lo avrebbero salvato durante la caduta. Forse si potrebbe pensare che il diavolo volesse esortare Gesù ad avere fiducia nell’intervento di Dio, ma l’inganno è palese. Se Gesù avesse dato ascolto alla voce di Satana, avrebbe assunto una posizione di indipendenza da Dio. Sarebbe stato come dire al Signore: “Tu mi devi salvare quando lo dico io e come voglio io”. Si sarebbe trattato del trionfo della volontà dell’uomo contro quella di Dio. Gesù non cadde in questo errore, ma si mantenne costantemente sottomesso alla volontà del Padre, dandoci così un esempio preciso da seguire. f.a.
(22) “L’ETERNO È VICINO A QUELLI CHE HANNO IL CUORE AFFLITTO”. (Salmo 34:18)
Normalmente, quando viviamo situazioni di sofferenza e di afflizione, pensiamo che Dio sia lontano, che non si interessi, né si preoccupi del particolare momento che stiamo vivendo. Pensiamo che se davvero ci fosse stato vicino e si fosse preoccupato di noi, avrebbe fatto il possibile per evitare quelle “situazioni”! Ci suona perciò abbastanza strano leggere questa testimonianza: le parole di un uomo, Davide, che proprio nell’afflizione aveva sentito il Signore vicino e Lo aveva sentito in modo intimo e profondo: addirittura vicino al “cuore”! Illusione? Suggestione religiosa? No! Davide ha davvero sentito il Signore vicino a lui e ciascuno di noi può sentirLo vicino al suo cuore in circostanze analoghe. La prova? Gesù, l’eterno Figlio di Dio, è sceso un giorno sulla terra per condividere fino in fondo le nostre afflizioni, anzi Egli fu definito “uomo di dolore”, cioè vi era piena identificazione fra la Sua persona e la sofferenza. Tutto questo lo ha fatto per amor nostro, per offrirsi in sacrificio per noi, per le nostre colpe. Avendo sofferto come noi e più di noi. Egli può oggi simpatizzare con noi: ci è vicino perché ci comprende! p.m.
(23) “ECCOCI, NOI VANIAMO DA TE, PERCHÉ TU SEI L’ETERNO IL NOSTRO DIO”. (Geremia 3:22)
“E da chi potremo mai andarcene?”. Questa fu la risposta dell’apostolo Pietro a Gesù, quando tante persone decisero di andare per la loro strada, lontano da Gesù. Gli apostoli, invece, avevano creduto in Gesù e sapevano che non c’è posto migliore che quello di stare accanto a Lui. L’Eterno, il Dio che la Bibbia ci rivela, è l’unico Dio. Egli è il Creatore e il Signore di tutto l’universo, e in Gesù e diventato il mio Dio, il mio Padre celeste. Ci può essere una notizia più buona di questa? Che bello poter affermare anche oggi (in modo personale): “eccomi, io vengo da Te, perché Tu sei l’Eterno, il mio Dio”. In qualunque posto mi recherò oggi, qualsiasi cosa farò, potrò avere la certezza di avere accanto a me il Signore, perché il mio desiderio, prima di fare qualsiasi cosa, è andare alla presenza dell’Eterno, il mio Dio! e.m.
(24) “CHE IO POSSA CONOSCERE CRISTO”. (Filippesi 3:10)
Si possono conoscere le persone in modi diversi: per quello che altri ci riferiscono o per quello che vediamo o intuiamo; ma questi tipi di conoscenza rimangono sempre imparziali. Purtroppo la conoscenza che tanti hanno di Gesù è proprio di questo tipo, si limita alle informazioni ricevute, forse quando si era piccoli o si accetta quello che altri credono di Lui, penso per esempio ad un film-romanzo sulla vita di Gesù, che tempo fa ebbe molto successo. Con questo versetto il Signore, invece, invita a una ricerca personale e non superficiale. L’apostolo Paolo arrivò a dire ogni cosa era un “danno” se confrontata con l’eccellenza della conoscenza di Gesù. Che importanza attribuisci a Gesù? Dalla risposta a questa domanda dipende la conoscenza che puoi avere di Lui. Se cerchi di conoscerLo attraverso la lettura della Bibbia, come si cerca qualcosa di molto prezioso, allora Si lascerà trovare e Si farà conoscere. È scritto nel libro del profeta Geremia: “Voi Mi cercherete e Mi troverete, perché Mi cercherete con tutto il vostro cuore, Io Mi lascerò trovare da voi” (Geremia 22:13) o.t.
(25) “COME MAI NON SAPETE RICONOSCERE QUESTO TEMPO?”. (Luca 12:56)
Probabilmente non si pensa al fatto che il tempo, come lo spazio, è stato creato da Dio e appartiene a Lui. Il tempo che Dio dona a una nazione, a una famiglia, a una persona, porta con sé un compito. È un tempo dato per un preciso scopo, e non può essere usato per ottenere un altro. Quando Gesù cominciò il Suo ministero sulla terra, arrivò per Israele il tempo di ravvedersi, riconoscere in Gesù il messia promesso dai profeti, credere in Lui e seguirLo. Questo non avvenne. E Gesù, mentre si avvicinava a Gerusalemme per essere crocifisso, piangendo disse: “…tu non hai conosciuto il tempo in cui sei stata visitata”. E avvertì che presto si sarebbe avvicinato per la città un altro tempo: “…verranno su di te dei giorni nei quali i tuoi nemici ti faranno attorno delle trincee, ti accerchieranno e ti stringeranno da ogni parte”. Oggi è il tempo lasciato agli uomini affinché credano in Gesù Cristo come Salvatore e Signore, Se non riconosceranno questo tempo, per loro se ne avvicinerà presto un altro molto spaventoso. m.c.
(26) ”DISPREZZI LA BONTÀ DI DIO NON RICONOSCENDO CHE TI SPINGE AL RAVVEDIMENTO?”. (Romani 2:4)
Un figlio lasciato a sé stesso, libero di fare tutto ciò che vuole, senza freni, né limiti di alcun genere da parte dei suoi genitori, disse a un suo amico che non godeva di tutta questa “libertà”: Beato te, vuol dire che i tuoi si interessano a te perché ti vogliono bene!”. Che tristezza ho provato nel sentire queste parole. È vero, correggere, rimproverare, disciplinare sono manifestazioni di interesse e amore. Pensiamo a un neonato; se lasciato a sé stesso, come potrà imparare a camminare, parlare, nutrirsi, crescere bene? È necessaria la cura di entrambi i genitori che, con amore e fermezza, gli insegnano ogni cosa per il suo bene. Così fa Dio con noi: poiché ci ama e vuole aiutarci a riconoscere prima di tutto lo stato di pericolo nel quale siamo. Se rifiutiamo la Sua grazia e il Suo perdono, avremo solo un terribile giudizio eterno. Poi, quando siamo parte della Sua famiglia, come un Padre perfetto guiderà i nostri passi affinché possiamo crescere secondo la Sua perfetta volontà. La Sua bontà Lo ha spinto a interessarsi a noi, perché ci ama tanto. w.g.
(27) “L’ANGELO DI DIO SI ACCAMPA INTORNO A QUELLI CHE LO TEMONO, E LI LIBERA”. (Salmo 34:7)
Bella questa immagine dell’angelo del Signore che prende posizione vicino a coloro che hanno un sano timore di Dio. Chi ha montato una tenda in campeggio sa bene che dopo la fatica per piantare l’ultimo picchetto, non verrebbe mai in mente di spostarla di qualche metro più in là. Ed è suggestivo immaginare questo angelo così speciale che monta la guardia vicino a te che ami il Signore, non cambia posizione e, come dice la conclusione del versetto ti libera. Io penso che ci liberi proprio dalla paura, dall’ansia, dal timore che si cela spesso nella notte e nel buio; ricordo che da piccola la vicinanza di questo misterioso angelo mi tranquillizzava perché ero sicura che non si sarebbe allontanato da me, ma mi avrebbe protetta fino al mattino dopo. Gesù stesso ci ricorda di non scandalizzare i bambini, perché i loro angeli stanno sempre in comunicazione diretta con il Padre (Matteo 18:10). a.m.
(28) “ENTRATE PER LA PORTA STRETTA CHE ONDUCE ALLA VITA”. (Matteo 7:13-14)
In Giovanni 10 Gesù afferma di essere il buon Pastore e la Porta dell’ovile. La pecora, come ognuno di noi a livello spirituale, ha la vista corta, perde la strada facilmente, non è capace di procurarsi acqua e cibo da sola, non sa difendersi, non sa muoversi senza la guida del pastore e dipende in tutto e per tutto da lui. Al tempo di Gesù la porta di un ovile era molto importante: era stretta perché le pecore dovevano passare una alla volta per permettere al pastore di contarle, serviva per farle entrare nel posto più sicuro per loro e segnava il limite per gli estranei. Poi, quando arrivava la notte, per dormire il pastore si coricava proprio lì all’ingresso, in modo che nessuno potesse infastidire le sue pecore. Non c’era nessun tipo di cancello, ma un semplice spazio in mezzo alla staccionata dell’ovile, perché il pastore era la Porta! Ecco perché il versetto di oggi ci dice di entrare per la stretta. Solo Gesù conduce alla vita, ci guida, ci protegge e ci difende. Diffidate della porta larga che permette a molti di entrare facilmente, ma poi nessuno è mai veramente al sicuro. r.b.
(29) “ALZATEVI E BENEDITE L’ETERNO VOSTRO DIO, D’ETERNITÀ IN ETERNITÀ”. (Neemia 9:5)
Ricordo con piacere il giorno del mio matrimonio. Il clima di festa, la bellezza della sposa, la gioia di parenti e amici. Un giorno memorabile! Ognuno, certamente, conserva dei ricordi particolari legati a momenti davvero speciali: il giorno della laurea, la nascita di un figlio o la vincita di un concorso di lavoro. Ebbene, la storia da cui è tratto il versetto per oggi descrive una giornata, dal punto di vista spirituale, memorabile. Il popolo d’Israele si umiliò davanti al Signore e abbandonò i suoi peccati. Pensate un po’: un’intera nazione passò tre ore intere ad ascoltare la lettura del Libro del Signore e altre tre ore confessando i peccati. Subito dopo, le guide spirituali d’Israele dissero: “Alzatevi e benedite l’Eterno vostro Dio, d’eternità in eternità”. Forse anche tu come Israele ti senti oppresso e infelice a motivo dei tuoi peccati. Se è così, vai dal Signore come fece il popolo! Ascolta quello che avrà da dirti nella Sua Parola scritta e confessarGli le tue colpe. Vedrai che Lui stesso ti rialzerà con amore e tu non smetterai di benedire il tuo Dio per l’eternità! s.v.
(30) “O ETERNO, FÀ CHE OGGI SI SAPPIA CHE TU SEI DIO”. (1 Re 18:36)
Il profeta Elia rivolse questa richiesta a Dio in occasione di una sfida che avvenne per dimostrare chi fosse il vero Dio tra il Dio di Elia e il dio Baal. Elia contro 450 profeti di Baal; l’adorazione al vero e unico Dio contro l’adorazione a una statua inanimata. Il confronto si concluse nell’unico modo possibile: come Elia aveva richiesto, dal cielo scese il fuoco che consumò il sacrificio che lui aveva preparato. E Baal? Cosa può fare una statua che non può muoversi? Scrisse Geremia: “Gli idoli sono come spauracchi in campo di cocomeri e non parlano; bisogna portarli, perché non possono camminare. Non li temete perché non possono fare nessun male e non è in loro potere di fare del bene” (Geremia 10:5-6). Oggi non è più necessario allestire altari, poiché il perfetto Agnello di Dio, Gesù, Si è immolato una volta per sempre per donare salvezza a chi si affida a Lui. Ogni giorno Dio manifesta la Sua presenza, la Sua onnipotenza e il Suo amore. Nonostante il dilagare incontrollabile della violenza e dell’indifferenza spirituale, ogni giorno il sole, le stelle e tutto il creato ubbidiscono alla volontà del Creatore. E l’uomo? Il capolavoro della creazione, sa riconoscere in Dio il suo Creatore e in Gesù il suo Salvatore? w.g.
DICEMBRE
(1)”DIO, CHE È RICCO IN MISERICORDIA, QUANDO ERAVAMO MORTI NEI PECCATI, CI HA VIVIFICATI CON CRISTO”. (Efesini 2:4,5)
La Bibbia afferma che tutti gli uomini sono peccatori e, a causa del peccato, nessuno con i propri sforzi può andare al Padre per ristabilire il rapporto con Lui che ci ha creati. Dio che è misericordioso, cioè compassionevole e pieno d’amore per l’uomo, conoscendo l’impossibilità di una qualunque soluzione umana ci ha preparato l’unica e perfetta via d’uscita da questa situazione. mentre eravamo tutti morti spiritualmente a causa del peccato, cioè separati da Dio, Egli, attraverso il Suo unico Figlio, ha progettato un piano di salvezza. Gesù, uomo-Dio, non contaminato dal peccato, era l’unico a essere in grado di costruire un ponte che permettesse un collegamento fra gli uomini e Dio. Egli ha subìto le conseguenze inevitabili del peccato, cioè la morte, ma l’ha vinta risuscitando. Perciò ci può donare una nuova vita che dura per l’eternità. Sta a ciascuno identificarsi in questo sacrificio di Gesù e accettare di percorrere il “ponte di collegamento”, scegliendo la vita con Cristo per giungere a Dio. s.b.
(2) “CHI PERDERÀ LA SUA VITA PER AMOR MIO, LA TROVERÀ DISSE GESÙ”. (Matteo 16:25)
Questo versetto potrebbe qualche perplessità. Gesù incita nessuno né al martirio né al suicidio, ma invita i Suoi seguaci a delle riflessioni molto serie. Amare Dio e ubbidire alla Sua voce, significa mettere tutto il resto in secondo piano, non perché non sia importante, ma perché va collocato secondo la scala di valori indicata dal Signore. Questo poi tornerà a nostra benedizione; infatti Egli promette saggezza, cura, protezione e grandi benedizioni a coloro che riporteranno la loro piena fiducia in Lui e soprattutto la piena riconciliazione con Dio attraverso l’opera di Cristo sulla croce. Per aiutarci a capire bene questo concetto, il Signore Gesù prende l’esempio dell’uomo impegnato solo a far carriera, a portare a casa più soldi e ad accumulare tesori. Chiede: “Che gioverà a un uomo se, dopo aver guadagnato tutto il mondo, perde poi l’anima sua?” (Matteo 16:26). In questo senso il Signore invita l’uomo a dare a Lui la priorità, perché solo così tutto il resto sarà sotto la Sua benedizione. w.g.
(3) “TRATTIENI LE TUE LABBRA DA PAROLE BUGIARDE”. (Salmo 34:13)
È così facile e naturale dire bugie. Trattenersi invece è molto difficile, specialmente se si è convinti che in una bugia piccola non c’è niente di male perché è a fin di bene; ma, anche se tutti pensano così, queste sono le nostre misere giustificazioni. C’è un famoso detto: “Le bugie hanno le gambe corte”. Ed è vero! Spesso da bambina sono stata “smascherata” perché “la verità prima o poi viene a galla” e… che vergogna! A volte ci comportiamo ancora da bambini e, illudendoci, facciano i furbi. Ma Dio, che ci ama e vuole il nostro bene, ci tratta da persone responsabili, ordinandoci di dire sempre il vero, perché la verità ci libera da altre bugie, non fa del male agli altri, ci da la sicurezza di aver agito bene e ci da la pace. Ne sei convinto anche tu? b.s.
(4)”RICONOSCETE LE LEZIONI DEL SIGNORE, LA SUA GRANDEZZA, LA SUA MANO POTENTE”. (Deuteronomio 11:2)
Hai una giornata davanti a te. Puoi viverla lasciando che il tempo ti scorra tra le dita, ripetendo certi gesti in maniera meccanica, arrivando alla sera stanco, un po’ stufo e senza sapere il perché di questo tran tram. Oppure puoi viverla in maniera più consapevole, cercando di non sottovalutare gli insegnamenti che il Signore ti ha riversato per questo giorno speciale della tua vita. Ma per imparare ci vuole disponibilità all’ascolto, attenzione e un pizzico di curiosità. Con questa attitudine ci sono buonissime possibilità che questa giornata apparentemente una come tante, sia, invece, completamente diversa. Cerca i segni della grandezza di Dio durante queste ore che scorrono e allora non scivoleranno più come acqua fresca dalle dita, lasciati stupire da ciò che ti circonda e da te stesso e da chi ti è accanto, perché la mano di Dio compie meraviglie e trasforma le persone così come il cielo acquista colori completamente nuovi e incredibilmente stupendi all’alba al tramonto. a.m.
(5)”I GIUDIZI DEL SIGNORE SONO VERITÀ”. (Salmo 19:9,10)
Dio si è rivelato. La prima parte di questo salmo di Davide ci descrive la meravigliosa opera di Dio nella creazione. In sei versetti di grande poesia ci è descritta l’immensità del cielo stellato e lo splendore della corsa del sole nel cielo. Ammirando il cielo possiamo conoscere la potenza di Dio. Ma la seconda strofa ci dice che per conoscere la Sua giustizia, il Suo amore, la Sua infinita misericordia, abbiamo la Sua Parola. In essa troviamo la legge di Dio, la Sua testimonianza, i Suoi comandamenti, i giudizi, e tutto questo è perfetto, vero, consolante, illuminante, desiderabile. Non possiamo far finta di nulla: Dio si è rivelato nella Sua creazione e nella Sua Parola. Noi siamo responsabili della risposta che diamo. Possiamo scegliere di non pensarci. Possiamo decidere che non c’è creazione divina, che la Bibbia non ci riguarda, che non vogliamo essere ammaestrati e la lontananza da Dio. O possiamo invece accettare la Sua rivelazione per noi: una scelta basilare che ha conseguenze eterne. v.n.
(6)”VI SUPPLICHIAMO NEL NOME DI CRISTO, SIATE RICONCILIATI CON DIO”. (2 Corinzi 5:20)
L’apostolo Paolo scrisse queste ai credenti della chiesa di Corinto. L’esortazione a riconciliarsi con Dio è importante, tanto per chi è figlio di Dio quanto per chi non lo è. Il credente ha bisogno di essere riconciliato con Dio tutte le volte che pecca, perché anche se non perde la salvezza, il peccato crea una barriera nel rapporto fra lui e Dio. Chi non è ancora diventato figlio di Dio, ha ancora più bisogno di essere riconciliato con Lui, perché, in quanto peccatore, è Suo nemico, “un figlio d’ira” (Efesini 2:1-3). Riconciliarsi con Dio significa confessare il proprio peccato e la totale incapacità di piacerGli con le nostre forze… e poi accettare la Sua soluzione al problema, credendo nel sacrificio espiatorio di Cristo sulla croce fatto una volta per sempre. Altrimenti l’aspetterà la punizione eterna, e sarà terribile! h.p.
(7) “MARIA DISSE: LO SPIRITO MIO ESULTA IN DIO, MIO SALVATORE”. (Luca 1:47)
Dopo un primo momento di comprensibile sgomento davanti all’inattesa visita dell’angelo Gabriele e soprattutto davanti alle nuove prospettive che si aprivano per la sua vita di giovane donna, Maria si rese pienamente disponibile a veder compiuto nella sua vita lo straordinario piano divino dell’incarnazione del suo eterno Figlio. La sua non fu una semplice disponibilità, ma una disponibilità vissuta con gioia (“lo spirito mio esulta”) e soprattutto vissuta con la convinzione che ciò che Dio stava per compiere in lei avrebbe avuto un gran valore per tutto il suo popolo. Disponibile per Dio e disponibile per gli altri! Ma i tutto questo non perse la vista la realtà della sua relazione personale con Dio e del suo conseguente bisogno di salvezza. La sua esultanza aveva quindi prima di tutto una causa intima: il Dio che le stava parlando era il Suo Salvatore personale, Colui che aveva perdonato il suo peccato e che l’aveva ritenuta degna di essere Sua serva. p.m.
(8) “GESÙ SARÀ CHIAMATO FIGLIO ALL’ALTISSIMO”. (Luca 1:32)
Quando l’angelo si rivolse a Maria per annunciarle la nascita di Gesù, sottolineò la natura divina del Signore, la Sua provenienza e la Sua posizione davanti al Padre celeste, chiamandoLo Figlio dell’Altissimo. Sono realmente consapevole di chi sia Gesù Cristo e del ruolo che ha? Gesù Cristo è il Figlio di Dio incarnatosi circa 2000 anni fa per mettere in atto il piano di salvezza di Dio per tutta l’umanità di ogni tempo: Egli si è caricato dei peccati degli uomini e ha compiuto la giustizia di Dio pagandone il prezzo sulla croce. Essendo Dio, Egli è risuscitato ed è asceso al cielo. Ora è alla destra del Padre e intercede per coloro che, accettandoLo come Salvatore e Signore, hanno ricevuto il perdono dei loro peccati. Cristo rappresenta l’unico intermediario tra Dio e gli uomini, tutto il N.T. lo attesta. È per la Sua intercessione che possiamo conoscere Dio e chiamarLo Padre, possiamo rivolgerci a Lui in preghiera, chiederGli aiuto e avere la certezza che Egli ci ascolta e ci provvederà soccorso. e.s.
(9) “NON ANDATE DIETRO AD ALTRI DÈI PER SERVIRLI E PER PROSTRARVI DAVANTI A LORO; NON MI PROVOCATE CON LOPERA DELLE VOSTRE MANI, DICE L’ETERNO”. (Geremia 25:6)
Tutto il popolo di Giuda e gli abitanti di Gerusalemme ascoltarono le parole severe registrate in questo versetto dell’Antico Testamento. Il Signore aveva parlato di continuo per il bene di tutta quella gente. Il popolo, dal canto suo, continuava a provocare l’Eterno andando dietro a degli idoli. Dopo molti avvertimenti, Dio era pronto a giudicare quella generazione. Questo episodio del passato è educativo anche per noi. Infatti, una delle azioni che più offendono il Signore è quando seguiamo altri dèi, trasgredendo il primo comandamento della legge che dice: “Non avere altri dèi oltre a Me” (Esodo 20:3). Quali sono gli dèi del nostro tempo? Tutto ciò che prende il posto del Dio della Bibbia! Anche i tuoi affari, i tuoi progetti e perfino la tua stessa vita possono diventare degli idoli che disonorano l’Eterno. Dio è severo, certo, ma è anche misericordioso. Infatti dice a tutti: “…si converta ciascuno di voi dalla sua cattiva via… non Mi provocate con l’opera delle vostre mani e Io non vi farò nessun male” (Geremia 25:5-6). s.v.
(10)”L’ETERNO È CHE SA TUTTO E DA LUI SONO PESTATE LE AZIONI DELL’UOMO”. (1 Samuele 2:3)
“Un Dio che sa tutto di me è uno che non rispetta la mia privacy”, potrebbe dire qualcuno. Dal punto di vista di Dio. Perché Dio non ha mai concesso all’uomo una sua privacy. “Non v’è nessuna creatura che possa nascondersi davanti a Lui; ma tutte le cose sono nude e scoperte davanti agli occhi di Colui al quale dobbiamo render conto” (Ebrei 4:13). Davanti a Dio siamo tutti “nudi e scoperti”, ed è per questo che proviamo vergogna. Forse non sappiamo davanti a chi, ma la Parola di Dio ce lo spiega: è davanti al suo Creatore che la creatura si vergogna, perché vive nel peccato. La Bibbia però c’informa che lo stesso Dio davanti al quale ci vergogniamo è Colui che ha provveduto a coprire le nostre vergogne. Adamo ed Eva sono stati ricoperti con tuniche di pelle di animali uccisi: un’immagine della morte di Cristo, il rimedio di Dio al peccato dell’uomo. m.c.
(11)”SIANO GRADITE LE PAROLE DELLA MIA BOCCA, DAVANTI A TE I PENDISERI DEL MIO CUORE, O SIGNORE”. (Salmo 19:14)
Leggendo questo versetto, sicuramente abbiamo pensato di non dire parole volgari, di critica, di giudizio, ecc. Però c’è da notare che il senso di questo passo biblico va un po’ oltre. Infatti, l’enfasi è posta non sul divieto, ma sull’uso positivo delle parole. Forse facciamo parte di quel gruppo di persone che non usano parolacce nei loro discorsi, che cercano di non avere parole di giudizio o di critica nei confronti degli altri, che come si dice, si fanno i fatti propri! Questo versetto vuole incoraggiarci a usare parole che sono gradite al Signore, parole di benedizione, di amore e di misericordia. E perché mai dobbiamo fare attenzione anche ai nostri pensieri? Perché i nostri pensieri diventano parole, le nostre parole si trasformano in azioni, le nostre azioni sfociamo in abitudini, le nostre abitudini formano la personalità e la nostra personalità influenza il corso della nostra vita. r.b.
(12)”L’ETERNO SI COMPIACERÀ DI NUOVO NEL FARTI DEL BENE”. (Deuteronomio 30:9)
Il Signore è pronto a ricolmare delle Sue benedizioni tutti coloro che si ravvedono e pongono in Lui la propria fiducia. La bontà di Dio esprime il Suo profondo desiderio di fare con generosità del bene alle Sue creature. L’amore è la manifestazione suprema della Sua bontà ed è dimostrata dal Suo continuo dare. Il dono più grande che Egli ci ha fatto è Suo Figlio, Gesù Cristo. La bontà di Dio non dipende dai nostri meriti, poiché, in quanto peccatori, meritiamo soltanto la condanna e la perdizione eterna. ma Dio mostra la grandezza della Sua benignità, in quanto ama coloro che non sono amabili e vuole il loro vero bene. Come un padre si compiace di fare il bene ai suoi figli, così desidera il bene di coloro che, mediante la fede in Cristo, sono diventati Suoi figli. L’elenco delle benedizioni che Dio vuole accordarti è lungo: il perdono dei peccati, la salvezza eterna, ciò di cui hai bisogno, la gioia e la serenità, la possibilità di avere comunione con Lui per mezzo della preghiera, la Sua Parola, una speranza e un futuro eterno con Lui, la gioia di una famiglia, di un lavoro… p.d.n.
(13)”ADORA IL SIGNORE, IL TUO DIO, E A LUI SOLO RENDI IL CULTO”. (Luca 4:8)
Siamo proprio sicuri di ubbidire a questo che è il primo comandamento? Spesso anche chi si dice cristiano pone poi accanto a Dio qualche altro a cui rendere culto. Il Signore però non cede l’onore che Gli è dovuto a nessuno, “poiché l’Eterno, il tuo Dio, è un fuoco che divora, un Dio geloso” (Deuteronomio 4:24). Solo il Signore deve essere adorato e onorato, Egli è il Signore Gesù, è anche il solo mediatore fra noi e il Padre che è nei cieli (vedi Timoteo 2:5). Non abbiamo bisogno di altri. Ogni pensiero e onore rivolto ad altri non è che un atto di idolatria. La Parola di Dio ci dice che dobbiamo pregare solo il Padre nel nome di Cristo. Se ci rivolgiamo ad altri, stiamo in realtà dicendo che il Signore Gesù non può ascoltarci, risponderci o aiutarci; non ci fidiamo di Lui. È un atteggiamento molto grave che offende il nostro Creatore e Salvatore. v.n.
(14) 2L’ETERNO SI FARÀ CONOSCERE. (Isaia 19:21)
Che affermazione categorica: l’Eterno e solo Lui può farsi conoscere all’essere umano. Allora ogni sforzo fatto dall’uomo per arrivare a una conoscenza personale di Dio risulta vano? Sì. Attraverso la creazione e la coscienza, tutti possono arrivare a conoscere solo qualche aspetto dell’Eterno: la Sua potenza e la Sua divinità (Romani 1,19-20). Ma non potremmo arrivare a conoscerLo personalmente, se Lui stesso non si fosse rivelato all’umanità. Sì, Dio si è rivelato a noi attraverso la Sua Parola e in Gesù! Attraverso Gesù arriviamo a conoscere personalmente l’Eterno: “Nessuno ha mai visto Dio; l’unigenito Dio, che è nel seno del Padre, è quello che L’ha fatto conoscere” (Giovanni 1:18). Puoi affermare anche tu di conoscere Dio? Hai con lui una relazione tanto intima da poterLo chiamare Padre? Solo credendo in Gesù si ha diritto diventare figli di Dio (leggi Giovanni 1:12). e.m.
(15) “GESÙ CREA LA FEDE E LA RENDE PERFETTA”. (Ebrei 12:2)
Dopo aver riflettuto intorno e sulla persona di Gesù, l’autore dell’epistola agli Ebrei è giunto a queste conclusioni: 1). Gesù è l’Oggetto della fede. Infatti, è stato il soggetto dello studio dei santi del passato, i quali hanno riconosciuto la Sua supremazia sul mondo visibile e invisibile. 2). Gesù è il Demiurgo della fede. Egli è il mezzo e il Creatore di tutte le cose. Se contempliamo Gesù, desiderosi di conoscerLo attraverso la Sua Parola, lo Spirito Santo crea in noi la fede. Questa fede non risiede nell’uomo né può essere risvegliata, ma vive per mezzo dell’ascolto della Sua Parola e per opera sovrana dello Spirito Santo. 3). Gesù è il perfezionatore della fede. Avendo creduto in Lui, ogni credente guarderà costantemente al suo Signore e Salvatore per compiere un cammino di ubbidienza. I credenti saranno come dei modelli di pietra grezza che, nel desiderio di essere simili a Lui, prenderanno forma e perfezione nel contemplarLo, scolpiti dalla Sua maestà, per divenire Sue gemme preziose. m.m.
(16) “BEATO L’UOMO CHE DIO CORREGGE”. (Giobbe 5:17)
“Si arriva a Milano da questa parte?”. “No, signore, ha sbagliato strada, per arrivare a Milano deve andare…”. Questo è un tipo di correzione che accettiamo volentieri: se stiamo andando in una direzione sbagliata, siamo ben contenti se qualcuno ci avverte e ci corregge. Stranamente, non reagiamo allo stesso modo quando a correggerci è Dio stesso. La Bibbia paragona spesso la vita pratica a un cammino che ha inevitabilmente un punto di arrivo. Nessuno vorrebbe arrivare in un luogo di sofferenza, eppure molti camminiamo disinvoltamente per una via che li conduce alla perdizione eterna senza preoccuparsi di chiedersi se stanno camminando per una vita sbagliata. Beato dunque l’uomo che Dio stesso corregge, non soltanto avvertendolo dell’errore di direzione, ma indicandogli anche la giusta Via che conduce alla salvezza eterna: il Signore Gesù. m.c.
(17) “O ETERNO, AL MATTINO TI OFFRO LA MIA PREGHIERA”. (Salmo 5:3)
Leggendo questo testo, constatiamo che l’espressione “al mattino” viene ripetuta due volte per dare maggiore enfasi al discorso e intende sottolineare che il primo pensiero di Davide, all’inizio della giornata, è porsi in preghiera davanti al Signore. Allo stesso modo anche noi dobbiamo prendere esempio da Davide, ponendoci in preghiera sin dal mattino, poiché se desideriamo che i nostri impegni quotidiani (lavoro, scuola, faccende di casa, impegni nella chiesa, relazioni con gli altri, svago), siano spesi per la gloria di Dio, dobbiamo affidare la nostra giornata al Signore. Così facendo dimostriamo di voler dipendere da Lui e che senza di Lui nulla possiamo (Giovanni 15:5). n.s.
(18) “SIGNORE, I TUOI DISEGNI, CONCEPITI DA TEMPO, SONO FEDELI E STABILI”. (Isaia 25:1)
Se l’idraulico mi dice: “Signora, non si preoccupi: ci penso io”, è la volta che comincio a preoccuparmi che il rubinetto del bagno continuerà a colare. Con Dio non è così. Le Sue promesse e i Suoi piani sono stabili. Quello che dice lo farà. La mia fiducia dipende dal Suo carattere. Dio è fedele, mantiene la Sua Parola. È fedele nel mantenere in piedi questo nostro universo, con una precisione che spacca il millesimo di secondo. Ve lo immaginate cosa succederebbe se, per un istante dimenticasse di far funzionare la forza di gravità? Schizzeremmo tutti chissà dove. Ha detto che avrebbe mandato un diluvio universale e lo ha mandato. Ha detto che non ne avrebbe mandato un altro, e non c’è più stato. Ha promesso di mandare un Salvatore e l’ha mandato. E a chi crede in Lui fa una promessa basata sulla Sua fedeltà: “Se confessiamo i nostri peccati, Egli è fedele e giusto da perdonarci i nostri peccati e purificarci da ogni iniquità” (1 Giovanni 1:9). m.t.s.
(19) “IO SONO IL DIO ONNIPOTENTE; CAMMINA ALLA MIA PRESENZA E SII INTEGRO!” (Genesi 17:1)
Abraamo era già vecchio, come pure sua mogli Sara, e la promessa che Dio gli aveva fatto di un figlio doveva ormai sembrargli un sogno sempre più realizzabile. Dio gli rivolse le parole del versetto di oggi, prima ancora di ricordargli che Lui era perfettamente in grado di attuare ciò che aveva promesso, essendo appunto “il Dio onnipotente”. Il che significa che nulla Gli è impossibile. Dopo aver affermato la propria onnipotenza, Dio proseguì con due ordini: “Cammina alla Mia presenza” e “sii integro”. La Bibbia ci assicura che Abraamo fu giustificato per fede, come accade a chiunque altro anche oggi: non esiste altra via per essere salvati. Ma, una volta salvati, tutti devono in ubbidienza a Dio e camminare in modo integro, proprio come Dio ordinò ad Abraamo. h.p.
(20) “QUELLI CHE CERCANO IL SIGNORE LO LODERANNO; IL LORO CUORE VIVRÀ IN ETERNO”. (Salmo 22:26)
Il ministero del Signore Gesù sulla terra fu annunciato e preceduto dalla predicazione di Giovanni il battista. I Vangeli ci raccontano che era venuto a predicare il ravvedimento a Israele per “preparare un popolo ben disposto” (Luca 1:17) ad accogliere Gesù, il Messia promesso. Il Dio della Bibbia non è un Dio misterioso e lontano che si lascia trovare dopo chissà quante peripezie o ricerche mediatiche. Egli si lascia trovare solo da chi sente il bisogno di essere perdonato, da chi è determinato ad abbandonare il peccato, da chi avverte un profondo senso d’insufficienza di fronte alla Sua santità. Ricordate come Gesù iniziò il famoso Sermone sul Monte? “Beati i poveri in spirito, perché di loro è il regno dei cieli” (Matteo 5:3). Chi cerca Dio con tutto il suo cuore, Lo troverà e allora Lo loderà e Lo ringrazierà, perché i suoi occhi si saranno aperti verso una nuova luce. Questa è stata l’esperienza di migliaia di credenti tutto il mondo e se non è ancora la tua, che possa esserlo al più presto. g.b.
(21) “QUESTA È LA VITTORIA CHE HA VINTO IL MONDO: LA NOSTRA FEDE” (1 Giovanni 5:4)
Da che mondo è mondo, dove c’è una vittoria c’è festa e gioia. Coloro che credono in Gesù Cristo e nella Sua opera, hanno la vittoria certa sul mondo e sul peccato. Qual è elemento fondamentale per ottenere la vittoria su questo mondo di tenebre? La fede. La fede è la mano nuda che afferra il dono di Dio, cioè Gesù Cristo. Non è importante quante cose cuoi fare per il Signore, perché il fare esalta i propri sentimenti e ti fa sentire meritevole di un dono, ma ciò che è importante, è dare fiducia a quello che Dio ha fatto per noi, quindi CREDERE, AVERE FEDE! Per l’uomo era impossibile riconciliarsi con Dio attraverso i propri sforzi. L’unica strada è Gesù Cristo. Vuoi assaporare le gioie che scaturiscono dalla vittoria sul mondo? Credi in quello che Dio ha fatto, e potremo ringraziarLo insieme. p.p.
(22) “L’ETERNO NOSTRO DIO CI HA PARLATO”. (Deuteronomio 1:6)
Dio ci parla quando siamo disponibili all’ascolto. A me piace parlare con persone che mi guardano negli occhi, che mostrano interesse nella discussione, che partecipano con empatia. Qualche volta, invece, l’interlocutore si dimostra distratto, frettoloso, indifferente, annoiato, stressato; allora la conversazione diventa sterile e scoraggiante. Che tipo di interlocutore sono per Dio? M’interessa quello che ha da dirmi? Ascolto la Sua Parola con piacere? Mi lascio sorprendere da essa? Mi cambia la vita? Credo che la Sua parola sia “viva ed efficace, più affilata di una spada a doppio taglio”, capace di arrivare nel profondo della mia persona (Ebrei 4:12)? So per esperienza che il Signore ci parla quando ci trova disposti ad ascoltare. m.f.

(23) “MEDIANTE LE OPERE NESSUNO SARÀ GIUSTIFICATO”. (Romani 3:20)
Quando Lutero, il grande riformatore del 1500, capì appieno questo concetto, esplose con queste parole: “Per me fu come rinascere e varcare la porta spalancata del Paradiso. Tutto a un tratto, la bibbia intera assumeva per me un aspetto diverso. La passai in rassegna, così come la ricordavo, e radunai una quantità d’espressioni simili, come “opera di Dio”, cioè l’operare di Dio dentro noi; “potenza di Dio”, cioè la potenza della quale Dio ci rende forti; “sapienza di Dio”, cioè la sapienza di cui rende sapienti. Quanto più, fino ad allora, avevo odiato le parole “giustizia di Dio”, tanto più ora mi erano care e dolci… Nel linguaggio della Scrittura “giustizia divina” significa grazia e misericordia divina, che Dio infuse in noi per mezzo di Cristo e per le quali siamo considerati giusti davanti a Lui… A operare non siamo noi ma Dio con la Sua grazia… Il Vangelo non insegna null’altro e chi crede in esso possiede la grazia, è giusto davanti a Dio e sarà beato”. r.b.
(24) “È NATO PER VOI UN SALVATORE, CHE È IL CRISTO, IL SIGNORE”. (Luca 2:11)
Non c’è mai stata nell’umanità, a memoria d’uomo, un annuncio più importante di questo. Né divinità, né personaggi religiosi o politici sono mai stati annunciati, né prima, né alla venuta della loro esistenza, con queste parole: Salvatore, Cristo e Signore. La nascita di Gesù fu preannunciata: il profeta Isaia, addirittura seicento ani prima, disse: “Poiché un Bambino ci è nato, un Figlio ci è stato dato, il dominio riposerà sulle Sue spalle; sarà chiamato Consigliere ammirabile, Dio potente, Padre eterno, Principe della pace” (Isaia 9:5). Il tempo fu segnato dalla cometa, la Sua nascita fu proclamata da angeli ai pastori. Molte nazioni socialmente differenti, con ruoli diversi in epoche diverse hanno scritto di Lui. Tutto fu eccezionalmente unico come Lui è Unico. In seguito, il Padre dal cielo lo confermò dicendo: “Questo è il Mio diletto Figlio, ascoltateLo”. Leggi la Bibbia, scoprirai il Salvatore che è “il Cristo il Signore”! m.m.
(25) “UN BAMBINO CI È NATO, E IL DOMINIO RIPOSERÀ SULLE SUE SPALLE”. (Isaia 9:5)
Sembra di sentire i suoni di quella notte benedetta. I canti gloriosi degli angeli, colmi di gioia e adorazione, i belati delle pecore, le voci meravigliate dei pastori che erano stati inviati a incontrare il Neonato. Ricordavano a tutti che l’Agnello senza peccato era venuto al mondo, teneramente, discretamente, divinamente. E, intorno, i suoni e i rumori della vita che pulsava. Uomini e donne con i loro carichi di gioie, affanni, dolori, attività; uomini e donne che avevano bisogno che quel Bambino venisse al mondo per offrire loro salvezza. Non era un neonato, qualunque, era Dio, incarnato e donato alla gente di ogni tempo. Non era inerme, ma nella Sua fragilità si nascondeva un grande potere: quello di fondare il Suo Regno eterno. Non era nemmeno inutile, il popolo che sceglie di seguirLo è in costante incremento e oggi festeggia il Dono più meraviglioso che si possa ricevere. Festeggia con gioia, riconoscenza e stupore! m.f.
(26) “EGLI SARÀ CHIAMATO CONSIGLIERE AMMIRABILE, DIO POTENTE, PADRE ETERNO, PRINCIPE DELLA PACE”. (Isaia 9:5)
Ieri la cristianità ha ricordato la nascita del Signore Gesù, la Sua incarnazione in un piccolo essere umano. Egli è il Creatore di tutto l’universo, ha accettato di rinunziare alla Sua gloria e grandezza per farsi uomo. E in quali condizioni! Ha scelto una famiglia povera, una situazione precaria per il parto, poi la persecuzione e fuga. Secondo la logica umana questo sarebbe stato l’inizio di un’esistenza quasi invisibile e insignificante. Un bambino come tanti una famiglia come tante! Ma era proprio così? No! Una schiera di angeli in coro annuncia la Sua nascita: quale figlio di re o presidente ha avuto tale privilegio? In cielo una stella luminosa traccia il cammino ai magi che vengono da lontano per adorarLo come Re. Diversi secoli prima della Sua nascita Dio, per bocca di Isaia, Lo presenta come Consigliere ammirabile, Dio potente, Padre eterno e Principe della pace. Fermiamoci a riflettere sul significato di ognuna di queste qualifiche e vedremo Gesù Cristo non più come il piccolo bambino indifeso, ma come Egli veramente è! w.g.
(27) “SE NON VI RAVVEDETE PERIRETE TUTTI COME LORO”. (Luca 13:5)
Il giorno che Gesù pronunciò queste parole si era sparsa la notizia: “Diciotto persone sono morte nel crollo della torre di Siloe!”. Gli Ebrei pensavano che le disgrazie fossero sempre la conseguenza di peccati specifici. I commenti, probabilmente, erano: “Quei diciotto devono essere stati dei grandi peccatori …”. È un idea comune anche oggi: “Dio lo punisce perché…”. Gesù taglia corto: “La stessa sorte vi aspetta. Anche voi perirete eternamente se non vi ravvedete…”. Andiamo verso la fine dell’anno. Forse hai letto questo calendario per la prima volta nel 2008, oppure un amico te lo regala da anni. Il Vangelo ti piace. Sei un bravo cittadino, la tua moralità non fa una piega, ma non ti devi illudere. Se non hai ancora ammesso che sei un peccatore e non hai accolto Gesù come tuo Salvatore, sei in pericolo. Oggi sei vivo. Pensa seriamente al tuo futuro eterno! m.t.s.
(28) “VI SARANNO GRANDI TERREMOTI, CARESTIE, FENOMENI SPAVENTOSI E GRANDI SEGNI DAL CIELO”. (Luca 21:11)
Era una splendida giornata. Il ponte di una nave era gremito di gente che godeva la tranquillità e la fresca brezza marina. Solo il gatto del capitano sembrava non sentirsi a suo agio e correva sul ponte da un angolo all’altro. Il capitano avvertì i passeggeri di lasciare il ponte e ritirarsi nelle cabine perché era in arrivo una tempesta. Disse: “È vero che il cielo è blu, ma guardate quelle piccole macchie scure sull’orizzonte e il gatto agitato che corre come un forsennato. Quella bestia è meglio di un barometro”. Infatti di lì a qualche minuto arrivò la tempesta. La Parola di Dio ci rivela che la fine è vicina e che il Signore giudicherà questa generazione storta e perversa. I segni premonitori degli ultimi tempi sono evidenti: terremoti devastanti in continuo aumento, l’imprevedibilità del clima, insorgenza di malattie e pestilenze non curabili, immoralità sempre più dilagante, ecc. Mentre ognuno mangia, beve e scherza, inconsciamente ci si dirige verso la tempesta del giudizio di Dio. Beati quanti si rifugiano in Cristo Gesù. s.g.
(29) “ECCO, GESÙ VIENE CON LE NUVOLE E OGNI OCCHIO LO VEDRÀ”. (Apocalisse 1:7)
Questo è l’annuncio della seconda venuta di Gesù nel mondo. La prima volta che arrivò sulla terra, ci venne come Salvatore del mondo, e furono pochissimi quelli che lo videro arrivare. La seconda volta tornerà in gloria, come Re sovrano, e tutti Lo vedranno. Per coloro che l’avranno già ricevuto come Salvatore e Signore, sarà un’esperienza bellissima; ma, per quelli che non avranno fatto questo passo, sarà un’esperienza terribile, perché riceveranno la giusta condanna in quanto nemici di Dio. Ed è proprio in questo senso che dev’essere inteso il riferimento a coloro che “trafissero” Gesù, poiché riguarda non solo chi lo fece materialmente (cioè, i soldati romani), ma anche tutti coloro che ne sono colpevoli in qualche modo (l’umanità intera irrigenerata). Infatti, Gesù morì come l’Agnello di Dio che toglie il peccato del mondo. h.p.
(30) “MI SONO MANTENUTO NELLE VIE DELL’ETERNO E NON MI SONO EMPIAMENTE SVIATO DAL MIO DIO”. (2 Samuele 22:22)
Alla fine di ogni anno siamo portati a fare un bilancio. A volte siamo abbastanza soddisfatti, altre un po’ meno e non solo per come sono andate le cose, ma anche per come abbiamo reagito agli eventi. Il re Davide, nel brano che fa da contesto al versetto di oggi, fa un bilancio della sua esistenza; una vita di successo: la vittoria sul gigante Golia, da umile pastore a re, vittorioso in tante battaglie, ecc. Ma era anche caduto in un duplice e terribile peccato; adulterio e omicidio; come può dire di essersi mantenuto integro nella via dell’Eterno? Perché nell’abisso del peccato ha saputo umiliarsi e riconoscere tutta la sua colpevolezza, invocare con sincerità il perdono di Dio e chiederGli di rinnovare il suo cuore: “O Dio, crea in me un cuore puro ed infondi dentro di me uno spirito nuovo…” (Salmo 51:10). Nessun essere umano è esente dal peccato, ma non tutti sanno riconoscerlo e umiliarsi davanti a Colui che conosce i cuori e i pensieri e che può, solo Lui, perdonare i cuori rotti e pentiti. w.g.
(31) “L’ETERNO, IL TUO DIO, È STATO CON TE E NON TI È MANCATO NULLA”. (Deuteronomio 2:7)
Per tutto l’anno ti hanno detto che ti mancava qualcosa. Non hai l’ultimo cellulare, neanche l’ultimo hi-fi e neppure il televisore al plasma, non hai quel tipo di lavatrice e neanche la lavastoviglie all’avanguardia, il PC è ormai da buttare. Ti mancano un sacco di cose e ti chiedono come fai a vivere senza questo o quello, ance perché ce l’hanno ormai proprio tutti e a te, invece, manca; forse potresti usare questo ultimo giorno del 2008 per tappare quel senso di vuoto, per sentirsi meglio, più completo e meno mancante. Ti dicono che è facile, basta recarsi nel centro commerciale più vicino. La Parola di Dio che è eterna e che non cambia, dice tutt’altro. Se ti sei tenuto stretto al tuo Dio non ti è mancato davvero nulla di ciò che è indispensabile, se, invece, non conosci questo senso di appagamento e non lo hai mai esperimentato, questo 31 dicembre 2008 è il giorno giusto per avvicinarti all’Eterno. a.m.

VI AUGURIAMO UN FELICE ANNO NUOVO 2009